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dimanche, 02 janvier 2011

Quelques choses à savoir..

Doofie écrit dans son journal :

Un TZR (Titulaire en Zone de Remplacement) à remplacement de courte et moyenne durée (la forme de remplacements est choisié lors de la demande de poste par mutation par exemple) comme je suis a une établissement de rattachement et un établissement d'exercice momentané.

Un chef d'établissement de collège d'exercice devrait savoir que c'est l'établissement de rattachement qui gère la carrière du professeur (notes administratives, congés maladie, prépatation de la retraite, etc..) et non l'établissement d'exercice. En effet, c'est la Zone de Remplacement qui est le poste du TZR à remplacement de courte et moyenne durée (3 semaines à 6 mois), et non l'établissement d'exercice où le TZR a  une affectation en remplacement ou en suppléance, différente de son poste.

Ce type de TZR continue à être rémunéré lorqu'il est sans remplacement. Lorsqu'il est en sous-service, il est toujours rémunéré à temps complet (par exemple un certifié à 18 heures qui remplacerait un agrégé à 15 heures) Par conre si l'horaire du professeur qu'il remplace comporte plus d'heures que le sien, il est rémunéré en heure supplémentaires (par exemple un agrégé à 15 heures qui remplcarait un certifié à 18 heures).

En effet , il arrive que les remplaçants ont des grades supérieurs aux professeurs qu'ils remplacent. Un bi-admissible (à 18 heures) ou un certifié (à 15 heures) peut êre améné à remplacer un certifié.

Tout comme il arrive que les titulaires remplaçants agés, car ils ne sont pas tous jeunes, aient plus d'expérience de l'enseignement que les professeurs remplacés.

Lorsque le remplaçant est en sous-service (cas d'un certifié qui remplacerait un agrégé), on ne peut lui donner de complément de service dans une autre matière ou en CDI. Normalement, le remplaçant n'a pas de complément de service si ces compléments ne figurent pas sur l'horaire du professeur remplacé.  A moins qu'il ne soit bénévole pour les faire, car les heures faites en plus de l'horaire du professeur remplacé serait du bénévolat!

Par ailleurs l'établissement d'exercice dans la mesure où il s'agit d'un remplacement ne durant qu'une partie de l'année (exemple, le remplacement de Doofie qui a commencé en Novembre et dont les dates officielles de fin données par le rectorat sont au printemps),  les chefs d'établissement du ou des établissements d'exercice n'ont pas à prendre de décisions concernant la carrière du TZR, ni à lui proposer par exempel d'autres solutions pour sa carrière que l'enseignement. Ce n'est pas à eux d'intervenir dans la carrière d'un professeur, dans la mesure où le professeur n'est là que pour une durée très limitée dans le temps.

Exemple : Doofie n'est là que pour encore 3 mois, ensutie, elle ira faire des remplacements dans d'autres établissements, on ne peut dans son établissement d'exercice momentané lui proposer des solutions pour plus tard... ou pour l'année suivante. Par contre elle est obligée d'aller jusqu'à la fin de son remplacement, sinon elle serait considérée comme abandonnant son métier ce qui pourrait lui coûter sa retraite de fonctionnaire, alors que Doofie a bientôt 60 ans!!! (Et qu'elle veut aller jusqu'à 65 ans pour avoir sa retraite complète, en effet, elle n'aurait que 30 ans d'ancienneté de titulaire à 60 ans et donc, comme les dernières années comptent double, même avec une retraite de fonctionnaire environ le RMI comme retraire, ce qui ne lui permettrait pas d'assouvir ses besoins culturels qu'elle a en tant que personne cultivé (achats de livres, de CD, de partitions, quelques revues et quelques voyages qu'elle ne pourra peut-être jamais se payer). Il faut dire que son Schnelly dépense beaucoup pour manger, et dépense sans doute une partie du salaire actuel de Doofie. Alors qu'il travaille encore.

Comme sa retraite risque d'être inférieure à celle de Doofie (il gagne actuelelement moins qu'elle), Doofie pense qu'il mangera toute sa retraite ou presque surtout si elle la prend à 50 ans.

Et ne parlons pas d'une maison de retraite, c'est hors de prix pour Doofie et Schnelly. Les tarifs faits à la mère de Doofie jusqu'à il y a deux ans le prouvent.

Il faudrait savoir que Doofie et Schnelly font partie du baby boom (enfants nés entre 1945 et 1952 environ, dans l'après-guerre), on a dit souvent qu'on arriverait pas à payer les retraites du baby-boom, car il n'y aurait pas assez de jeunes pour payer les cotisations.

Tant que Doofie n'est pas en tetraite, elle cotise pour ses collègues du baby-boom déjà partis en retraite, et par exemple dans l'éducation nationale avec la diminution des postes de professeurs il y a de moins en moins de cotisants chez les jeunes, mais c'est dû au manque de postes, pas au mangue de jeunes qui veulent être professeurs. Et c'est pour cela que les retraites même dites de fonctionnaire, ne sont pas très élevées.

Les professeurs du baby-boom sont une génération cultivée (des bacheliers de bon niveau qui avaient fait souvent des sections de latinistes, même matheux, bons en tout qui ont une bonne culture littéraire et philosophique. C'est pour cela qu'ils ont aussi des besoins culturels. 

Schnelly et Doofie ont tous les deux été latinistes.

Cette génération là aurait pu en tant que 3ème âge faire les beaux jours des agences de voyage, des stations de tourisme, faire vivre les musiciens et les acteurs (par exemple les stagiaries des stages artisitiques, par exemple musicaux, sont souvent des enseignants qui font vivre les artistes et les musiciens). Si cette génréation qui a fait les beaux jours des stages de chorales, des festivals de musiqeu ancienne ou baroque, et des groupes folks en son temps, et les publics des bons chanteurs français, n'a pas d'argent au début de sa vieillesse, il est probable que tout ce qui tournera autour de l'industrie du livre, de la presse, de la musique, sauf la musqiue très moderne qu'apprécie les jeunes, prériclitera et on sait que l'industrie du disque est déjà bien mal en point à cause d'internet (il y en a qui préfère écouer Doofie elle-même chanter ses propres chansons sans se faire payer sur ses podcasts et vidéos, plutôt que d'acheter des disques! , mas  on ne peut reprocher à Doofie d'être aussi compositeur et de vouloir faire connaître son oeuvre, qui sinon tomberait dans l'oubli), mais cce sont les jeune qui achètent sur Internet et pas la génération du baby boom plus encline à fréquenter les disquaires, selon l'habitude qu'elle a prise dans sa jeunesse.

Il faut dire que la génration du baby-bbom n'a jamais gouvené et que l'on est pasé directement de la génration ancienne, pré-soixante huit (Mitterand, Chirac) à la génration qui a suivi  le baby-boom (ceux qui étaient habillés en noir, les "no furure", devenus technocrates). Sans passer par la génération idéaliste du baby-boom. On a sauté une étape aux niveau des gouvernants et ce n'est pas bon d'être gouvernés par des personnes trop jeunes.

Nos gouvernants sont plus jeunes que nous, les personnes encore en activité, ce qui est un fait nouveau dans l'hisotire de la France, qui a toujours été gouvernée par des présidents de l'âge des retraités (c'est à dire de plus de 65 ans environ).

Et le conflit qui oppose les presque retraités à leur gouvernemetn serait un conflit de génération envers une génération de gouvernants trop jeunes. En gros la révolte des grands-parents s'offusquand que leurs enfants veuillent leur couper les vivres juste à l'aube de la retraire. Et les petits enfants emboîtent le pas des grands-parents.

domino

 

 

 

 

 

 

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