mercredi, 17 novembre 2010
Doofie ne veut pas mourir
Rappel (de mon roman-théâtre): Doofie est TZR, Doofie chante très bien, a une voix merveilleuse, mais plus aujourd'hui.Depuis 3 semaines, tout comme son amie (d'amitié) Dommie, qui avait passé et râté une audition pour devenir le Nouvelle Etoile et pour cause, elle comemnçait à être enrouée, car ele avait atrapé le vilain virus de Doofie...), vient de percevoir un coup de téléphone resté anonyme, mais dont le numéro laisse présager qu'il s'agit d'un lycée situé à 35 kilomètres de chez elle, dans sa ville de rattachement. ET qui plus est (un progrès par rappot à ses remplacements de l'an dernier), on peut y aller en train, avec un peu de marche à pied à la fin du parcours. (Doofie souhaite garder son rattachement au même endroit à cause de son dossier de retraite, si on la trimbale d'un endroit à un autre, on risque de s'y perdre et elle de perdre des années de cotisations).
Evidemment, on appelle toujours Doofie en hiver, quand elle est bien malade... et contrairement au prof qui prend un congé, on ne tient pas compte du fait que Doofie ait une affection saisonière relativement grave ou pas; si elle répond qu'elle est malade, on l'envoie à la médecine du rectorat qui lui flanque un congé d'un an qui lui interdira de passer l'agrégation et de continuer ses langues rares en fac (avec tous les changements de professeur que cela implique, si un professeur part en retraite ou qu'un lecteur s'en va au bout de l'année), et en plus à l'université elle est comptée dans les effectifs ce qui permet parfois de maintenir une section.
Ce proviseur en appelant Doofie malade pour remplacer un collègue qui est moins malade qu'elle, fait ceci :
- Il provoquie le malheur de Doofie pour plusieurs raisons :
Si Doofie dit qu'elle est malade, mise en congé longue maladie sans pouvoir continuer ses éltudes, bénéficier d'un éventuel succès à l'agrégation si elle est encore en congé au 1er de l'année suivante...
Suppression de ses cours de fac, de l'apprentissage de ses langues rares, et par conséquent, diminution de son cercles de relations sociales.
Suppression de ses cours du samedi, car le proviseur verrait d'un mauvais oeuil qu'elle continue à faire cours une après-mdi par semaine à ses grandes personnes et à ses personnes âgées et plus jeunes, alors qu'elle serait en congé maladie de l'autre côté tout en sachant qu'elle peut faire cours à ses personens âgées en chuchotant à cause de sa laryngite saisonnière, mais pas à une classe de 20 à 30 élèves adolescents, surtout à dose prolongée. Si elle arrête ses cours là (elle serait remplacée par son mari qui ne prépare jamais les cours et tout en préparant pour lui), diminution de son cecle de relations sociales et de ses amitiés. Doofie prépare avec amours ses petites scénettes pour ses cours, les réalisant elle-même avec humour, et dès que ses collègues ont connaisance d'une nouvelle scéette,d'une nouvelle page de sa méthode volée à ses élèves, ils l'utilisent dans leur cours,ou dans les examens (d'hôtellerie par exemple) se faisant féliciter par les inspecteurs pour les bonnes idées qu'ils ont dans des scénettes soi-diant de leur fabrication et n'apportent aucun démenti losque les inspecteurs les félicitent pour leurs oeuvres, en réalité oeuvres de Doofie, toujours dindon de la farce.
(Le but du harcèlement moral est d'isoler les gens dans leur bulle, de les garder enfermés dans leur maison, Doofie quand elle a été mise en congé en 2002 a perdu toutes ses amitiés de collègues ou presque, c'est à dire peut-être une cinquantaine d'amis, et ne les a plus jamais retrouvés). ).
Si Doofie ne dit pas qu'elle est malade, elle perdra ceci :
Ses cours de fac si les cours du lycée tombent sur ses cours de fac, échec aux examens, pour lesquelles elle était partie gagnante, et pour lesqelles elle est encore gagnante aujourd'hui, si on donne ce remplacement à quelqu'un d'autre, deux troisèmes semestres et un premier semestre échoué, cela veut dire, reprise l'année suivante, mpeme en cas de réussite aux semestres 2 et 4. PArce que dans les formations de langue rare, on est pasé aussi à la division semestrielle.
Diminution de son cercle de relations sociales si les cours de lycée tombent sur les cours de fac (qui ont tous lieu le même jour de la semaine, examens y compris...)
