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vendredi, 06 juin 2008

La petite pixie est née au Texas...

En fait, je me suis trompée, ce n'est pas l'ordianteur où sont nées les petites pixies qui a brûlé, mais le local de son  serveur  hébergeur du Texas, c'est ainsi que les petits pixies du monde entier ont pu se rassembler dans l'ordinateur déconnecté, puisqu'ils ne pouvaient plus être ailleurs, que dans cet ordinateur, et ont fêté les fiançailels d'Eliot et de la petite pixie. Cette panne de serveur a affecté 9000 serveurs du 31 mai jusqu'à aujourd'hui.

L'histoire de la panne ici (en anglais) : Clic, clic....

domino

Commentaires

En fait, mon économiseur d'écran ne fonctionnait plus non plus depuis une semaine. Je croyais que c'était un spy qui avait fait des modifications sur mon ordinateur, mais en fait, non... Il est revenu, mais en anglais, alors qu'il était en français avant, il semblerait qu'il vienne du même serveur.

Écrit par : domino_ | vendredi, 06 juin 2008

Tu suis de près cette histoire de panne. Moi je n'ai pas de petite pixie, je n'en veux pas pour ne pas encombrer mon blog, mes blogs....

Écrit par : elisabeth | samedi, 07 juin 2008

Quoi? On encombre nous! Bou_ou_ou_ou_ouh! Snif! Snif! Snif! Heureusement que maman ne pense pas la même chose que vous, Madame Elisabeth!

Écrit par : la peite pixie avec domino_ | lundi, 09 juin 2008

Non, mon i-grimoire n'est pas vraiment plus lourd avec les peitites pixies! Et je les soutiens entièement.
Quant aux boubouh et snif-snif, cela me fait penser aux deux bébés qui étaient les enfants de petites poupes de ma soeur et de moi. C'était deux petits bébés d'environ trois centimètres de haut! Et ils s'appelaient Bou-bouh et Snif-Snif. Ce sont des noms qui vont bien à des bébés. Mais ma soeur était encore un bébé (parlant) quand on leur a donné ces noms.

Écrit par : domino_ | lundi, 09 juin 2008

Erratum : entièrement, poupées.

Écrit par : domino_ | lundi, 09 juin 2008

Je sais qu'une fois quand j'étais petite, nous avons eu un bébé (poupon) très petit aussi, je pense qu'il faisait 4 centimètres. Il ressemblait aux autres baigneurs, ses bras et jambes s'articulaient ainsi que la tête. Mais il était noir. Je pense qu'il venait de ma cousine Sophie. Il devait se trouver dans le carton de jouets qu'elle nous avait donné quand elle a eu 12 ans (elle est née en 1949 et elle était fille unique, donc très gâtée, en plus elle vivait à Paris). Elle était devenue une jeune fille et ne voulait plus de ses jouets alors son grand père qui était le frère de mon grand père nous les a envoyés. Nous étions plus jeunes, mes soeurs et moi (1952, 1955 et 1957) et elle a pensé nous faire plaisir.

Écrit par : elisabeth | lundi, 09 juin 2008

Et est-ce que ça vous avait fait réellement plaisir? Moi, c'était le contraire, au bout d'un moment, il fallait nous séparer des jouets qui n'étaient plus de notre âge et les donner à des enfants plus jeunes, ma mère faisait un paquet avec les jouets que l'on donnait et les apportait quelque part, on ne sait pas où. Je crois qu'on en a retrouvé aussi beacoup dans le grenier de la nouvelle maison, surtout des livres. Quand on a déménagé de l'ancienne maison dans la nouvelle maison, j'avais dix ans et on a du jeter beaucoup de jouets.
Mon frère a à peu près l'âge de ta cousine, il est de 48, moi, je suis de 51 donc je suis née l'année juste avant toi, et ma petite soeur est née juste après ta plus jeune soeur en 59, on aurait du avoir une autre soeur entre ma soeur et moi, mais j'ai déjà raconté l'histoire ici, c'est elle qui avait une petite croix au Carré des Anges et était "dans les limbes".
Mon frère ne le sait pas, mais il a eu aussi des problèmes à la naissance, parce qu'il a été tiré avec un forceps, parce qu'il n'arrivait pas à sortir entièrement, et ma mère m'a dit un jour que c'est pour cela qu'il avait la tête plus allongée que nous. MA soeur et moi, on est arrivées toutes pimpantes en pleine forme. C'est mon père qui m'a annoncé la naissance de ma soeur, j'avais beaucoup prié pour avoir une soeur et pas un frère, parce que mon frère me taquinait beaucoup, et parce que je voulais avoir une poupée vivante. Quand mon père est revenu de la clinique, c'était le matin, je le vois encore dans l'encoignure de la porte de notre chambre devant moi, en train de dire à mon frère et à moi "Vous avez une petite soeur". Et j'ai dit "Une petite soeur, chic alors, c'est exactement ce que je voulais". Après je suis allée chez ma grand-mère qui me faisait des tresses blondes tous les soirs avant d'aller dormir (mais l'année suivante on a coupé mes cheveux et ils sont devenus châtain), puis quand je suis revenue, j'ai regardé comment on la changeait et je lui ai donné le biberon dès qu'elle a commencé à le prendre quand ma mère est passée à un allaitemetn "mixte". Elle achetait du Superlait pour les bébés.

