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samedi, 11 juin 2011

Tenir compte du profil des élèves pour former les classes..

Du journal de Dummie, personnage de roman-théâtre.

Jadis, tout comme en Allemagne les élèves étaient classés en Hauptschule, Realschule et Gymnasium (mais la Gesamtschule fait son chemin, et il commence à y avoir des cours l'après-midi, le beau système scolaire allemand avec les après-midi pour apprendre seul et pour que les profs fassent leur travail de correction et de préparation est en train de s'écrouler, la légende selon laquelle les élèves faisaient du sport et de la msuqieu l'après-midi étant fausse, en fait ils pouvaient, s'ils le voulaient aller dans leur club de sport ou dans leur école de musique ou prendre des cours particuliers de musique chez un professeur),

tout comme en Allemagne les élèves étaient classés en trois groupes d'écoles, on avait trois sortes de collèges en France, le CEG (collège d'enseignement général) correspondant à la Hautschule, le CES (collège d'enseignement secondaire, correspondant à la Realschule allemande) et le 1er cycle de lycée (correspondant au Gymnasium) dans ce qu'on a appelé plus tard leq lycées-collèges.

Ce n'est peut-être pas une classification très appréciée, dans la mesure où l'on veut donner sa chance à chacun. Mais nos prédécesseurs qui avaient isntauré ces trois types de collège n'étaient peut-être pas si bêtes que cela,

Mais bon, on a dû quand même faire des SEGPA qui on remplacé les fameuses classes de transition, dans lesquelles on apprenait qu'une seule langue vivante. Mais tous les collèges n'ont pas de SEGPA (ou dénomination analogue), et on trouve des élèves qui relèvent de SEGPA dans les classes d'allemand, tout jeune étant considéré comme capable d'apprendre deux langues vivantes étrangères, dans la mesure où il sait parler une langue maternelle.

Parenthèse : Mais malgré ces classes de transition, on avait beauoup d'élèves en allemand, premièrement parce que les élèves lents ne gênaient pas la progression des plus rapides, en se révoltant parfois : "De toutes façons, je ne comprends rien à votre truc, je n'ai jamais aimé l'allemand!", ce qui veut dire "Je n'ai jamais su suivre en allemand",

deuxièmement parce que dans la région, étant plus proche de l'Allemagne (200km en certains points de la fronière, contre 1100 à 1200 km pour (l'Espagne

NDLB:  Tiens, Dummie aurait été nommée dans le Nord, près de Bêtie?),

et même à certains endroits on est plus prcche de l'Allemagne que de l'Angleterre 200km pour l'Allemagne et  300 km pour l'Angletetre : 250 km jusqu'à Calais plus presque 40 km de channel, voyage plus cher à cause du tunnel ou de la traversée en ferry. Dans la région, les collèges qui faisaient espagnol étaient très rares, c'est pourquoi j'arrivais à avoir 48 élèves répartis sur 2 classes en sixième. En principe en deux groupes de niveau et formaient deux vraies classes entières. Mais il y avait aussi de très bons élèves dans le groupe plus faible.

(NDLB : Ah, non Dummie était dans le Nord avant, elle se transporte en pensée là-bas...)

Bon, où en étais-je?

Ah oui, voilà ce que je voulais dire, en attendant que mon auteure, l'auteure des mes jours de pesonnage de roman-théâtre, domino, soit ministre de l'éducation nationale et mette en oeuvre sa réforme de l'enseignement (progression par matière, à tous les niveau, chaque élève pouvant progresser à son rythme dans chacune des matières, insépendamment les unes des autres, sans être dans une classe (éclatement du groupe classe, les clases n'existeraient plus), mais avec une somme de matières à avoir à tel nivau pour avoir le diplôme qui sanctionnerait une année ou un cycle, et interdiction de "donner" les sniveaux comme certains profeseurs donnent le niveau A2 d'office aux élèves de 3ème pour qu'ils puissent avoir leur Brevet et monter en seconde. 

Parce qu'actuellement, on demande aux élèves une moyenne : celui qui a 18 dans une matière qu'il aime et pous laquelle il est doué et 2 dans une matière qu'il ne travaile pas, a quand même son dix de moayenne. Même si le conseil de classe ne lui donne pas son passage, il aura son passage à l'appel. Donc, dans la matière où il a 2, il cntinuera à traîner des lacunes durant toute sa ccolarité. D'où l'idée que j'ai eu de faire avancer l'élève par matière. Et l'éève n'aurait par exemple pas son entrée en français 6ème tant qu'il n'aurait pas de bonens notes en français (c'est une exemple) ou n'aurait pas son Brevet et en seconde matireè LV2 tant qu'il n'aurait pas de bonnes notes en LV2, (actuellement les professeurs de LV2 sont lésés, car il ne faut le A2 que dans une langue seulement). la LV2 étant un exemple, on pourrait dire en maths mais pour le bac, il faudrait qu'il ait son niveau LV2 ou maths, bac, par exemple, et s'il n'a pas atteint son niveau bac dans toutes les matières d'une section, autrement dit la moyenne partout (NDLB : Dummie a eu la moyenne partout au bac), il n'aurait pas son diplome de bac. Cela fonctionnerait comme les UV à l'université.

