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vendredi, 14 septembre 2007

le temps s'est arrêté

Le temps s'est arrêté sur mon i-grimoire. C'est la pendule de printemps rose et la pendule de printemps jaune qui se sont arrétées comme la vie s'arrête un jour.

 

Pourtant j'ai été voir sur le site de mon fournisseur de pendules virtuelles et sur les autres blogs à pendule, toutes les pendules fonctionnent sauf celles de mes blogs. Il y a un hic, je vais encore devoir chercher pourquoi et passer du temps à cela. Sans compter que le mail sur lequel arrivent vos commentaires, après un bref éveil avant-hier au soir, s'est de nouveau assoupi. Quelle... , le web... non, je vais rester polie.

domino

Commentaires

En ce moment tout fonctionne au ralenti. Internet, les tramways, la Poste etc .....

Écrit par : elisabeth | vendredi, 14 septembre 2007

Nous avions déjà eu vent d'une guéguerre entre le tramway de Montpellier et un bus de la côte, lorsque j'avais passé mon oral d'agrèg interne, que j'avais râté. J'alliais rêviser au bord de la mer, à Palavas-les-Flots, j'étais venue deux jours à l'avance. On avait le bus gratuit entre Montpellier et Palavas à cause de la guéguerre entre ces bus et les tramway, les bus étaient gratuits. Concurrence oblige!
L'oral n'est plus au même endroit en 2008, car ils changent le lieu tous les trois ans.
La poste est au ralenti et pour preuve....
Rien que la convocation à la médecine du rectorat du 28 août a mis un mois et demi à me parvenir en courrier lent, elle est arrivée trop tard. Ils m'envoient maintenant des recommandés avec des sanctions administratives, je ne les prends plus car je considère cela comme du harcèlement. Si la médecine du rectorat pense réellement que je déprime (comme ce fut le cas il y a cinq ans, où ils m'avait mise en congé pendant treize mois contre mon gré et ma volonté, me faisait extrêmement mal et me faisant perdre mon poste en lycée), alors la médecine du rectorat cherhce à me pousser au suicide en m'envoyant des sanctions administratives pour refus d'aller les voir. Moi, à chaque fois que je reçois une de leur lettre, je manque de tomber dans les pommes. C'est vraiment du harcèlement moral ce qu'ils font.

Écrit par : domino | samedi, 15 septembre 2007

Nous avions déjà eu vent d'une guéguerre entre le tramway de Montpellier et un bus de la côte, lorsque j'avais passé mon oral d'agrèg interne, que j'avais râté. J'alliais rêviser au bord de la mer, à Palavas-les-Flots, j'étais venue deux jours à l'avance. On avait le bus gratuit entre Montpellier et Palavas à cause de la guéguerre entre ces bus et les tramway, les bus étaient gratuits. Concurrence oblige! L'oral n'est plus au même endroit en 2008, car ils changent le lieu tous les trois ans. La poste est au ralenti et pour preuve....

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Je replace le commentaire d'au dessus que j'ai coupé en plusieurs fois, car il est tombé étant trop long :
(suite)Rien que la convocation à la médecine du rectorat du 28 août a mis un mois et demi à me parvenir en courrier lent, elle est arrivée trop tard. Ils m'envoient maintenant des recommandés avec des sanctions administratives, je ne les prends plus car je considère cela comme du harcèlement.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

(suite)
Si la médecine du rectorat pense réellement que je déprime (comme ce fut le cas il y a cinq ans, où ils m'avait mise en congé pendant treize mois contre mon gré et ma volonté, me faisait extrêmement mal et me faisant perdre mon poste en lycée), alors la médecine du rectorat cherche à me pousser au suicide en m'envoyant des sanctions administratives pour refus d'aller les voir.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

(suite) Moi, à chaque fois que je reçois une de leur lettre, je manque de tomber dans les pommes. C'est vraiment du harcèlement moral ce qu'ils font. Et je vais finir par déposer plainte contre la médecine du rectorat, le rectorat et ma principale.
Je ne vais plus chercher les recommandés, pour ne pas tomber dans les pommes à leur réception.
Bien sûr, le médecin du rectorat va dire : "Si elle manque de tomber dans les pommes à la réception des sanctions administratives, c'est qu'elle déprime". Ils font comme cela le harcèlement des sanctions administratives pour te faire déprimer et dire ensuite :"Vous voyez, on avez raison, elle déprime!". C'est ce que l'on appelle du harcèlement moral et lorsque les employés d"un ministère s'amusent, je dis bien, s'amusent, car je sais qu'ils se moquent de moi en envoyant les convocations et les sanctions et que dans leurs bureaux ils rigolent bien de moi, surtout ma principale qui à table rit du malheur des autres, elle est en train de rire de moi actuellement... Ils sont sadiques, c'est tout. Ils me poussent peut-être aussi à la démission, en tant que titulaire remplaçante, ils me renvoient chez moi en disant "On n'a pas de travail à vous donner, rentrez chez vous..." et après, ils signalent mon absence.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Et si je vais au collège, la principale me dit : "Je vous ai déjà dit mille fois, de ne plus venir ici, je n'ai pas de travail à vous donner". L'an dernier, ils m'on sanctionnée pour cinq jours d'absences (avec plein de jours fériés entre deux) que j'ai rattrapées,, absences dues aux colères de ma principale, colères que je ne pouvais plus supporter), et il m'ont sanctionnée parce que j'avais quitté momentanément un service de documentation qui n'était pas le mien. Puisque c'était les heures que ne voulait pas faire la TZR de français, qui avait choisi de faire de la documentation volontairement l'année précédente pour rentrer dans son académie; car notre service est limité à 18 heures. Et maintenant la principale fait le contraire,elle hurle dès qu'elle me voit dans le collège. Alors que j'ai donné après mes 5 jours d'absence un certificar médical disant que je pouvais rentrer sans stress ni provocateurs (la principale provocatrice concernée étant ma principale).

