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vendredi, 14 septembre 2007

Pensée du soir...

J'ai écrit une note critique, elle est tombée.... Critique interdite.

Je n'en reprend qu'une phrase :

Il n'y a qu'une dictature en France, celle de l'éducation nationale vis à vis de ses meilleurs professeurs. Ils se contentent de médiocrité, qu'ils gardent leur médiocrité, si je suis destituée à trois ans et demi de la retraite de fonctionnaire que je n'aurais plus pour refus d'aller chercher un congé maladie d'un an à la médecine du rectorat, tant mieux, je ne subirai plus cette dictature.

domino

Commentaires

OH !

Écrit par : elisabeth | vendredi, 14 septembre 2007

Pourquoi tu écris "Oh!", tu es choquée? Moi, je suis bien placée pour en parler parce que je suis prof depuis 1973, je ne peux te dire qu'une chose, le langage du rectorat qui m'accueillait avec petits gâteaux et café quand j'allais aux commissions de choix de sujets de BTS pendant presque 10 ans, alors que les dernières années, nous n'étions plus que les quatre professeurs les plus performants de la commission à y être convoqués pour trois académies, a durci son langage. A ces ordres de mission là, ceux qu'on recevait dans son casier sur des doubles feuilles pour le bac et les BTS, j'y accourais. Mais pas à ceux de leur médecine dictatoriale, car je vois comment ils m'ont remerciée pour tout ce travail, je ne peux dire qu'une chose, c'est une véritale dictature maintenant. Quand je vois que des proviseurs et des principaux de rattachement administratifs ont fait depuis cinq ans force rapport sur moi, alors que j'étais encore une professeure appréciée des services d'examens du rectorat il y a cinq ans, je me dis que vraiment, il n'y a pas à dire, c'est devenu la dictature du rectorat.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

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