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mercredi, 23 juin 2010

Doofie n'est pas contente...

Tiens, le titre est tout blanc... J'arrive à le voir en le surlignant ou plutôt en le selectionnant...

Bon, ce n'est pas de moi qu'il s'agit, mais de Doofie... (Comme d'habitude, toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite).

(Doofie vient de rentrer chez elle après le travail. Dummie l'a racommpagnée jusque chez elle, parce qu'elles habitent dans la même rue. Doofie cherche quelque chose dans l'entrée, près de l'ordinateur portable, car Doofie travaille habituellement dans l'entrée sur Internet, à cause de la prise de téléphone, dans laquelle elle branche sa box.)

Dummie : Qu'est ce qui ne va pas? Tu cherches quelque chose.

Doofie : Oui, je voulais metre le disque que Schnelly a ramené hier pour l'écouter, il était dans un sachet ici, et il n'est plus là... avec des journaux et des revues.

Dummie : Et les journaux et les revues?

Doofie : Elles ne sont plus là non plus...

Dummie : Où peuvent-elles être?

Doofie : Dans la salle de séjour... Non, j'ai beau chercher et regarder, même dans ses sacjhets le long du meuble, elles n'y sont pas...

Dummie : Il les a peut-être lues avant d'aller dormir?

Doofie : Je vais regarder là-haut. Non, j'ai regarder prêt de son lit, j'ai trouvé une revue allemande, mais rien de plus... elle devait être dans ces revues, mais sinon, je ne vois rien...

Dummie : Alors, il y a une mystère...

Doofie : Tu sais, hier soir .. c'est de ma faute... il s'est véxé...

Dummie : Pourquoi?

Doofie : Parce que je n'ai pas fait grand cas, de ce qu'il amenait, je n'avais pas le temps, car j'étais en train de faire un travail pour mes études et c'était un travail urgent.

Dummie : Qu'est ce que tu as dit?

Doofie : Laisse-les là, je regarderai plus tard...

Dummie : Et il a été vexé?

Doofie : Oui, en vieillissant, il se vexe facilement. Il les a sûrement reporté chez le marchand de journeaux, et pourtant c'était des séries que je collectionne... C'est comme cela qu'après, je n'ai plus la fin des séries de livres ou de revues... Une fois qu'il en ramène un le marchand de journaux croit qu'il ne les prend plus et ne le lui réserve plus.

Dummie : Alors, il va te manquer des numéros?

Doofie : Oui, c'est surtout pour les disques que je suis triste... Ma vie est faite comme cela, je suis contente de rentrer à la maison, et je vais encore pleurer...

Dummie : Alors, je ne sais pas quoi dire... Il faut changer de mari...

Doofie : Je ne peux pas, 36 ans de mariage, tu t'imagines, avec tous les souvenirs en commun.... Il y a un autre truc bizarre, ce matin, il s'est levé avant moi, j'avais l'impression d'avoir dormi trop longtemps...

Dummie : Et puis, on entend toujours des mobyletes devant chez toi...

Doofie : Oui, d'habitude, c'est quand je me sers de l'odinateur, qu'on entend des mobylettes, pourtant, c'est une rue en arrière qui ne devrait prendre que la circulation de la rue, parce que ça finit en cul-de- sac aux deux extrémités.

Dummie : Ils-ont peut-être des ordinateurs portables qu'ils branchent sur ton émétteur WiFi. Peut-être que ce sont aussi des espions informatiques qui volent tes notes avant que tu cliques sur "enregistrer".

Doofie : Ce n'est peut-être pas Schnelly tu sais... Peutl-être que ce sont les hommes à mobylettes qui l'obligent à lui donner des affaiers pendant que je dors...

Dummie : Mais ces mobylettes ne passent quand même pas à 5 heures du matin...!

Doofie : Si exactement, quand je suis déjà levée, j'en entend toujours une à 5 heures du matin..

Dummie : C'est peut-être un ouvrier qui prend le poste de six heures. Tu vois bien que tu n'es pas la seule à te lever à 4 heures et demi... Eux aussi, ils travaillent.

Doofie : Oui, mais ils ont fini à 14 heures et habitent pas loin de leur travail, s'ils vont à lmobylette...

Dummie : Et puis il y a des hommes qui cachent les affaires de leur femme pour les faire enfermer, ils disent qu'elles ne savent plus ce qu'elles font avec leurs affaires.