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Bien sûr, ce certificat, ma principale ne le trouve plus, j'aurais du le donner à la secrétaire pour qu'il y ait un témoin du passage du certificat dans le collège. Mais dire qu'on a pas reçu un papier quand on l'a donné en main propre, c'est du harcèlement moral aussi. J'aurais du lui demander de mettre un cachet à date dessus et de me donner le double.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Et si je vais au collège, la principale me dit : "Je vous ai déjà dit mille fois, de ne plus venir ici, je n'ai pas de travail à vous donner". L'an dernier, ils m'on sanctionnée pour cinq jours d'absences (avec plein de jours fériés entre deux) que j'ai rattrapées,, absences dues aux colères de ma principale, colères que je ne pouvais plus supporter), et il m'ont sanctionnée parce que j'avais quitté momentanément un service de documentation qui n'était pas le mien. Puisque c'était les heures que ne voulait pas faire la TZR de français, qui avait choisi de faire de la documentation volontairement l'année précédente pour rentrer dans son académie; car notre service est limité à 18 heures. Et maintenant la principale fait le contraire,elle hurle dès qu'elle me voit dans le collège. Alors que j'ai donné après mes 5 jours d'absence un certificar médical disant que je pouvais rentrer sans stress ni provocateurs (la principale provocatrice concernée étant ma principale).

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Comme c'était un service de rattachement facultatif et non déclaré au rectorat par la principale, en tout cas pas en tant que documentation, je n'étais pas obligée de donner un certificat médical pour une absence, car il ne s'agissait pas d'une affectation, ma véritable affectation étant "Zone de remplacement de..."

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Ich will gar nicht krankgeschrieben werden, im Gegenteil, ich habe keine Magenprobleme, keine Schlaflosigkeit, keine Unkonzentriertheit, es sei denn zwei oder drei Stunden nach Erhaltem der Briefe, ich habe nur Lust zu schreien und ich heule laut, wenn ich diese Briefe bekomme, mein Mann legt nicht mehr seine Hand auf meinen Mund, seidem wir neue Nachbarn haben, so dass wir nicht mehr miteinander kämpfen, wenn ich solche Briefe bekomme, aber das dauert nur eine halbe Stunde, dann bn ich wieder fit und kann wieder arbeiten. Mich krankschreiben lassen, das wäre : ihnene recht zu geben, denn das gerade wollen sie, dass ich mich krank einschreiben lasse. Ich weiB, nur die westliche Gesellschaft verbietet zu heulen. Ich dürfte im Mittelosten richtig heulen, so viel ich will, ohne krankgeschrieben zu werden. Heulen ist das Mittel, das Leid aus sich selbst zu bringen und nicht krank zu werden, keine Magenprobleme oder Schlaflosigkeit zu bekommen. Antieuropäer hatten meine Paperboard-Rolle gestohlen : es ist eine politische Sache gegen die ich passiven Widerstand leiste, es hat nichts mit Krankheit zu tun.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Tippfehler :
ihnen und nicht ihnene

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Alors, actuellement, tu n'as pas de poste. Va voir sur le blog de NICOLAS PROF MILITANT. Il a lui aussi des problèmes avec l'E.N. Il a été envoyé de BEZIERS à la région Parisienne et a fait cours une seule journée. Ensuite on lui a dit de partir et depuis il attend un poste.

Écrit par : elisabeth | samedi, 15 septembre 2007

Si Nicolas a été changé d'académie il ne peut s'agit que d'une mutation à sa demande s'il est titulaire. Quand on est titulaire on ne peut obtenir un changement d'académie qu'à sa demande. On remplit d'abord une demande de mutation inter-académique pour changer d'académie, puis une demande de mutation intra-académique pour donner ses préférences à l'intérieur d'une académie, par exemple pour les jeunes profs qui au bout de quelques années ont suffisamment de points pour "rentrer au pays" et demandent un poste près de chez leurs parents et où ils ont leurs amis d'enfance.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Deuxième possibilité, il s'agit d"un stagiaire ou d'un néo-titulaire. Les stagiaires qui étaient déjà en poste avant, par exemple les AE qui passent certifiés ou les certifiés qui passent agrégés gardent leur poste et font leur stage sur leur poste. Si je réussissais l'agrégation, je serais dans ce cas là, car j'ai un poste (je ne suis pas sans poste) qui est une Zone de Remplacement, celle dans laquelle j'ai eu depuis 1977 jusqu'à il y a quatre ans des postes établissement (c'est à dire pas de titulaire remplaçante comme maintenant, mais de titulaire tout court). Ce n'est que depuis mon congé longue maladie d'il y a cinq ans que je me suis retrouvée en zone de remplacement, parce que j'ai perdu mon poste en lycée pendant le congé. C'est pourquoi je ne veux pas aller à la médecine du rectorat, s'ils me mettent à nouveau en congé, je risque de perdre ma zone de remplacement, et de ne plus la retrouver en revenant du congé et d'être nommée plus loin, loin de ma maison (payée entièrement depuis 8 ans) et de mon époux et de l'endroit où il travaille, ce qui à notre âge pourrait être néfaste à notre vie, si par exemple l'un de nous deux tombait malade en pleine nuit, et n'aurait pas l'assistance de l'autre. D''ailleurs nous nous sommes promis devant un homme de loi lors de notre mariage assistance mutuelle, donc, nous séparer par le travail serait contraire aux lois du mariage, donc au code civil.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Pour en revenir aux stagiaires et aux néo-titulaires, d'abord pour les stagiaires qui n'ont jamais enseigné ou qui n'étaient pas titulaires de leur poste, il se peut qu'il y ait pas suffisamment de candidats admis dans leur académie dans leur matière (généralement on met ensemble pour la deuxième année d'IUFM, les jeunes stagiaires agrégés et les jeunes stagaiires de CAPES) Cela a été par exemple le cas les années précédentes en alleamand dans mon académie, où les stagiraires certifiés et agrégés ont du aller dans une autre académie faire leur stage, car ils avaient rassemblé les stagiaires de plusieurs académies pour faire le nombre. Mais ils sont revenus ensuite dans leur académie pour leur premier poste, la plupart du temps, s'ils voulaient revenir, ils y sont arrivés. Avec tous les néo-certifiés et néo-agrégés en provenance d'autres académies, ils avaient quelques chances d'être pris en priorité, surtout s'ils avaient un rapprochement de conjoints pour revenir ici. Car on prend dans mon académie des néo-certifiés et néo-agrégés d'allemand qui ont des postes près de chez moi, alors que je n'arrive pas avec plus de points qu'eux à obtenir les mêmes postes.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

