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dimanche, 13 mars 2011

Des grands gros mots..

Doofie, mon personnage de roman-théâtre,  ne dit jamais de gros mots.

Cependant à une certaine époque les grands mots littéraires et de terminologie, ont été appelés par certains élèves et étudiants "des gros mots". Par exemple Doofie ayant employé le mot "mansuétude", s'est vue taxée par des élèves de 1ère L (littéraire!!!), d'avoir dit un "gros" mot, parce que en première L, ils ne connaissaient pas  le terme "mansuétude".

Un jour Doofie avait dit "Oh! Les fils du magnétophone sont emberlificotés". Et un élève a dit tout de suite : "Oh! Vous avez dit un gros mot, Madame!" alors que "emberlificoter" est noté dans le dictionnaire comme "littéraire" et du "XVIIème siècle"!

Par contre si des professeurs employaient ces mots dans l'université où va Doofie (grands métropole régionale), personne ne sourit et tout le mond ecomprend. Personne ne fait de réflexion. C'est là que l'on voit la différence entre un étudiant qui a son bac (souvent littéraire ou scientifique) et un élève qui ne l'a pas encore.

A qu'à l'intréieur d'une même région, ce soit une différence de "petite région" ou de société.

Dans l'université où va Doofie, on entend rarement des gros mots, souvent on entend "Mince!" pour dire qu'on s'est trompé, mais rarement les 5 lettres. L'université où est Doofie est située dans la Grande Métropole Régionale où elle est née.

La mère de Doofie disait "Mince!", "Flûte!" ou "Zut! qui sont peut-être des gros mots d'origine flamande; son mari disait "Purée!" ou "Punaise!"

Doofie a d'ailleurs conseillé à certains élèves que losqu'une injure (que l'on devrait interdire  lors de la journée des femmes au minimum!) commençant par "Pu..." leur venait siur les lèvres, il vaiait mieux la remplacer par "Purée" ou Punaise" en changeant vite la deuxième syllabe. Elle a aussi déjà suggéré aux filles que ce mot innomable ainsi que l'autre gros mot "b....". ne devrait pas être de leur langage, car en le prononçant, elles s'injurient elles-mêmes.

Comment voulez-vous que les élèves ne disent plus de gros mots (des vrais, cette fois, pas les mots comme "mansuétude" et "emberlificoter", littéraires, et trop compliqués pour les élèves (qui ne savent même pas en troisième ce qu'est un pronom personnel), quand des professeurs leur montre le mauvais exemple.

Par exemple, l'autre jour, étant seule dans sa classe, car on ne l''avait pas trouvée assez bien pour ses élèves, Doofie a entendu un professeur, un homme,  assez loin de l'autre côté du couloir, se fâcher et emloyer des mots comme "m..." ou dire aux élèves "vous êtes m....iques" et des choses comme celà. Ces mots la choque et me choquerait aussi.

Je précise ici que c'est un homme, car je ne tiens pas à ce que l'on dise que ce serait moi qui aurait prononcé ces mots. Bien loin de moi, le fait de prononcer un jour de tels mots. Bien loin de Doofie ou Dummie et de leurs copines aussi. Par contre on verrait bien ces mots dans la bouche de Sweetie leur stagiaire insolente, originaire du cru.

Non, revenons-en aux profs (collègues) qui disent des gros mots...  Souvent en salle des profs on entend dire :"C'est le m....!" ou "B... de M...", "Qu'est ce que ça me fait ch.....!", "Qu'est ce que c'est ch....!" , "C'est à en ch....", "C'est le b...; chez cette clollègue!" plein d'expression qui écorchent les oreilles de Doofie, et qui écorcheraient aussi les miennes.

Moi-même et Doofie estimons que des profeseurs qui emploient à longueur de journée de telles expressions, n'ont pas leur place dans l'enseignement.

Si vous êtes d'accord avec moi, ne leur répondez pas lorqu'ils vous parlent en employant de telles expressions, demandant votre approbation, ou dites-leur "Plaît-il?" car certains de mes élèves de seconde, après avoir lu Molière, commencent à employer les expressions du XVIIème siècle et à dire "Plaît-il?"

Des expressions comme "Il ne f.... rien celui-là!" ou "Il commence à me plaire" ou "Elle commence à me plaire, la Doofie!" ou "Elle commence à me plaire, la journaliste alternative!" ne devrait pas être employé sur le ton de l'agacement. Bien sûr si avec un ton de délectation, vous dites "Qu'est ce qu'elle me plaît, Doofie!", ou "Que la journaliste alternative me plaît!", c'est totalement accepter. On n'a pas interdit le verbe "plaire". On ne l'a interdit que dans un sens!

Bien sûr, si Doofie laissait échapper un jour, par agacement, l'un des nombeux mots qu'elle entend prononcer par ses collègues, elle ferait tout de suite l'objet d'un rapport circonstancié, car dans ce monde, il y a deux poids et deux mesures.

Par contre, si Doofie sanctionne un élève parce qu'il dit des gros mots, tout de suite elle aura la réponse : "Mais vous ne pouvez pas me sanctionner pour cela, parce qu'il y a des profs qui le disent aussi!" ou bien "Oui, mais M. UnTel ou Mme UneTelle  l'a dit aussi!", ou encore mieux "Mon père viendra vous voir, parce que mon père il dit tous les jours ce mot-là à la maison!"

(Il y a aussi des élèves qui essaient de faire peur au prof en disant "mon père" ou "ma mère" viendra vous voir, quand ils obtiennent une sanction", alors répondez "Et bien, je l'attends de pied ferme", car ce sont souvent des jeunes qui essaient de vous faire peur ainsi pour justement en pas prendre une deuxième sanction par leurs parents!!!)

Et aussi pour les deux poids et deux mesures, si un collègue emploie à longueur de cours des gros mots, des b..; de m.... et compagnie, personne ne lui dira rien, car chez lui c'est naturel et cela fait partie de sa nature. PAr contre si Doofie, ou même moi-même, dont ça ne fait pas partie de la nature, disaient une seule fois un tel mot, tout de suite, convocation au bureau et rapprot circonstancié.

J'ai l'impression que ces collègues là et Doofie ne font pas partie du même monde. Certainement pas de la même génération, masi cela arrive parfois que des collègues du même âge que Doofie emploient des vrais "gros mots", mais généralement, ils sont plus jeunes.

Jamais Doofie n'a entendu des gros mots dans la bouche de ses parents ou grands-parents. Et quand il se mettait en colère, son père faisait des discours de morale, mais ne disaient pas de gros mots. Ses professeur non plus, ne disaient pas de gros mots, mais c'était dans des écoles et lycées de filles, avant la mixité. Doofie n'a connu la mixité qu'à l'éocle maternelle où elle a été plus heureuse d'ailleurs qu'à l'école primaire, où il n'y avait que des filles, car les garçons défendaient la première de classe, Doofie, petite princesse, des jalousies des autres filles...mais toute les petites princesses ont ce problème, n'est ce pas Amalia et Alexia...  (Il parait qu'on a été obligé d'enlever une petite princesse de Hollande de l'école à cause de la jalousie des ses petits camarades de classe..),

On ne comprend pas que les parents de sixième écrivent que leur enfant ne veut plus aller en classe à cause de la prof d'allemand, alors qu'ils vont encore en classe avec des professeurs qui emploient des gros mots à longueur de cours...

domino

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