dimanche, 21 août 2011
Doofie lit le roman-théâtre de domino
Roman-théâtre :
Du journal de Doofie :
Tiens, domino a fait quelques coquilles en faisant le rapport théâtral de la conversation que Coolie et ses mauvais amis (elle a de mauvaises fréquentations, Coolie!) ont fait sur moi.
Par exemple, il n'a jamais été question de la Belgique dans le roman-théâtre dont nous sommes les héroïnes, la Belique n'existe que dans le monde des parsonnages réels, nous, nous avons un pays voisin qui n'est pas la Belgique, mais s'appelle réellement pour nous personnages de théâtre, la Flawallie. Le seul rappot entre les deux, c'est que la Flawallie et la Belgique ont toutes les deux un Roi, qui je pense à autant ou plus de sang royal et impérial que moi (là c'est Coolie qui se trompe).
Tiens Sotiie aussi fait son arbre généalotique, je l'aide un peu!
Elle a trouvé des trucs, par exemple que la mortalité infantlle en Flawallie a été plus forte lors de trois périodes, et en fait, les records de longévité de ce pays datent plutôt de la Renaissance qui éait une période de propérite avant les ennuis des guerres de religion.
Ces trois périodes datent du XIXème siècle :
La première est l'époque napoéléonienne : là, c'était surtout des petites et mêmes des jeunes filles qui mouraient, alors que les jeunes garçons étaient engagés dans l'armée napoléonienne. Ils sont sur les listes des conscrits de Napoléon. Celà prouve dont ce que sa correspondante autrichienne lui avait dit, en Autriche il y a sur les places des colonnes en commémorations des victimes des guerres napoléoniennes : Quand Napoléon passait dans une ville ou un village étranger, ses soldats abusaient des filles, les tuaient ensuite (si bien que les mères ont vécu souvent plus longtemps que leurs filles), ils engagaient les soldats dans l'armée, tuaient ceux qui ne voulaient pas les suivre. Pour preiuve, ces frères et soeurs d'un ancêtre de Sottie, lui, conscrit de Napoléon à l'âge de 16 ans a survécu aux guerres Napoléonienne, un de ses frères, de 19 ans a suvécu aussi. Une fille a eu aussi une descendance, est-ce que c'est son prénom qui par rapport aux autres, ses deux petites soeurs, mortes vers 1810, l'a sauvée ou avait-elle épousé un conscrit de Napoléon de sa ville? Ou bien, s'est-elle cachée quand les soldats sont arrivés. Le troisième garçon est mort en 1812 à un âge encore jeune, et je figure pas parmi les concrits, peut-être a-t-il été tué lors d'une guerre ou peut-être a-t-il refusé de suivre Napoléon. Ce qui est plus plausible, car il est mort dans sa ville des Flandres.
Je continue mon histoire, si au XVIIIème siècle, les ancêtres viviaient encore assez lontemps pour une éqpoque où il n'y avait pas de médecine, sauf les plantes, et les remèdes de grand-mère, entre 55 et 70 ans, parfoi dans les 80, ce n'est plus le cas, pour ceux qui sont nés vers les années 1780 et ont souffert des guerres napoléonienne.
Cela s'méliore un peu à l'époque que nous qualifions en Allemagne voisine de Biedermeier, car alors la Flawallie qui n'est pas encore indépendante, a une certaine prospérité, ceux qui ont survécu à la période 1808-1815, vivent plus longtemps, certains atteingnent même les 80 ans.
Par contre, le changement politique de 1830 et l'indépendance de la Flawallie, n'a pas l'air d'apporter que du bon, recrudescende de la mortalité à la naissance, et de la mortalité des enfants et adolescent de 4 à 18 ans. Contrairement à la troisième période de mortalité des enfants (je ne dirais pas infantile, car elle ne concerne que les bébés), cette mortalité est répartie sur l'année et concerne aussi bien l'été que l'hiver, deux des enfants d'un couple de cette famille, meurent en bas âge (entre 2 et 4 ans) durant la même année, entre mars et juin 1832. Ce sont des enfants qui sont issues de mère nées pendant la période népoléoniennes, les mères sont nées entre 1808 et 1810, et ont peut-êre eu des carences elle-même dans leur jeunesse.
Les périodes de moratlité infantile semblent se répéter ensuite à une distance de 20 à 30 ans d'intervalle ce qui correspond à une génération. dans une moindre mesure une telle mortalité affecte l'année 1862, année où l'arrière grand mère de Sottie, perd une grande soeur agée de 4 ans, donc elle a du mourir alors que son arrière grand-mère avait deux ans.
