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mardi, 05 juin 2012

Les imbuvables

Roman-théâtre

 

Du journal de Bêite

Hier, j'ai encore eu les "imbuvables", les filles de 3ème SEGPA qui vont passer le CFG jeudi (un examen entre l'ancien certificat d'études primaires et le brevet des collèges). Mais je dois dire que nos parents qui n'avaient que le certificat étaient beaucoup plus cultivés qu'elles, pour qui la Russie n'existe pas, tout ce que je leur apprends n'existe pas... et l'allemand est "votre langue, qu'on n'y comrprend rien". J'ai beau leur dire que ce n'est pas ma langue, que j'ai dû l'apprendre aussi, ça reste "votre langue, incompréhensible". Si je leur parle allemand (linspecteur a dit qu'il ne fallait parler qu'allemand aux élèves). Je leur donne toutes les traductions sur un poly qu'elles refusent de prendre et disent "Vous ne donnez aucune traduction!" Elles disent vraiment n'importe quoi et le contraire de ce qui est (exprès).

 

J'ai dû aller frapper à la porte intermédiaire (sans que le prof d'à côté rréagisse) pour aller chercher du secours (ce qui les a calmé et les a fait s'asseoir), car - la plus calma et gentille n'étant pas là - elles m'ont encerclée près du tableau. L'une d'entre elle essaie de me prendre mon cahire de préparetion (c'est mon deuxième, elle a déjà déchiré la couverture du premier en tirant sur les bords, mais on n'a pas le droit de les sanctionner, car elles sont volontaires pour venir au cours). La semaine dernière, elles ont collé dans mon dos les autocollants qu'elles ont eu à une action anti-tabac (bien que je sois non fumeuse depuis toujours),  n'ayant plus d'autocallants à me colleer, elles pointent leur doigt vers mes yeux et mon visage toutes en même temps à quelques centimètres de mon nez ou de mes yeux, tout en m'encerclant, pour que je ne puisse m'échapper,ou alors, elles viennent tout près et se poste à quarante centimètres autour de moi en croisant les bras et ne m'mepêchant de me sauver de l'espafe entre mon bureau et mon tableau. Elles essaient en fait de me faire perdre les nerfs. L'une d'entre elle, s'est mise à tires sur mon écharpe, sur un bout manquant de m'étrangler, elles referment le rabat du tableau sur moi. quand j'essaie de les en empêcher en m'appuyant sur le rabat du tableau pour le coller au mur, elles passent leurs mains entre le tableau et le mur prétendant que je leur écrase les doigts. Elles poussent sur le rabat du tableau et me font pencher en avant au risque de me casser la collonne vertébrale (je suis à toiis ou quatre ans de la retraite et "vieille" dame, qui parait encore jeune, elles ne tiennent aucunement compte qu'à partir d'un certain âge on a les os plus fragile (j'ai eu une collègue qui a eu le poignet cassé en ramassant la copie d'une fille qui retenait sa copie, refusant de la rentdre à l'heure, elle était à un mois de sa retraite). Elles font tout cela en silence pour ne pas eveiller l'attention du voisin, comme une espèce de ballet silencieux. La semaine dernière, elles ont travaillé de temps en temps et cette fois-ci pas du tout. Elles prennent le stylo du tableau pour m'empêcher de faire cours... et me le rendent en le tournant dans tous les sens pour que je l'attrape au vol comme on ferait pour un enfant qu'on taquine....

J'en ai assez d'elles, elles sont imbuvable et je préfèrerai qu'on leur donne une journée de révision snans prof pour leur CFG aujorud'hui!

Je songe à déposer plainte contre elles, puisque je n'ai dorit à aucune sanction scolaire contre ces soi disnat handicapées de l'interllect qui sont en réalité des paresseuses qui ne travaillent pas. Ca rc esont des paresseux qui ne travaillent pas qui forment les SEGPA dans ce collège. Car j'ai connu des SEGPA plus sypathiques dans un autre collège.

Pour défendre Bêtie,

 

Dominique

 

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