Le temps est subjectif...

Du journal de Doofie

(Doofie est la scientifique par excellence de mon roman-théâtre)

J'éprouve de plus en plus que la notion de temps est subjective.

Nous mesurons le temps par rapport à des mouvements spatiaux : rotation de la terre que nous avons divisé en 24 heures, tour de la terre autour du soleil qui formerait une année; enfin, vous savez déjà que je pense des saisons et du tour de la terre autour du soleil, je l'ai déjà exposé dans l'i-grimoire de domino.

Bon, je ne suis pas un nouveau Tycho Brahé, ni un nouveau Copernic, ni un nouveau Galilée. D'abord, je suis une femme, mais si vous regardez les pools de scientifiques de la !Nasa (par exemple dans le team  de Curiosity) et les salles d'ordinateurs de Google et de Facebook, les femmes sont de plus en plus nombreuses dans les professions scientifiques.

J'ai voulu regarder des photos de Mars faites par Curiosity et je suis tombée encore sur ce qu'il ne fallait pas.. (sur les vidéos de Mon Tube Cathodique...)mais passons... Bon, Mars, ça ressemble au Sahara avec des montagnes plus hautes. Il y a l'air d'y avoir beaucoup de montagnes sur Mars et les cailloux ont des drôles de forme parce qu'ils ne sont pas érodés par l'eau comme sur la terre, ils sont plus pointus. Et en plus les photos et vidéos faites par la Nasa sur Mars sont très belles.

Bon, je reviens à nos moutons, sur Mars, une année martienne fait deux années terrestres.

En fait, si nous étions martiens, nos journées seraient plus longues et nos années aussi.

Mais moi, quand je parle de subjectivité du temps : voilà : même si nous avons tous la même heure, je me demande si'l n'y a pas des parties de la journée qui pasent plus vite selon les endroits où l'on se trouve;

Par exemple, le samedi je fais cours dans un endroit  à des adultes et mes après-midi passent normalement.

En ce moment, je fais cours dans un collège le matin et dans un autre l'après-midi : le cours de l'après-midi semble être beaucoup moins longs que ceux du matin (les deux endroits sont à 15 km l'un de l'autre). J'ai l'impression que les cours du matin, bien qu'ls aient le même nombre de minutes sont beaucoup pus longs, il y a des moments où ils me semblent même interminables.

Mais ce qui passe le plus vite, c'est le moment entre la fin du dernier cours et la soitée. Parce que souvent je reste ppir fare mon cahier de textes sur un ordinateur et éventuellement rentrer des notes et j'ai à peine fait cela qu'il est déjà 17 ou 18 heures. Je me demande pourquoi il me faut deux heures et demi pour faire un cahier de textes et metre des noetes sur le logiciel, alors que cela peut être fait en un quart d'heure ou une demi-heure et j'ai l'impression qu'à ce moment là, le temps file à toute vitesse.

C'est pareil si je fais une dissertation de 9 heures à 16 heures : l'heure de 9 à 10 h passe très lentement, celle qui passe le plus lentement est de 12 h à 13 h et ensuite ça accélère. .. l'heure passe très rapidement de 14 h à 15 h.

Mon mari est l'horloge aprlate même, il vient de descendre : Et tu vas dormir le hibou? Mais, j'ai encore du travail, il n'a pas du tout le même rythme que moi...

Par contre si après mon cours dans le deuxième collège, je vais directement à la gare et que je dois attendre le train entre 15 h 30 et 16 h et des poussières, cela me semble interminable, le temps n'étant accéléré dans l'après-midi que dans le collège.

A la maison, le temps passe vite le soir;  c'est pourquoi Schnelly est en train de me rappeler à l'ordre en disant "Demain matin, il faut partir à telle heure. Est-ce tu seras prête..? " (Et quand je serais sortie il me fera attendre dix minutes dans la rue le temps qu'il vérifié si tout est bien fermé...)

Bon, je me demande à quoi est due cette notion subjective du temps.

Dans le collège où j'étais avant Noêl, matin et après-midi le temps semblait plus égal. Même l'heure de 5ème que je faisais souvent de 13 à 14 ou de 14 à 15, semblait beaucoup plus longue que l'heure que je fais e 13 h 45 à 14 h 45. J'ai même l'impression que cette heure débute le lundi, où je suis là plus à l'avance, plus tardivement que les autres jours. Elle débute en effet vers 13 h 45, les collègues descendent de la salle des profs vers la cours vers 13 h 43, alors que les autres jours quand j'arrive à 33 tout le monde est déjà rangé. Je me suis demandée s'ils faisaient exprès d'avancer les sonneries pour que je sois en retard à cause de mon bus.