2) En ce qui concerne les néo-titulaires, néo-certifiés et néo-agrégés, ils doivent demander un poste au sortir de leur stage. S'il n'y a pas de poste vacant dans l'académie où ils ont fait leur stage ou dans s'ils veulent revenir dans l'académie où ils ont fait leurs études, s'il n'y avait pas de stage dans leur académie au départ, ils demandent un poste dans l'académie de leur choix en choisissant plusieurs académies qu'ils mettent sur leur demande par ordre de préférence. Et s'ils ne savent pas s'ils seront mutés ou non dans les académies de leur choix, ils terminent leurs voeux par France entière. Donc, Nicolas doit être dans ce cas là. S'il n'a pas choisi l'académie de Paris et qu'il y a été muté, c"est sans doute suite à une titularisation pour laquelle il n'y avait pas de poste vacant pour l'académie de Béziers ou pour une académie environnante. En ce qui concerne l'allemand par exemple le mouvement est complètement bouché dans l'académie de Montpellier et dans les académies du Sud qui reçoivent par contre beaucoup de professeurs d'Espagnol, ceci étant déterminé géographiquement par les pays limitrophes.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

Il est beaucoup plus facile pour un nouveau professeur, d'obtenir un poste de SVT (anciennement biologie), de maths ou d'histoire-géo près de chez lui, que d'obtenir un poste d'allemand ou de philosophie où le mouvement de mutation est bouché dans toute la France y compris l'académie de Lille jadis déficitaire et qui a accueilli beaucoup de professeurs en provenance de tous horizons, dont la moitié environ ont fait souche dans la région jusqu'à leur retraite. Ayant souvent créé une famille dans cette académie. Empêchant les professeurs du cru d'obtenir facilement des mutations intra-académique, par exemple pour se rapprocher du travail du conjoint.

Écrit par : domi_no | samedi, 15 septembre 2007

En ce qui me concerne, je n'ai jamais pu obtenir le poste lycée à proximité du travail de mon mari. Je suis originaire de mon académie, mais mon mari a été nommé à 135 km de mon lieur de naissance et d'études pour son premier poste. J'ai essyayé de m'en approcher, et j'ai eu mon premier poste de titulaire à 35 km du sien, alors que dans le lycée près du sien était nommé un couple de profs d'allemand (dont la dame vient de prendre sa retraite) en prevenance d'une académie excédentaire en germanistes, alors que nous étions à l'époque (mais ce n'est plus le cas maintenant ,déficitaires en profs d'allemand). Bien qu'ayant obtenu jusqu'à ma dernière mutation d'établissement à établissement en 1993 (je suis restée 10 ans sur le dernier jusqu'à mon congé maladie de 2002, lié à l'inspection au rapport bizarre) qui disait pratiquement le contraire de ce que j'avais fait pendant les cours), parce qu'on trouvait jusqu'à cete date facilement des postes vacants dans mon coin, je n'ai jamais pu obtenir un poste lycée près de l'établissement de mon mari à cause du couple en provenance d'une autre académie, qui nommé à leurs débuts de profs sur ce poste y sont restés jusqu'à la retraite. Et pourtant, contrairement à nous ils n'avaient aucune attache familiale ici. Et le troisième poste du lycée était un poste à bascule, car ne faisant pas aimer l'allemand aux élèves leurs effectifs diminuaient de plus en plus, alors que dans le lycée ou je suis restée 10 ans qui a le même nombre d'élèves, nous avons réussi tant que j'étais là et encore après à maintenr quatre à cinq postes. C'est pourquoi je n'ai jamais demandé ce troisième poste, au lycée près de celui de mon époux (ce qui aurait été interessant avant que j'achète la maison) et le monsieur du couple a perdu
ces deux dernières années le deuxième poste dans ce lycée, il a été nommé dans un collège l'année dernière ou il faisait un mi-temps en documentation (on a le droit de lui donner de la doc, dans la mesure où il faisait neuf heures d'allemand, car il faut faire la moitié de son horaire dans sa matière et s'il n'y a pas la moité de l'horaire dans ta matière, on ne peut pas te demander de documentation ou d'autre matière, alors tu restes chez toi si on a rien à te donner, si tu es titulaire remplaçant, en attendant un remplacement, masi tu es payé quand même de la totalité de ton salaire). Un agrégé titulaire remplaçant, même s'ils n'a pas d'heures, est payé la totalité de son salaire d'agrégé.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

En ce qui me concerne, je n'ai jamais pu obtenir le poste lycée à proximité du travail de mon mari. Je suis originaire de mon académie, mais mon mari a été nommé à 135 km de mon lieur de naissance et d'études pour son premier poste. J'ai essyayé de m'en approcher, et j'ai eu mon premier poste de titulaire à 35 km du sien, alors que dans le lycée près du sien était nommé un couple de profs d'allemand (dont la dame vient de prendre sa retraite) en prevenance d'une académie excédentaire en germanistes, alors que nous étions à l'époque (mais ce n'est plus le cas maintenant ,déficitaires en profs d'allemand). Bien qu'ayant obtenu jusqu'à ma dernière mutation d'établissement à établissement en 1993 (je suis restée 10 ans sur le dernier jusqu'à mon congé maladie de 2002, lié à l'inspection au rapport bizarre) qui disait pratiquement le contraire de ce que j'avais fait pendant les cours), parce qu'on trouvait jusqu'à cete date facilement des postes vacants dans mon coin, je n'ai jamais pu obtenir un poste lycée près de l'établissement de mon mari à cause du couple en provenance d'une autre académie, qui nommé à leurs débuts de profs sur ce poste y sont restés jusqu'à la retraite. Et pourtant, contrairement à nous ils n'avaient aucune attache familiale ici. Et le troisième poste du lycée était un poste à bascule, car ne faisant pas aimer l'allemand aux élèves leurs effectifs diminuaient de plus en plus, alors que dans le lycée ou je suis restée 10 ans qui a le même nombre d'élèves, nous avons réussi tant que j'étais là et encore après à maintenr quatre à cinq postes. C'est pourquoi je n'ai jamais demandé ce troisième poste, au lycée près de celui de mon époux (ce qui aurait été interessant avant que j'achète la maison) et le monsieur du couple a perdu
ces deux dernières années le deuxième poste dans ce lycée, il a été nommé dans un collège l'année dernière ou il faisait un mi-temps en documentation (on a le droit de lui donner de la doc, dans la mesure où il faisait neuf heures d'allemand, car il faut faire la moitié de son horaire dans sa matière et s'il n'y a pas la moité de l'horaire dans ta matière, on ne peut pas te demander de documentation ou d'autre matière, alors tu restes chez toi si on a rien à te donner, si tu es titulaire remplaçant, en attendant un remplacement, masi tu es payé quand même de la totalité de ton salaire). Un agrégé titulaire remplaçant, même s'ils n'a pas d'heures, est payé la totalité de son salaire d'agrégé.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