Diminution physique et amoindrissement du charisme dû en partie à sa voix, et diminution des capacités artistiques, car si Doofie doit parler à 30 élèves, au milieu d'une laryngite qui dure depuis 3 semaines, elle perdra sa belle voix, ses capacités vocales, c'est une partie de sa musique, de ses compositions vocales classqies qu'elle créait en improvisant avec sa voix (donc aussi une perte pour les oeuvres musicales de l'humanité!), donc, perte de possibilités de composition, perte de jouissance d'un isntrument vocal de qualité, perte d'une des cordes à son arc, corde qu'elle aurait pu utiliser pour la retraite, dépression dûe à la perte de sa voix.
Possibilité de mort par etouffement, dû à l'aggravation de sa maladie.
Pertes pour les autres :
- Possibilité de fermeture de sections universitaires par manque d'effectifs. si les cours de lycée tombent sur ses cours de fac.
- Perte de la jouissance de la voix de Doofie pour ceux qui l'aimaient bien (ceux qui aiment sa voix, généraelement ne sont pas françasi,car les français n'aiment que les voix rauques et enrouée comme est devenu la voix de Doofie depuis qu'elle a une laryngite.
- Perte de l'efficacité et de l'autorité en classe par perte de la voix si elle est obligée de parler le plus fort possible sur sa laryngite.
Notpns ici que Doofie est souvent appelée pour les remplacements quand elle est malade : il y a quarte ou cinq ans, elle avait tout simplement une pneumonie contractée lors d'un voyage au Marché de Noël en Allemagne, lorsqu'elle a été contactée pour un remplacement, qu'elle a effectué avec comme rapport global: "est incapable de tenir une classe de 4ème LV2!" Tenir une quatrième avec une pneumonie et des conséquences de l'affection saisonnière sur la voix! Doofie avait alors une énorme quinte de toux par heure, généralement en salle des profs... elle étouffait, se tenait les côtes...
Ici, même si Doofie se tient souvent les côtes en toussant, on n'en est pas encore à la pneumonie, mais les sécrétions séchées, font que Doofie étouffe à chaque quinte de tous...
Quand les élèves ont des professeurs malades, grippés ou autre, pas tout à fait en forme, ils en profitent souvent, les cancres de la classe exploitent la situation à leur profit, c'est connu! Et cela est déjà une forme de violence scolaire vis à vis des professeurs, profiter qu'ils font cours quand même en étant malade, pour tromper leur vigilance, et chahuter ou faire des bêises par derrière. C'est facile de tromper la vigilance du professeur lorsqu'il a des quintes de tous comme Doofie, où à la fin de chaque quinte, elle ne voit plus clair. Mais dans les notes administratives, le fait qu'un TZR ait fait un remplacement en étant malade, n'es pas pris en compte avec indulgence.
Cette nuit encore, Doofie qui a de nouveau mal dans les côtes, tant sa toux a secoué ses muscles, s'est réveillée en étouffant, elle a cru bien mourir.
Doofie a pensé :
"Je ne veux pas mourir, je veux vivre.. j'ai encore tant de choses à faire, écrire, faire de la musique, j'ai tant de passions. .. je voudrais retrouver ma voix comme elle éait avant, mais tout est sec dans ma gorge, on dirait que j'ai du sable dedans, ou bien des strates de sicure de bois... dont les particules sont collées ensemble..; quand je tousse, ça se déplace un peu, ça s'éclaircit quelques minutes, pour s'obscurcir à nouveau". Schnelly la fait quelquefois croire, mais ce ne sont que quelqsues sons gutturaux qui sortent du gosier de Doofie quand elle essaie de crier. Doofy veut retrouver sa voix, elle se réveille en pleine nuit, s'assoet sur son séant, étouffant littéralement, elle pense mourir, puis récupère quelques lampées d'air, il n'y a plus beaucoup d'oxygène dans la chambre, car Schnelly qui respire comme une forge, tranforme tout cet oxygène en gaz carbonique...
"je ne veux pas mourir" crie Doofie qui descend l'escalier à moitié en courant, et cherche le doseur du médicament qui va lui dégager les narines, pendant 5 minutes, car rangé par Schnelly après la vaisselle, il n'est plus à sa place habtuelle.
Mais ses naseau ne se débouchent déjà plus aussi bien qu'à la première prise du médicament, le corps s'habitue déjà au mécidament.
Doofie pleure sa voix, essaie de pleurer, mais n'y arrive pas, larmes et sanglots restent coincés dans son arrière-gorge emplis d'une sorte de sable ou de sicure de bois. Etre bloqué dans ses sanglots par la maladie à cause de laquelle on sanglote, voilà bien le paradoxe!
domino
05:47 Publié dans Dummie et Cie à l'université, enseignement (3), Santé i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0)
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