Bon, je dos donc en conclure que tant qu'on n'aura pas instauré ce système par UV, il faudrait refaire les groupes par profil de l'élève, même dans les matièeres où il y a peu d'élèves, car sinon,certains en retardent d'autres.

NDLB : Par exemple, Dummie aurait pu aller très vite en maths et faire sa scolarité mathématique en moins de temps qu'il en faut pour le drie, elle aurait pu avoir mathématiques  bac à 12 ans, et français n bac à 14 ans, et latin  bac à 17 ans; une fois qu'on aurait terminé une matière, on pourrait se consavcrer davantage aux autres, et faire une année de spécialisation dans les matières délaissées depuis quelques années mais où l'on était bon, pour entrer à l'université.

NDLB : Une mention AB des années 60 vaut une mentiton TB de maintenant, maintenant on trouve des élèves qui ont 22/20 de moyenne au bac, ce qui aurait été impossible à notre époque, où l'on ne mettait jamais plus que 20 et seluement dans les matières sicientiques. En françasi ou en philo par exemple 14/20 était une note exceptionnelle et il fallait faire les points avec les autres matières pour avoir une mention TB.

Bon, je ne suis pas au bout de ma démonstration,il y a des élèves qui ont le profil plus scientifiques, d'autrs  le profil plus littéraires, d'autres le profil plus technique.

On pourrrait alors, plutôt que faire des groupes de compétence, orale, écrite, ect... qui ne sont pas très probants, et ressemblent plus à des groupes de niveaux qu'autre chose, faire des profils d'apprentissage de l'élève :

Les profils scientifiques, logiques, apprendraient plutôt par la grammaire, les méthodes audio-visuelles avec les exercices structuraux leur convenaient bien. Exercices dans lesquels il fallait faire des transformations logiques et les élèves scientifiques, même si ce que disait le professsur était bon en soir, étaient les premiers à déceler que le prof en corrigeant n'avait pas suvii exactement le modèle (par exemple qu'il avait dit dem au lieu de seinmen).

Les profils littéraires ou artistiques, qui apprennent mieux avec des choses plus intuitives, à l'oreille pour les musiciens, avec les yeux pour ceux qui font art plastique, donc, pour ce profil là, faire plutôt des poèmes, des chansons, et en plus ils sont assez rêveurs, leur amener du rêve, du romantisme (je veux dire pas du romantisme politique, masi du romantiseme "fleur bleue") ou du Biedermeier. Donc, beaucoup d'images et de sons, pour les classes littéraires ou les classes collège à profil littéraire.

 Les profils techniques apprendraient mieux en bricolant, avec elurs doigts. En écrivant. Donner alors plus de choses à coier, écrire, dessiner, des affiches à réaliser, des bricolages à faire, des étiquettes à coller sur les meubles pour apprendre leurs noms, etc.. ou leur faire carrément un cours de technique (par exemple ébénisterie dans la langue, de préférence par un ébéniste dont c'est la langue maternelel, en faisant venir des artisans d'autres pays). C'est en faisant de la lutherie que Doofie a appris l'espagnol en Alsace! Les élèves de tehnique serait alors mis dans la situation de travailleurs étrangers, devant apprendre la langue du pays, avec des cours théeoriques donnés par le professeur français entre deux, mais dans la mesure où un professeur autochtone donnerait des cours metons d'ébénisterie en langue étrangère, les élèves seraietn plsu intéressés, mais il faudrait ces cours dans toutes les langues étudiées par l'élève. Ceci peut se faire par des échanges de professeurs pour six mois par exemple avec une école jumelle. Le professeur étranger ne devrait pas du tout parler la langue maternelle de l'élève et celui-ci devrait comprendre grâce aux gestes et peu à peu les auromatismes de la langue aidés par le cours théoriques se mettraient en place.

Comme Doofie le faisait au cours de luherie, les élèves établieraient ensemble un carnet du vocabulaire technique nécessaire au métier (qui n'est pas le métier de Doofie, pardon!)

Voicà, j'espère que vous avez compris ce que j'explique.

Dummie

 

 

Pour Dummie, l'auteure de ses jours de personnage de théâtre.

 

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