@ Antwort : Das Problem bei mir ist Folgendes : ich denke, dass die Médecine du Rectorat auch auf der Seite der Mobbing-Machenden steht, - kann man auch Mobber sagen?- sie wollen angeblich meine "Mobbenden" vor meinen Nervenanfällen schützen, da wo meine Nervenanfälle nur Antworten auf ihre Wutanfälle sind. Denn mit der Wut beginnen meine "Mobbenden", und vor allem die Schuldirecktorin als erste. Meine Schuldirektorin war auch am Schulanfang (am 2. September und wieder am folgenden Freitag) gegen mich wütend, weil ich nicht auf der Médecine du Rectorat war, also ist es der Beweis dafür, dass die Médecine du Rectorat auf ihrer Seite steht und nicht auf meiner. Aber diesmal bin ich sehr ruhig geblieben (ich hatte ja die Sommerferien dazwischen, um mich auszuruhen, und bin also ganz cool geblieben), ich habe ihr nur Texte über den Statut de Titulaire Remplaçant (TZR) und über den Dienst in einem andern Fach vorgelegt. Und schlieBlich hatte ich in dieser Hinsicht recht.Sie war auch wütend darüber, dass ich wieder den Arbeiter der Geschichte mit dem Paperboard angegriffen hätte, obwohl ich ihn nur gefragt habe, ob er wirklich der war, der gegen mich einen Bericht geschrieben hatte, und da er sich zuerst gar nicht mehr daran erinnerte, und nur nach einer Weile getippt hat, denke ich, dass diese Geschichte ihm ganz gleichgültig war, und dass meine Direktorin ihn gezwungen hat, diesen Bericht zu schreiben. Und so habe ich ihn gefragt, ob auch er während der Sommerferien die ganze Zeit so wie wegen dieser Geschichte ich gelitten hatte, und das ich deswegen gar keine schönen Ferien gehabt habe, während er auf seinen beiden Ohrlappen geschlafen hatte, das habe ich mit einer Stimme in der Nähe des Tränenausbruches gesagt, und es schien ihn gar nicht zu berühren. Und dann hätte er erzählt, ich hätte ihn angegriffen. Ich habe ihm gesagt, dass die Wörter hysterisch une paranoisch, die er mich beschreibend in seinem Bericht benutzt hatte, abwertend seien und als Schimpfwörter betrachtet werden können, und das ich mit seinem Bericht vor dem Gericht Anklage erstellen konnte. Alles was ich ihm das ohne zu schreien gesagt habe, hat er als Angriff interpretiert, obwohl es sich nur um eine friedliche Erklärung handelte. Wäre ich er, hätte ich meinen Bericht sofort zurückgezogen, anstatt mich des "Angreifens' anzuklagen, denn ich wollte ihn nur vor seine Verantwortung stellen.
Was ich alles seit der Geschichte des Paperboards erdulden muss, ragt weit über diese kleine friedliche Erklärung, und dieser Arbeiter denkt zwei Wochen danach sicher nicht mehr daran, und schläft wieder auf seinen beiden Ohrlappen. Nun ist das Leben so, die Opfer werden bestraft und die Henker gratuliert und befördert. Oft gibt man einem Mobbing-Henker eine höhere Position in einem anderen Arbeitsort, um ihn vom Opfer zu entfernen, aber ihm ist er gleich, weil er dann mehr Lohn bekommt; oder sie entfernen das Opfer nach der Krankschreibung, um es zu "schützen", aber dabei verliert es oft seine Stelle, oder den Arbeitsplatz nicht allzu weit von zu Hause. Die Mobbing-Henker sollten bestaft werden, und nicht die Opfer wie ich. Und eine Krankschreibung wäre für mich so was wie eine Strafe wie vor fünf Jahren.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

"Auf beiden Ohren schlafen" heiBt auf französisch "gut schlafen". Eigentlich heiBt es, während ich mich wegen der Haltung dieser Person mir gegenüber Sorgen mache, schläft sie sehr gut, ohne mehr an die Sache zu denken.
Eigentlich gab es, soviel ich weiB in dieser Schule (collège, so etwas wie eine Realschule), kein Mobbing gegen mich bis zum vierzehnten Mai. Ob es sich bei der Sache mit dem Paperbaord (eine Tafelpapierrolle war eben veschwunden, obwohl ich damit zwei Minuten davor gearbeitet hatte, und sie auf einem Tisch ausgebreitet hatte als Vorarbeit für den nÄchsten Tag. Es war für eine Austellung über gerade Österreich und osteuropäische Länder. Das war in der Schulbibliothek und meine Kollegin hat am nächsten Nachmitag die Papierrolle in einem Schrank der Schulbibliothek wiedergfunden, dazwischen war die Mittagspause, wo jeder, der die Schlüssel besaB und es sind viele, in die Schulbibliothek eintreten konnte. Ich hatte schon zweimal im Schrank nachgeschaut, einmal am vorigen Abend kurz nach dem Verschwinden der Sache und einmal an jenem Morgen, wo die Papierrolle wiedergefunden worden ist. Vorlagen der Ausstellungsblätter waren drin.
Eigentlich war ein Arbeiter ungewohnterweise in die Schulbibliothek eingetreten ganz kurz bevor die Sache verschwand. Ich oder eine junge Frau, die die Schüler beaufsichtigt (aber es gab keine Schüler da an diesem Tag), hatten Papiere auf die Tische mit Tesastreifen geklebt, um davor zu warnen, dass Materiale nicht entfernt werden durften. Aber die sind nicht von meiner Schrift. Meine Schuldirektorin klagt mich diese "Plakate", eigentlich ganz normale Maschinenpapierblätter gegen diesen Mann geschrieben zu haben. Als ich ihr am folgenden Morgen darüber informierte (und dies über das Schultelefon), hat sie auf einmal geschimpft, mir gesagt, es sei nicht normal gegen diesen Mann etwas zu sagen, usw... Er wâre nur in die Bibliothek ein- und ausgetreten.
O der arme Mann, usw... Und dabei hatte ich nirgends etwas gegen diesen Mann geschrieben!!!!
Da brach ich so in Tränen aus, es klang am anderen Ende des Telefons wie Wut, obwohl meine Schulleiterin zuerst wütend war, und Wutanfälle hat sie oft.
Als ich am nähcsten Arbeitstag, am Freitag wieder in die Schule kam, wollte sie dass ich in ihr Büro komme, wahrscheinlich um die Berichte, die sie gegen mich gemacht hatte und zum Rektorat schicken wollte mich unterschreiben zu lassen.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