Écrit par : domino_ | mardi, 10 juin 2008

La soeur de la petite pixie a mis une nouvelle robe, je ne l'avais encore jamais vue avec celle-ci, elle est noire avec des fleurs , elle est très jolie avec cette robe, si la petite pixie ne met pas la même rapidement, Eliot rique de changer d'amour....

Écrit par : domino_ | mardi, 10 juin 2008

Cela fait 8 ans d'écart entre toi et ta petite soeur. Je comprends que tu t'en souvienne. Ma fille aussi est née aux forceps mais elle a un visage rond. Elle n'a pas de séquelles.
Pour ce qui est de ma cousine, nous étions contentes de recevoir un colis d'elle et en plus de Paris, qui nous semblait loin. Elle était vraiment plus gâtée que nous. Fille unique de parents divorcés.... petite fille d'un fonctionnaire... tante célibataire, fonctionnaire et surtout petite fille unique du frère de mon grand père, Fernand, il s'appelait. L'autre frère de mon grand père, l'ainé qui s'appelait Emile, n'a jamais eu de petit enfant car son fils unique est mort à la guerre 14-18, fiancé avec une brave fille qui est toujours restée en contact avec ses futurs beaux-parents. L'oncle Emile était directeur des Nouvelles Galeries à Paris et il gâtait aussi sa petite nièce.

Écrit par : elisabeth | mercredi, 11 juin 2008

@Elisabeth : A moi aussi, Paris me semblait loin, d'autant plus que j'habitais encore plus loin de Paris que toi. Même Lille qui n'était qu'à 12 km me semblait loin.... On n'y allait que rarement, je me souviens qu'on y passait au retour de la mer au moment de Noël pour voir les éclairages de la Grand-Place dans la nuit, mais c'est un souvenir très vague. Les souvenirs les plus précis que j'ai de Lille avant mes études supérieures sont les suivants :
- L'achat de ma guitare, en février 68.
- Mon bac en 68, mon père m'avait conduite, mais j'ai du rentrer seule en tramway, on m'avait montré la route pour prendre le tramway avant, et ce fut pour ce retour, la première fois que j'étais seule à Lille. Cette année là, mon frère qui était 3 ans plus âgé que moi, mais passait son bac en même temps, faisait toutes ses routes à vélo par la piste cyclable du grand boulevard, ça faisait 11km à vélo, pour aller dans son lycée.
- Je me souviens aussi qu'on a été voir un défilé pour le tricentenaire du rattachement de Lille à la France après l'invasion de Louis XIV (on n'est pas vraiment français dans cette région!), mais je crois que c'était plus tard, pendant les grandes vacances. A partir de novembre 68, j'ai fréquenté la piscine universitaire (les cours étaient sur le campus scientifique à Annappes), et puis à partir de l'année suivante les cours de néerlandais à la vieille fac, puis à partir de la Licence (troisème année actuelle), on avait tous nos cours à la vieille fac, à Lille même.
Paris me semblait loin, et pourtant on allait en vacances plus loin que Paris, la plupart du temps. Mais on ne passait jamais à Paris, sauf une ou deux fois, lorsque mon père a voulu nous "montrer" Paris.

Écrit par : domino_ | mercredi, 11 juin 2008

Si je n'ai pas été à Lille avant mon bac, ce n'est pas parce qu'on ne me laissait pas seule... Depuis l'âge de 10 ans, je rentrais de mon école secondaire à pieds ou en autobus. C'était à trois kilomètres de la maison, j'allais aussi seule à la piscine, celle qui est devenue un musée. Depuis l'âge de sept ans, je faisais seule les courses dans le quartier pour mes parents.