Et chose étrange, dans ce collège où l'après-midi passent très vite, les élèves finissent à 16 h 30, alors qu'aileurs ils finisent à 17 h 30.

Il y a des physiciens qui ont trouvé que le temps n'exsterait pas. D'abord on parle de l'espage temps parce que le temps n'exsterait que par rapport à une distance parcourue, par exemple par la terre, par exemple par rapport à une rotation, celle des aiguilles d'une montre autour d'un point central ou celle de la tere sur elle-même.

Egalement, il existe le temps que met le train ou la voiture ou le bus ou l'avion pour parcourir telle distance (ou le coureur ou le cycliste). Mais ce temps est fonction d'un déplacement dans l'espace et si nous sommes obligés d'avoir des montres c'est pour arriver avant le train dans la gare, ou arriver tous au même endroit en même temps ou aller au magasin quand c'est ouvert, mais en fait, ce temps est déterminé par la mécanique de la rotation des montres et des horloges, mais pas par quelque chose d'indéfini et d'insaisissable, appelé le Temps,  qui passerait.

En fait, la mesure du temps est toujours liée à l'espace, rotation, déplacement... quand on reste sur place et qu'on ne fait rien, le temps passe plus lentement, c'est bien connu, le temps est donc subjectif, l'ennui étant dû à un facteur d'inoccupation du temps.

Quand à six ans, je rentrais les jours de vacances (nous commencions l'année scolaire le 1er octobre!) , du jardin ves  la cuisine, je regardais l'horloge de la cuisne qui pointait 6 heures du soir,  et je disais "Maman, j'ai six ans, il est six heures et je m'ennuie". Et en plus, je sentais quand il était six heures du soir, car je rentrais automatiquement du jardin. Comme on ne mangeait qu'à 8 heures du soir quand mon père rentrait du travail, j'avais peut-être faim. Je savais déjà lire et écrire depuis longtemps, mais j'avais déjà lu tous les livres qu'un enfant pouvait lire dans la maison. Je crois même que je lisais aussi les journaux et tout ce qui n'était pas spécialement destiné aux enfants.  Je lisais aussi les cartes routières et les guides de voyage. Je faisais en juillet les itinéraires pour partir en vacances.

Les gens qui s'ennuient sont ceux qui n'ont pas asse de choses à faire, ils n'occupent pas leur espace-temps par des activités qui occupent l'espace, même le lecture ou l'écriture occupent l'espage oculaire. Ma mère a dit s'être ennuyée pendant toute sa retraite de mère. Mais moi, je ne m'ennuierai jamais, car j'ai et j'aurai toujours beaucoup de choses à faire.

Bref, je faisais les itinéraires pour partir en vacances... et je lisais les guides touristiques, une manie que j'ai encore...

Par contre comme on habitait dans une ville frontalière, je croyais qu'l y avait des frontières entre toutes les villes de grande métropole régionale, par contre, il n'y en avait pas à la campagne, mais il y en avait une pour aller à la mer,et si on allait en Alsace, on roulait longtemps, on passait les montagnes où ma mère avait peur du précipice, et ensuite il y avait encore une frointière derrière ce qu'on appelait le Rhin, mais on ne pouvait pas aller de l'autre côté parce qu'il fallait à cette époque un passeport. Il fallait être inscrit sur le paseport du père, pour aller en Espagne aussi, mais on pouvait aller dans le pays juste à côté comme on voulait.

Bref, pour moi qui n'avait pas de montre, le temps c'était longtemps ou pas longemps, tôt ou bien tard, et des heures qui étaient sur les horloges, mais dont enfant on ne s'occupait pas beaucoup, mais ce qui était intéresant, c'était les horloges démontées avec tous leurs rouages quand celle de mes grands-parents tombait en panne.

Mais quand j'étais petite, le temps passait lentement, il a passé de plus en plus vte jusqu'à l'âge de trente ans, et il ralentit ensute. Je trouve qu'en ce moment le temps s'allonge et que les jourées s'allongent aussi sauf les après-midi dans mon deuxième collège qui passent très vite.

Pendant le temps où je suis retournée à l'université préprer l'agégation, j'ai trouvé que les heures de cours étaient beaucoup plus longues que dans ma jeunesse, et qu'on pouvait faire beaucoup plus de choses en une heure ou deux. Parfois les heures magistrales étaient interminables alors qu'elles passaient très vite dans ma jeunesse.

Doofie

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Pour Doofie

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