(Fortsetzung) Da gab es ein groBer Krach, weil ich nicht in ihr Büro wollte, sie kam in die Bibliothek wütend herangesprungen, hatte vorher die Schüler weggejagt, und schimpte ganz laut gegen mich. Ich war gerade dabei, die Bücher die die Schüler ausgeliehen und zurückgegeben hatten in den Computer zu registrieren, eine wichtige Arbeit, sie nahm mir die Leihkarten aus der Hand, schimpfte das ich meine Arbeit aufgeben sollte, gleich in ihr Büro kommen sollte, weil sie nicht in der Schulbibliothek und das obwohl wir allein waren, mit mir reden wollte. Eigentlich bin ich keine Bibliothekarin, sondern Schullehrerin, aber ich musste diese Bibliothekstunden machen, weil man keine Deutschstunden mehr für mich hatte, und mein Kollege, obwohl weniger gradiert als ich, wollte nicht seine Deutschstunden mit mir teilen. Und ich bin doch beamtete Deutschlehrerin hohen Grades. Und ich habe in dieser Stadt eine gute Arbeit gemacht, und das mit meinem Mann, um die Zahl der Schüler zu steigern. Diese Schule hat jetzt mehr als Zwanzig "sixièmes", die Deutsch lernen (und "cinquièmes" auch) und in der Schule meines Mannes gibt es auch auf einmal mehr "Quatrième zweite Fremsprache". Die nahe Pensionierung des anderen Deutschlehrenden Ehepaar, die im Gymnasium lange Zeit der deutschen Sprache geschadet haben, so pingelig waren sie mit den Schülern, hat vielleicht auch zu der Steigerung der Deutschlernenden beigetragen.

Écrit par : do_mino | dimanche, 16 septembre 2007

Was das Mobbing betrifft, ist es so : meistens kümmert sich die Schulleitung gar nicht um die Erfolge des Lehrers, findet nur die kleinen Sachen heraus, die schief gehen, und machen aus dieser Mücke einen Elefanten. Die Kollegen fürchten sich etwas gegen die Schulleitung zu sagen und den Kollegen zu verteidigen, weil sie Angst davor haben, selbst Opfer von Mobbing zu werden, also spielen sie die Gleichgültigkeit gegen den gemobbten Kollegen.
Mobbing kann von einem eifersüchtigen Kollegen Erfolgen, der der Leitung den gemobbten Kollegen schwarz malt. So war es in meinem frühen Gymnasium, wo Herr "Ich-weiB-alles-,-was-in-dem-Gymnasium-los-ist" viel über mich redete.
Hier handelt es sich mehr um eine politische Sache:
Meine Ausstellung ist über Europa und in Frankreich gibt es viele Anti-Europäer, vielleicht gehörten die Arbeiter dazu.
Oder die Kollegin (eine Literatutlehrerin in französicher Sprache oder eine Französischlehrerin in Frankreich) wollte nicht, das ich weiter dort arbeite, und dies aus gewerkschaftlichen Gründen, wir kämpfen nämlich gegen Anstellungen in FÄchern für die wir nicht qualifiziert sind (ich auch), und auch nicht in Ihrem Fach arbeitend, wollte sie so wenig wie möglich tun, und fand, ich tat zu viel.
Also wünschten sie aus einem oder diesem Grund vielleicht das Scheitern meiner Ausstellung.
Die Gewerkschaft sagt nicht vieles dazu, sie war dagegen, dass ich während der Ferien zum Artz des Rektorats hingehen sollte, wo ich wegen der Sache mit dem Papierboard hingehen müsste. Aber haben nichts gegen die zwei Viertel des Monatsgelds getan, die ich währenddessen verloren habe, weil ich bei den Arzbesuchen in den Sommerferien abwesend war. Und sie hatten mir geschrieben, Schreiben Sie, dass sie wegen der Ferien abwesend sind, das habe ich geschrieben, aber die Entschuldigung ist nicht angenommen worden. Und die Tatsache, dass ich wegen des nicht-bekommens des zweiten Briefes nicht gekommen bin (während der Ferien geschickt) wurde auch nicht angenommen.
Eigentlich hatte ich an diesem Tag um die gleiche Zeit einen schon zwei Monaten vorher genommenen Termin beim Zahnartz, aber ich will es nicht sagen, weil ich sonst den Namen meines Zahnartztes geben soll, und ich fürchte,dass er auch Opfer von Mobbing wird, wenn sein Name vom Rektorat bekannt wird.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