Écrit par : domino_ | jeudi, 12 juin 2008

Si je n'ai pas été à Lille avant mon bac, ce n'est pas parce qu'on ne me laissait pas seule... Depuis l'âge de 10 ans, je rentrais de mon école secondaire à pieds ou en autobus. C'était à trois kilomètres de la maison, j'allais aussi seule à la piscine, celle qui est devenue un musée. Depuis l'âge de sept ans, je faisais seule les courses dans le quartier pour mes parents.

Écrit par : domino_ | jeudi, 12 juin 2008

Pour les cousines, je dois dire que du coté de mon père je n'avais pas beaucoup de cousins, un cousin germain (plus proche degré de parenté après les frères et soeurs), et deux cousins de mes grands oncles et grands tantes, et un cousin et une cousine par alliance. Par contre du coté de ma mère, mes grands-parents avaient 22 (ou 24?) petits-endants, donc des cousins germains pour moi, dont dix de la même famille proche (une soeur de ma mère a eu dix enfants). Plus des cousins plus éloignés.

Écrit par : domino | jeudi, 12 juin 2008

Ce devait être en 1970 le défilé du tricentenaire du rattachement de Lille à la France. Je sais qu'à Landrecies en septembre 1970 il y a eu un défilé historique : ma mère avait eu une robe d'époque Louis XIV, ma petite soeur était habillée en échevin. Des chars étaient passés dans la grand rue... Moi je n'avais pas eu de costume.

Écrit par : elisabeth | jeudi, 12 juin 2008

Mon mari qui est né en 1950 était aussi un an d'avance depuis l'âge de 6 ans mais il était dans une école catholique privée. Il habitait à MONS EN BAROEUL et faisait la route en vélo pour aller à son école. Il est né à FIVES, chez sa grand mère : aussi quand on lui demandait où il était né, (quand il était à l'école primaire) il répondait : "chez ma grand-mère" !!!

Écrit par : elisabeth | jeudi, 12 juin 2008

J'étais aussi dans une école catholique privée et aussi dans la région Nord-Pas de Calais (où l'on détient un bon record pour la hauteur des QI, surtout ceux des générations précédentes, car une part du QI est quand même due à l'enseignement). J'ai sauté les le deuxième et le troisième trimestre du CP et le premier trimestre du CE1, parce qu'au premier trimestre du CP j'avais 20/20 (ou 10/10, je ne sais plus) dans toutes les matières sauf en soin, parce qu'avec le porte-plume que je n'avais pas à l'école maternelle, je faisais des tâches (on disait des pâtés).
J'ai gardé mon année d'avance jusqu'au bac, que j'ai eu avec la mention AB à 17 ans et un mois, malheureusement en 1968, si bien qu'il était un peu dévalorisé bien que dans mon institution privée on avait été en classe en Mai et fait tout le programme. En sixième, l'une des filles de ma classe avait 2 ans d'avance, mais elle a redoublé sa seconde. Nous étions au moins une dizaine à avoir un an d'avance, essentiellement des latinistes, les scientifiques de mon institution étaient des D qui n'avaient jamais été latinistes pour la plupart, et venaient de l'enseignement court et avaient donc fait physique-chimie en quatrième troisième à la place de latin. J'avais du aussi passer un examen d'entrée en sixième, lors duquel j'avais renversé ma bouteille d'encre Waterman, qui avait une jolie forme, mais j'ai eu l'examen quand même pour la sixième classique. Une autre fille de ma classe plus âgée l'ayant eu pour la sixième moderne (sans latin). J'étais très embêtée d'avoir renversé ma bouteille d'encre, j'étais persuadée qu'à cause de cela je n'aurais pas l'examen, mais je l'ai eu quand même. J'avais du passer cet examen, parce que je venais d'une école primaire privée de quartier qui n'était pas l'école primaire de l'institution, et pas parce que j'aurais été mauvaise, au contraire. De toute ma jeunesse, j'étais persuadée ne pas réussir mes examens, et sauf ma première année de fac que j'ai du redoubler parce que j'avais 9,5/20 à l'examen écrit (je l'ai eu avec mention AB l'année suivante, et avec B en néerlandais, car j'avais troqué l'anglais contre le néerlandais lors de mon redoublement), ils me tombaient tout cuits dans le bec, je ne savais pas comment je faisais, tout le monde dans le quartier et dans ma famille (mes cousines) me regardait comme si j'étais un chien savant.