Doofie : C'est pour cela que je vais réformer toute la maison, je vais mettre partout des armoires qui ferment à clef, et des bibliothèques qui ferment à clef, j'ai des plans dans la tête pour cela, même avec les vieux meubles... j'essaierai de faier des transformations, j'ai fait un peu de lutherie, cela va me servir.

Dummie : Mais  où vas-tu mettre les clefs.... en sécurité...

Doofie : Je ne sais pas, je trouverai bien une cachette...

Dummie : Et quand Schnelly voudra quelque chose. Tu ne peux quand même pas lui interdire de toucher à vos affaires communes.

Doofie : Il ne range jamais rien... Il faudra que je fasse comme dans une biblothèque de prêt, que je répertorie tout et que je marque ce qu'il prend et qu'il me les montre quand il les remet en place. Je vais faire le répertoire de tout ce qui est dans la maison, objet par objet, livre par livre, disque par disque... feuille par feuille, cahier par cahier, classeur par classeur...

Dummie : Tu n'oublieras pas de mettre ton répertoire dans ton répertoire...

Doofie : Mon répertoire dans mon répertoire...?

Dummie : Bien sûr il faut que tu répertories ton répertoire, sinon, tu risques de ne plus le trouver!

Doofie :Je le metrai sur l'ordinateur, Schnelly ne sait pas aller dans mon odinateur, il est vérouillé de peur qu'il ne le mette en panne, il met souvent les affaires en panne...

Dummie : J'avais un collègue  qui  répertoriait tout ce qui était chez lui, il savait aussi exactement où étaient les affaires qu'il avait prêtées. Il avait des listes complètes de ses DVD, de ses cassettes vidéos et audios, de ses documents découpés dans des journaux. Un vrai documentaliste. Mais il est prof.

Doofie  : Ah! Oui, je vois, c'est monsiuer JeSaisTout!

Dummie : Exactement, tu le connais...

Doofie : Oh oui, j'ai été pendant dix ans sa collègue, pour cela, on ne peut lui jeter la pierre, il est très minutieux et méticuleux! Mais cela ne me dit toujours pas où est le disque que je voulais te faire écouter... Tant pis, buvons un café...

(Doofie se dirige dans la cuisine vers la machine à café... Dummie s'isntalle à table...)

(Doofie sert le café, puis s'asseoit. Doofie et Dummie reprennent leur conversation...)

Dummie : C'est comme mon Quicky pour les comptes... cela fait 36 ans qu'on est mariés, et il n'a jamais tenu plus de deux mois pour me donenr ses comptes et on a un compte commun. Alors, je ne sais jamais où on en est dans le mois...

Doofie : Schnelly, il est pareil, c'est pour cela qu'on est toujours fauchées.

Dummie : Pourtant, je lui dis, je luis dis, je formule des faux soupçons exprès pour qu'il me donne ses comptes, comme : tu entretiens une petite amie et tu ne me le dis pas...

Doofie : C'est méchant... Je ne ferais pas cela avec Schnelly, mais les rares mois où il m'a donné ses comptes je lui ai dit : Tiens regarde là, tu as acheté du chocolat pour un tel, tu naurais pas pu prendre une plus petite boîte. Schnelly, sa mère est allemande, alors, c'est cadeaux, cadeaux... il met même les gens mal à l'aise avec ses cadeaux...  Et tiens, pourquoi tu as acheté autant à manger ce jour-là, on a dû se forcer pour tout manger, sinon, on aurait dû jeter la moitié... etc...

Dummie : Oui, les hommes, ah, les hommes... rien à faire... on ne peut les changer... désordre... argent jeté par les fenêtres.... On n'a pas de chance d'avoir des hommes comme cela...

Doofie : J'ai entendu un bruit, là derrière...

Dummie : Oui, ça a fait come un petit poc, quelqu'un caché, pourtant toutes les issues sont fermées, le fantôme qui remet tes revues en place, une mouche peut-être qui s'est cognée dans le mur... J'ai peur Doofie, j'ai peur...

Dummie s'est aggripée au bras de Doofie et Doofie au bras de Dummie, elles disent toutes les deux :

Dummie et Doofie : J'ai peur, j'ai peur....

 

 

domino  (toute ressemblance de ces éléments avec la réalité est totalement fortuite).

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