Denn in solchen Sachen, wenn die Leute gemobbt werden, versucht man die Leere um ihnen zu tun, und wenn sympathische Leute sie verteidigen, werden sie auch mitgempbbt. Zum Beispiel haben meine erwachsenenen Schüler seit zwei Jahren fast alle gesundheitliche Schwierigkeiten, oder Unfâlle, oder Toten in ihren Familien (Opfer von Unfällen, die Schwiegertochter einer Schülerin, (eine Tote in einem Unfall, eine Verletzte in einem anderen) die Schwester einer Schülerin (von ihren (angehztzten?) Kühen getötet, usw... Bei den Schülern : ein Schlaganfall, ein Gehirtumor... das alles scheint mir seltsam. Auf der Uni hatten in einem Jahr fast alle Agregationsstudenten, darunter ich, einen Auto oder Motorradunfall, wo sie verletzt wurden, eine Kollegin wurde sogar dreimal in einem Jahr verletzt, und die Unfälle passieren immer auf der gleichen Weise, ein Wagen dahinter stöBt von hinten gegen unsere Wagen, die an der Ampel oder an einer Kreuzung halten. Sommer 2002 erstes Mobbing, in meinem Stadtviertel kamen immer Pariser Wagen (Es gibt ganz wenige bei uns)aus den Kreunzungen neben meinem Zuhause von SeittnstraBen ganz schnelle vor mir heraus gesprungen. Damals hatte ich noch keine Blogs. Juni 2007 : viele Wagen machen gefährliche Manöver vor mir. Wie zum Beispiel schnell halten und schnell eine Tür öffnen, umkehren, von einer SeitenstraBe ganz schnell herkommen, von einem Parkplatz vor mir rausspringen, usw... Das gab's nicht mehr in den Sommerferien, weil man dachte, ich sei krankgeschrieben, aber ich war es nicht...Veilleicht ein Mobbing, um zu machen, dass ich bei der Agrégation durchfalle.

Écrit par : do_mino | dimanche, 16 septembre 2007

"...C'est ce que l'on appelle du harcèlement moral et lorsque les employés d"un ministère s'amusent, je dis bien, s'amusent, car je sais qu'ils se moquent de moi en envoyant les convocations et les sanctions et que dans leurs bureaux ils rigolent bien de moi, surtout ma principale qui à table rit du malheur des autres, elle est en train de rire de moi actuellement... Ils sont sadiques..."

A mon humble avis, avec de tel propos tenus...il ne faut surtout pas que la médecine du rectorat tombe sur ton Blog et ta véritable identité.
Tu risques l'enfermement en asile psychiatrique.
Réfléchis bien !!!

Écrit par : u surpateur | dimanche, 16 septembre 2007

Cela m'étonnerait, je suis protégée de cela par un autre médecin.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

De toute façon, mon mari peut signer une décharge, et dans ce cas, je n'irai pas là-bas. En déontologie médicale, je m'y connais un peu. Un médecin m'a fait lire tout le site... de déontologie médicale, pour me montrer que sur les histoires de vouloir que je me teigne les cheveux il y a cinq ans, j'aurais pu déposer plainte contre le médecin.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

De plus la médecine du rectorat n'est pas une médecine du travail, ce ne sont pas des médecins de la sécurité sociale, ils n'ont qu'un rôle préventif et n'ont pas le pouvoir de faire interner quelqu'un.

Écrit par : domi_no | dimanche, 16 septembre 2007

Quel rectorat au fait ?

Écrit par : u surpateur | dimanche, 16 septembre 2007

@u usurpateur :
Et vous croyez que je vais vous répondre? Vous croyez au père Noël?

Écrit par : do_mino | dimanche, 16 septembre 2007

C'est bien que tu es consciente que tes propos risquent de te perdre s'ils venaient aux oreilles du rectorat.
N'est ce pas ?
Cela s'appelle le devoir de réserve...Non ?
Ton acharnement maladif et tes accusations récurentes vis à vis de tes "supérieurs" et de ton administration à qui tu dois une certaine fidèlité ne seraient certainement pas apprécié.

Alors oui, tu risques d'être déposée 3 ans avant la retraite.
Aussi, calme toi un peu. Ne prend pas tout au premier degré et modère tes propos.

Écrit par : l'usurpateur | dimanche, 16 septembre 2007

Et alors, un blog, c'est un journal, on a le droit d'y exprimer ses sentiments, et en plus je suis plus agée que mon administration, alors tout supérieurs hiérarchiques qu'ils sont, leur soi-disant supériorité ne vaut rien face à mon droit d'ainesse. Dans certaines sociétés, mon âge me vaudrait le titre de sage.

Écrit par : domino | lundi, 17 septembre 2007

Mon blog est peut-être connu du rectorat, mais ils ne savent peut-être pas de qui il est exactement. Ou alors, ils savent, je ne suis harcelée que par deux services du rectorat : la médecine, leur secrétariat, et le service chargé de contrôler les ordres de mission, puisque s'ils m'enlèvent 1/30ème de salaire, c'est parce que ce sont des ordres de mission valant convocation à la médecine du rectorat. Pour moi, aller là-bas n'est pas une mission, ce n'est pas un service à effectuer. Ce genre de convocation pour une visite médicale ne doit pas être qualifié d'ordre de mission, c'est illégal. Car il n'y a pas de mission à remplir à la médecine du rectorat pour moi, ce n'est pas moi qui ausculte, ce n'est pas moi qui mène l'interrogatoire policier du médecin. Ils me demandent de reconstituer oralement ma carrière, alors que tout est inscrit sur les ordinateurs, que depuis 5 ans, j'ai fait faire toute les rectifications nécéssaires. Il y a une keylogger ici, je le sens dans les touches de mon clavier qui sont soudain devenues dures.

Écrit par : domi_no | lundi, 17 septembre 2007

Un keylogger est un logiciel espion qui enregistre dans un fichier toutes les actions d'un clavier.
Il n'a aucune incidence sur le clavier physique.
Regarde plutôt si une miette de pain ou une saleté quelconque n'est pas coincée sous les touches.

Pourquoi te retire t-il 1/30 eme de traitement ?
Pour non réponse à une convocation devant un médecin ?
Pourquoi refuser alors ?

Écrit par : l'usurpateur | lundi, 17 septembre 2007

Voilà un usurpateur devenu sérieux?? Je ne sais pas pourquoi ils enlèvent 1/30 du salaire, surtout sur des journées de vacances, c'est pour le moins bizarre... Et si je refuse cette convocation, c'est parce qu'ils veulent me mettre un congé depuis le 15 Mai, alors que j'ai travaillé en juin. Et que j'ai fait ma prérentrée et que je n'étais pas obligée de faire un service de documentaliste l'an dernier parce que je suis professeur d'allemand, et parce que cette année, on m'a "libérée" de service de rattachement, en attendant qu'on m'appelle pour un remplacement, donc je ne suis pas malade.