L'année 1882 est particulièrement noire : dans des branches parallèles à celles de son grand-père paternel comme dans celle de sa grand-mère maternalle, des enfants agés d'un jour à quelques années meurent cette année là. Sottie a fait une recherche sur Internet, pour savoir ce qui s'est passé alors... et on voit qu'il y a eu une crse économique affectant le prix du blé et donc le pain. Danns une branche parralèle qui descend de son arrière arrière arrière grand-père en lignée paternelle, Sottie a trouvé une grande cousine qui a eu des enfants dans les années 1870-1880, tous ceux nés au début et au milieu des années 70 ont vécu longtemps, c'est à dire les 4 premiers, le ciquième meurt vers l'âge de 16 ans en 1882, les deux petites soeurs très jeunes aussi, et le bébé qui vient de naître également et la maman des enfants et bébés déécédés ne survit pas. Apparemment, son dernier bébé n'a vécu qu'un mois et lui a peut-être suvécu, mais a dû mourir d'une alimentation insuffisante, voir de plus d'alimentation du tout si on n'a pas trouvé de nourrice. A l"époque les femmes donnaient parfois le sein jusqu'à l'âge de 2 ans.
(L'autre jour, j'ai vu une femme nourrir dans le train, juste en face de moi, mais c'est très rare, à l'heure actuelle, les femmes se cachent pour nourrir, quand elles nourricent encore).
Au fait on dit nourricent ou nourrent, on nourrit son oiseau, elles nourricent leurs oiseaux ou leurs poules, ou les animaux, elles nourrient ça me fait drôle, je crois que l'on dit elles nourissent". Que le français doit être compliqué pour les étrangers!
Et encore plus quand on fait des fautes de frappe et des coquilles comme domino qui tape mon journal de personnage de roman-théâtre.
Bon, la troiisème grande période de mortalité est donc celle des années 80 du XIXème siècle, je ne compte pas celle de 1862 qui a semblé être assez ancedotique.
La grand-mère de Sottie née en 1892 (c'est possible, oui, car dans la famille de Sottie (et la mienne aussi) , où les deux guerres qui ont retardé les mariages, ils sont des enfants de vieux. La mère de Sottie a eu son frère à 28 ans, elle-même à 31 ans etl la petite soeur à 39 ans, et leur père était encore plus vieux.... 6 ans plus âgé, donc avait 37 ans à sa naissance et 45 ans à la naissance de sa soeur. C'est pour cela que par rapport à ses copines, elle a bénéficié d'une éducation qu'elle a qualifié de "collet-monté", bref, la grand-mère de Sottie (et pas de Softie, qui elle, est jeune et fait parte des amies peut recommandables de Coolie), est née en 1892, elle avait déjà predu trois grands frères,nés dans les anéées 70, elle était l'ainée donc d'une fratrie réduite à trois filles, alors que ces trois filles auraient dû avoir trois grand-frères, et ces trois filles ont vécu très longtemps, de 88 ans à plus de 90 ans... donc, les enfants ont été mieux nourris à partir des anées 90 et peut-être aussi que les vaccins contre les maladies infatiles (bien que nous sommes contre les effets secondaires des vaccins), ont été plus efficace et peut-être, mais je ne suis pas sûre, que l'on commençait aussi à utiliser les antibiotiques, la pénicilline, à pasteuriser le lait, et que l'hygiène enfantine faisait des progrès.
Ensuite ce sont les gueres qui ont fait des victimes, comme le grand-père de Sottie tué à la guerre de 14-18, "pour la France ".
En ce qui concerne les enfants nés dans les années 1808-1810, on voit que les mères donnaient des noms "napoléoniens" à leurs enfants, peut-être dans le but de les protéger... comme cette ancêtre prénommé Eugenia Napoleone Rosa qui est parmi les ancêtres de Sottie et avait épousé l'un des deux concrits de Napoléon, et était elle même fille d'un sergeant, devenu ensuite garde-champêtre, dont la mère s'appelait Rose, ce qui dénotait déjà un certain atatchement à Bonaparte, car c'était le vrai prénom de Joséphine avant qu'elle ne quitte la Martinique.
Sur le moment quand Sottie a vu ce prénom, comme mère d'un de ses ancêtres attesté depuis belle lurette dans la famille, un certain Léopold Eugène (de prénom), elle a sursauté et s'est mise à pleurer On non, ce n'est pas vrai, je ne descends pas de Napoléon!! ce gougeat qui a mis à feu et à sang les trois quart de l'Europe! En plus avec le nom de famille qui suivait, il y avait de quoi avoir des soupçons, mais ce n'était pas, apparement, des descendants de Napoléon ou de sa première épouse connue (en fait Joséphine était déjà sa deuxième éposue), la famille d'ont est issu ce sergent était une femille existant depuis plusieurs siècles dans cette très belle ville de Flawallie, ce sergeant, avait peut-êre un flair politique en se disant qu'en prénommant ainsi ses enfants , il les épargnerait du massacre, les soeurs s'appellaient Apolonia, et... (mince, j'ai oublié, mais encore un prénom révolutionnaire).
Bon, je vasi vous quitter ici, j'ai écrit ce que je voulais écrire pour le moment...
Allez, domino n'osera sûrement pas publier mes élucubrations dans son roman-théâtre!
Doofie
domino : Trop tard... c'est fait...
Pour Doofie et Sottie et Coolie, domino
17:19 Publié dans Les aventures de Dummie | Lien permanent | Commentaires (0)
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