Écrit par : domino | vendredi, 13 juin 2008

Dans ma classe il y avait des élèves qui étaient jusqu'à trois à quatre mois plus jeunes que moi, la plus jeune était de septembre 51 et moi j'étais de mai. Donc celles qui étaient de juillet à septembre 51 ont eu leur bac à "16 ans et demi". Quant à moi, j'ai eu 16 ans et 16 ans et demi pendant presque toute ma classe de terminale, puisque j'ai eu 17 ans à la fin de l'année scolaire. A Pâques j'avais passé 15 jours en Allemagne chez ma correspondante qui passait aussi son bac (ABITUR), mais à 19 ans, comme c'est normal en Allemagne. Toutes ses amies me disaient : "Quoi? Tu passes déjà ton bac?" Là aussi, on me regardait comme un chien savant et en plus je débutais la guitare, j'apprenais les chansons traditionnelles allemandes (Volkslieder), que le père et le frère de ma correspondantes jouaient sur leur guitare, je ne jouais que depuis février et j'avais deux mois de guitare, mais je faisais tout les accords de base avec des barrés pour le Fa majeur et le Sib majeur, et je faisais des arpèges et tout et tout. A l'apoque on s'apprenait la guitare mutuellement entre amis et on apprenait beaucoup plus vite que dans les écoles de musique actuelles. Tous ceux qui jouaient de la gutare savaient s'accompagner en moins de temps qu'il en fallait pour le dire. On me faisait toujours chanter "Horch was kommt von draußen rein, holahi holaho", parce qu'on aimait bien ma voix de tête dans le "Holahi, holaho". et on me disait que j'allais bientôt passer à la télévision, mais je n'y suis jamais passée pour chanter.

Écrit par : domino_ | vendredi, 13 juin 2008

Lorsque j'ai parlé du néerlandais à la place de l'anglais, il s'agit bien sûr de l'option de langue 2. J'ai fait néerlandais débutant, donc deux ans de néerlandais avec la mention TB la deuxième année.

Écrit par : domino_ | vendredi, 13 juin 2008

En 68-69 l'option d'anglais était très mal organisée : il fallait suivre les cours avec les spécialistes qui étaient plus de 1500 dans un amphi (on était encore 400 en allemand, dans une université de province, en première année, là où les étudiants sont une trentaine maintenant).
Et sur ces 400 de première année ne sortaient que 7 à 15 succès au CAPES. A la fin de l'année 68-69, on a eu vaguement quelques cours d'anglais pour les germanistes, mais je n'ai pas passé l'examen en anglais car il fallait avoir l'écrit d'allemand pour passer l'oral en allemand et en option LV2. L'année suivante j'ai choisi en option le néerlandais débutant où nous n'étions qu'une trentaine, et où nous étions dorlotés par notre professeur; après ma mention de deuxième année le professeur m'avait écrit une lettre chez moi pour que je continue le néerlandais en troisième année, car il chherchait des étudiants, et il aurait même souhaité que je fasse une licence de néerlandais, mais je n'ai pas pu parce que pour avoir l'option enseignement à la licence d'allemand, il fallait deux certificats de littérature obligatoires et le certificat de traduction obligatoire, plus un autre certificat au choix liinguistique ou civilisation, car pour avoir l'option enseignement qui était la seule licence qui permettait de passer le CAPES et avec la maîtrise en plus, l'agrégation. On appelait cette licence, la licence d'enseignemt, ceux qui avaient par exemple un certificat de littérature, un de civilisation, un de linguistique et un de traduction avaient leur licence, mais pas la licence d'enseignement, qui était la mieux côtée de l'époque. Si on voulait faire l'option néerlandais, il fallait faire la traduction, une UV certificat de littérature, une UV d'allemand au choix (linguistique ou civilisation) et l('UV de néerlandais et dans ce cas la licence n'était plus non plus une licence d'enseignement, car il n'y avait plus deux certificats de littérature. Donc, j'ai fait la licence d'enseignement, avec la spécialisation linguistique, puisque c'était l'option que l'on choisissait déjà en licence en vue de la maîtrise.

Écrit par : domino_ | vendredi, 13 juin 2008

Plus tard dans mon université on a créé le DLENO, mais il était déjà trop tard pour moi (c'est là où avoir de l'avance joue des tours), c'était le Diplôme en Langue de l'Europe du Nord-Ouest, pour lequel il fallait en plus des UV d'allemand, avoir l'UV de néerlandais et certaines UV d'anglais. Les anglicistes devaient avoir des UV d'allemand et le néerlandais, mais je ne sais pas si ce diplôme qui a du être apprécié des entreprises de la région avant la création des LEA (qui n'existaient pas encore), a trouvé un grand écho ensuite. Plus personne ne doit savoir ce que c'est...

Écrit par : domino_ | vendredi, 13 juin 2008

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