Écrit par : domi_no | lundi, 17 septembre 2007

Bonjour Domino,
Pour en revenir à Nicolas, prof militant, il a 23 ans et débute dans le métier. Il l'explique dans sa note du début du mois de septembre.
Si je comprends bien ta situation actuelle : tu n'as pas de poste, pas de travail, tu es à la maison ?

Écrit par : elisabeth | mardi, 18 septembre 2007

Je n'aime pas l'Education nationale en tant qu'entité pour diverses raisons idéologiques et politiques. Je considère que cette institution est un vecteur de dépersonnalisation de nos enfants.
Elle empêche nos chères têtes blondes de penser par eux même en véhiculant des courants de pensées droit de l'hommiste qui les culpabilise.
Mais là n'est pas la question. IL serait intéressant d'en débattre.
En revanche je suis conscient que la majorité du personnel enseignant n'a aucune arrière pensée sur ce sujet. Il est clair que ce métier est d'abord le fruit d'une vocation; les difficultés sont réelles.
A lire et relire les articles de ce blog je me rends maintenant compte du mal que peux faire cette vénérable institution à ses propres membres et au delà de l'aspect irrévérencieux et impertinent de mes propos passés (et pourquoi pas à venir, hé hé !), je m'inscris dans une solidarité certes virtuelle , mais sincère.

Écrit par : l'usurpateur | mardi, 18 septembre 2007

@merci à tous, danke schön.
@elisabeth : Nicolas vient de prendre son premier poste de titulaire, vraisemblablement, il n'avait pas de poste de titulaire dans son académie. C'est bien de voir que des jeunes militent, le métier n'est pas perdu par les moutons.
@.... : Ich weiB gar nicht was mir passieren wird, immerhin geh' ich solange auf die Uni, es wird keine verlorene Zeit sein. @elisabeth : je vais en profiter pour continuer mes études... @ l'usurpateur : Nous sommes là aussi pour donner de la personnalité aux têtes blondes et brunes, et comme prof de langue, leur faire découvrir le monde.

Écrit par : domi_no | mardi, 18 septembre 2007

@..... : Schöne Herbsttage in Wien. Der Herbst fängt hier auch an, es ist eine schöne farbige Jahreszeit, besonders der Sankt-Martins-Sommer (November) und der indische (oder Indianer-? )Sommer (Oktober) sollten schön sein.

Écrit par : domi_no | mardi, 18 septembre 2007

@..... : Etwas über Indianer-Sommer habe ich schon in deutschen Zeitungen gelesen, es ist Mitte Oktober und eigentlich immer schöner blauer klarer Himmel an diesen Tagen, und ich glaube, die klaren Tage um den 10. November heiBen die Sankt-Martins-Tage; Jean Ferrat, französischer Sänger sang ein Lied "A l'été de la St Martin", und das mit einer sehr schönen Stimme; das Lied war in den 60ger bekannt. Eigentlich ist Oktober oft schöner als September. Hoffentlich wird das Wetter besser als jetzt! Ich sehe an den Pixies, wir haben jetzt so kalte Nächte wie in Winnipeg. Eigentlich liegt Winnipeg südlicher als hier, es scheint komisch, aber es ist so. Wien ist für mich im groBen Südosten, es muB wärmer als hier sein. Ich wohne gar nicht am Mittelmeer, Elisabeth wohnt am Mittelmeer. Frankreich ist groB.
Viel Mut beim Ertragen deiner Kollegin!

Écrit par : do_mino | mardi, 18 septembre 2007

Als ich im Monat August in Österreich war, war es zu einer Zeit, schon lange her, wo es schon ganz kalt am Ende des Monats wurde. Eigentlich hatten wir einmal Ende August Schnee beim Zelten in 1400 Meter Höhe. Lustig, wenn man wuBte in der Ebene, ist's noch ganz warm. Und die ersten kühlen Tage kamen bei den letzten Wanderungen, und dabei konnten wir gut unsere Pullis ertragen. Welke Blätter fingen auch an zu fallen. Hier ist Mitte September noch alles grün. Die Blätter fallen erst Ende Oktober von den Bäumen ab. Wo wir Schnee bekamen, das war in Tirol. In Südösterreich war es Ende August noch warm, in Kärnten z.B.

Écrit par : domi_no | mercredi, 19 septembre 2007

Je vais traduire pour que personne ne se sente vexé par les articles en allemand.
@Elisabeth : Une zone de remplacement est un poste tout à fait normal.

Écrit par : domi_no | vendredi, 12 octobre 2007

Traduction du commentaire de (.) ou "point" du 13 septembre 2007. Tu fais bien. Chez nous aussi dans un tel cas il faut montrer sa diponibilité dans le travail (être disponible pour le travail). Mais pour les lettres tu fais une faute : prends les lettres, quelqu'un d'autre que toi, ton mari par exemple, doit les ouvrir, et ne t'informer que si tu dois réagir. De cette façon, tu ne t'énerveras pas et tu ne rateras rien d'important.
Au contrôle (de la caisse d'assurance maladie, ou bien?); j'irai avec un médecin spécialiste, peut-être que tu connais quelqu'un ou tu peux payer des honaraires pour qu'il aille là-bas, ainsi tu serais protégée contre le fait qu'ils ne te fassent pas de faux diagnostic, qu'il t'affubles de telle ou telle maladie.
En conséquence, c'est important que pour la plainte que tu fais, tu vas toi même chez un médecin et que tu exposes ta vue des choses y compris TES MAUX : insomnie, problèmes d'estomac, manque de concentration.
Tout ce que tu as comme symptome à cause du harcèlement, plus tu en as, au mieux c'est. S'il te donne des médicaments, emmène les, il ne faut pas les prendre.
Encore un point de plus pour toi, à cause du harcèlement, tu es en traitement.
De cette façon tu as des preuves, si plus tard on en vient à un procès.
Tenir le journal du harcèlement, aussi sur Internet.

Écrit par : domi_no | vendredi, 12 octobre 2007

Ma réponse à "point' du 15 septembre 2007 (ci-dessus il s'agit d'une traduction d'un commentaire de 'point" du 15 septembre et non du 13 septembre). Je ne veux pas être en congé maladie. Je n'ai pas de problèmes d'estomac, pas d'insomnie, pas de manque de concentration, ne serait-ce que deux à trois heures après la réception des lettres. J'ai alors envie de crier et je pleure très fort tout haut, quand je reçois ces lettres, mpn mari ne met plus sa main sur ma bouche (quand je crie) depuis que nous avons de nouveaux voisins, de façon à ce que nous ne battons plus, quand je reçois de telles lettres, mais cela ne dure qu'une demi-heure, puis je suis de nouveau en forme, et je peux travailler.
Me mettre en congé maladie, ce serait leur donner raison. Car c'est justement ce qu'ils veulent que je me mette en congé. Je pense qu'il n'y a que la société occidentale qui empêche de pleirer fort. Si j'étais au Moyen-Orient, je pourrais pleurer comme je veux, sans être mise en congé. Pleurer fort (hurler) est le moyen d'évacuer la douleur, de ne pas tomber malade, de ne pas avoir de problèmes d'estomac ou d'insomnie. Des anti-européens avaient pris le rouleau de paperboard, c'est une affaire politique, contre laquelle je fais de la résistance passive, cela n'a rien à voir avec une maladie.
* Au moment de la disparition du rouleau de paperboard, je préparais une exposition sur l'Europe.

Écrit par : domi_no | vendredi, 12 octobre 2007

Ensuite il y a dans un court commentaire de domino -moi-, la correction d'une faute de frappe.
Voici le début du commentaire-réponse de "point' : avec le fait de crier, c'est vrai, dans un premier temps, cela soulage (libère). ... (je traduirai le reste plus tard, mais la personne qui se sent harcelée ici, voit que les commentaires en allemand n'ont rien à voir avec elle). Je signe domi_no ou do_mino parce que depuis longtemps, il n'y a pas moyen de faire un commentaire avec domino, ça bloque. Cela doit être du aux ursurpations d'antan.

Écrit par : do_mino | vendredi, 12 octobre 2007

domino
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Votre commentaire Dans le premier commentaire du 12 octobre, j'ai écrit 'articles', il s'agit bien sûr non d'articles, mais des commentaires ci-dessus. A l'intention des autres : pousser un cri peut libérer et la crise suivante ne se reproduire que dix, douze ans après. Si on enfonce la personne qui crie en la disant "malade", en la mettant en congé, en la convoquant, elle peut le ressentir comme une sanction de la réponse à un stress provoqué par une autre personne, et c'est alors que la dépression risque de s'installer. Quand une personne crie, mieux vaut ne rien lui dire, et surtout pas 'Je crois que tu es. ou que vous êtes malade", c'est le meilleur moyen de provoquer la maladie et de la faire venir, alors que si on ne parle pas de l'évènement, l'évènement risque de ne plus se reproduire. Si on parle de l'évènement en disant "Vous n'êtes pas normal', 'votre comportement n'est pas normal', alors que en fait c'est la personne qui dit que vous n'êtes pas normal qui va déclencher d'autres cris, et qu'elle va déclencher des paroles que vous n'auriez jamais dites, si on ne vous avait pas provoqué, en revenant sur l'évènement. Devant quelqu'un qui crie, mieux vaut se taire et ne plus en parler, il ne faut surtout pas médicaliser la chose, surtout si cela ne se passe qu'une fois tous les deux-trois ans, parce que sinon, vous ne faites qu'envenimer les choses, et provoquer d'autres cris. Certains exploitent cette situation, quand ils lisent un rapport fait il y a cinq ans où l'on dit "La personne a crié', ils essaient de provoquer les cris, sachant que si la personne crie, on la convequera chez un médecin, un bon moyen de se débarasser de vous. Exemple : on veut se débarasser de vous, parce que vous donnez du travail aux autres, en restant trop tard au travail, en donnant du travail à faire en permanence quand vous allez à un stage alors que les élèves pourraient rentrer chez eux, et débarasser le plancher aux surveillants. Je pense qu'à ce propos un ancien CPE de lycée où je suis restée dix ans, devenu principal, est en train de se venger sur moi par collègues interposés. Il a le même nom de famille que le médecin du rectorat.
Veuillez recopier le code qui s'affiche dans l'image.

Écrit par : domi_no | vendredi, 12 octobre 2007

Dans le premier commentaire du 12 octobre, j'ai écrit 'articles', il s'agit bien sûr non d'articles, mais des commentaires ci-dessus.
A l'intention des autes : pousser un cri peut libérer et la crise suivante ne se reproduire que dix, douze ans après. Si on enfonce la personne qui crie en la disant "malade", en la mettant en congé, en la convoquant, elle peut le ressentir comme une sanction de la réponse à un stress provoqué par une autre personne, et c'est alors que la dépression risque de s'installer. Quand une personne crie, mieux vaut ne rien lui dire, et surtout pas 'Je crois que tu es. ou que vous êtes malade", c'est le meilleur moyen de provoquer la maladie et de la faire venir, alors que si on ne parle pas de l'évènement, l'évènement risque de ne plus se reproduire. Si on parle de l'évènement en disant "Vous n'êtes pas normal', 'votre comportement n'est pas normal', alors que en fait c'est la personne qui dit que vous n'êtes pas normal qui va déclencher d'autres cris, et qu'elle va déclencher des paroles que vous n'auriez jamais dites, si on ne vous avait pas provoqué, en revenant sur l'évènement. Devant quelqu'un qui crie, mieux vaut se taire et ne plus en parler, il ne faut surtout pas médicaliser la chose, surtout si cela ne se passe qu'une fois tous les deux-trois ans, parce que sinon, vous ne faites qu'envenimer les choses, et provoquer d'autres cris. Certains exploitent cette situation, quand ils lisent un rapport fait il y a cinq ans où l'on dit "La personne a crié', ils essaient de provoquer les cris, sachant que si la personne crie, on la convequera chez un médecin, un bon moyen de se débarasser de vous. Exemple : on veut se débarasser de vous, parce que vous donnez du travail aux autres, en restant trop tard au travail, en donnant du travail à faire en permanence quand vous allez à un stage alors que les élèves pourraient rentrer chez eux, et débarasser le plancher aux surveillants. Je pense qu'à ce propos un ancien CPE de lycée où je suis restée dix ans, devenu principal, est en train de se venger sur moi par collègues interposés. Il a le même nom de famille que le médecin du rectorat.

Écrit par : domino | vendredi, 12 octobre 2007

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