mercredi, 30 août 2006
Les montées en grade qui dégradent
L'article est relu et semble terminé, mais il y a peut-être encore des fautes, c'est minuscule sur le traitement de texte !
Il y a eu une chose assez extraordinaire dans ma carrière régie par Fortunas Rad (voir ma note précédente).
Chacune de mes montées en grade a provoqué l'exercice de fonctions moins élevées.
1973-1976 (MA , prof de collège, mais surtout prof de lycée) :
Avant d'être prof du public et fonctionaire, j'ai enseigné 3 ans dans le privé (de 1973-1976). Forte des seuls diplômes que j'avais à l'époque et d'aucun concours encore, une licence d'enseignement de l'allemand et un C2 de maîtrise de linguistique allemande, j'ai été auxiliaire et contractuelle ) l'année du privé. On m'a gardée jusqu'à mon CAPES où pour être là où étaient mes idées d'un enseignement accessible financièrement à tous, le seul CAPES qui existait à l'époque étqnt un CAPES du public, je suis passée dans le public.
Pendant ces 3 années, j'avais des classes de la 3ème à la Terminale littéraire dans un lycée-collège classique.Et plus de classes en lycée qu'en collège.
1976-1977 (stagiaire collège-lycée, pas de dégradation..) :
Une fois mon CAPES du PUBLIC en poche côté concours, j'ai été une année en stage (nommé CPR, comme on dit maintenant j'ai fait l'IUFM, on disait j'ai fait mon CPR... ). Là, pas trop de changements dans les classes. A cette époque, on faisait un stage en trois trimestres dans 3 établissement différents : 2 trimestres en lycée et un trimestre en collège. Avec 2 inspections en 2 jours, une en collège et une en lycée (ceux qui faisaient 2 stages dans la même ville avaient les 2 inspections le même jour), mais dans notre cas, épreuve de collège distante de 60 km de l'épreuve de lycée, l'inspecteur avait besoin de se reposer pour faire la route d'autant plus que comme moi et les autres stagaires, il se déplaçait en train. J'ai même fait un bout de route avec lui après l'épreuve de collège (la deuxième), il venait de Paris et retournait sur Paris.
A l'époque, que voulez-vous, j'étais jeune et jolie à regarder, mince (52kg pour 1m65, j'ai doublé mon poids) j'ai eu mes deux inspections les doigts dans le nez.
1977-1990 , Certifiée titulaire, Prof de collège (Montée en grade, descente dans les fonctions exercées).
Cette année-là, il fallait que je demande mon premier poste de titulaire du public. Je l'ai demandé assez proche de l'endroit où travaillait mon époux. Je ne pouvais pas demander la ville où il travaillait, car tous les postes étaient déjà pris par d'autres titulaires qui pour la plupart venaient d'autres régions. Et ma copine de stage redemandait son ancien poste dans cette ville, où elle est toujours actuellement. Elle était placée 100 places derrière moi au CAPES et n'avait pas une bonne prononciation, elle avait eu sa partie pratique de CAPES de justesse, elle n'a jamais passé l'agrégation. Elle n'a jamais changé de poste. j'avais l'intention de demander le lycée le plus proche d'où travaillait mon époux, à part le lycée de la ville où travaillait mon époux déjà pouvu par des personnes d'une autre région. Elle m'a dit : ô à ta place, je demanderai le collège de Petite Ville à 35 km de la ville de mon époux, à 4 km d'ici. Il est très tranquille. C'est vrai que si ce collège était tranquille à l'époque, il a commencait à avoir mauvaise réputation par la suite, 10 ans plus tard, Dans les années où j'atais prof de lycée, mes collègues me disaient : "Ou là là, tu as travaillé là-bas, mais c'est le souk là-bas!".
Donc, ce que je voulais dire, c'est que de prof de lycée-collège, avec des élèves de la 3ème à la Terminale, l'obtention de tout mon CAPES m'a donné des fonctions moins élevées, et je suis devenue prof de collège sans les classes de collège les plus hautes. Prof de collège (CES = Collège d'Enseignement Secondaire, moins coté que les collèges de lycée), des élèves de 6ème et 5ème LV1 et 4ème et 3è LV2. Il y avait deux PEGC en poste dans le collège. L'un était le pilier d'allemand du collège et avait les 3LV1, l'autre était là depuis longtemps, elle me semblait agée, mais agée, elle n'avait que 37 ans, mais pour moi qui en avait 26, elle me semblait très vieille (Alors, moi, maintenant avec mes 55 ans, je dois vraiment être un vieux croûton). Elle avait le mandarinat des 4LV1. Donc, pas moyen, durant les 5 ans où je suis restée là-bas d'avoir même l'ombre des 3LV1 et 4LV1. Les collègues allemands qui venaient lors des échanges scolaires que j'organisais disaient de mon colègue qui avait le mandarinat des 3LV1 "qu'il parlait allemand comme une vache espagnole". Comme quoi, les mandarinats n'ont rien à voir avec le niveau du prof.
Ensuite, j'ai galéré jusqu'en 1990 de collège en collège, dont certains sont même devenus ZEP ou Zone violence plus tard. Dans ces autres collèges j'ai eu quand même de temps en temps des 3LV1 ou des 4LV1. Et j'atais toujours titulaire de postes ministériels de certifiée.
1990-2002 : Montée dans les fonctions exerccées, sans grade supplémentaire :
C'est alors que sous prétexte de rapprochement de conjoints, ce qui a permis ensuite de faire quand-même la route ensemble, donc c'en était vraiment un, j'ai obtenu une délégation rectorale. Les délégations rectorales permettait, tout en restant sur un poste ministériel sur lequel on pouvait se replier au cas où l'on n'aurait plus la délégation rectorale, d'avoir un poste plus proche de chez soi ou du lieu de travail de son conjoint (poste ministériel = postes définitif actuel, comme la zone de remplacement sur laquelle je me trouve actuellement) . Les délégations rectorales n'existeraient plus actuellement. Cette délégation rectorale était sur un poste lycée J'ai été heureuse une première année, puis beaucoup ensuite, jusqu'en 2002, sur des postes lycée. Tout de suite j'ai eu des Terminales Littéraires, comme lors de mes premières années d'enseignement, je me sentais ravigôtée moralement.
L'année suivante, j'ai obtenu un poste ministériel dans un autre lycée, mais j'avais l'intention de redemander le poste que j'avais eu en délégation rectorale en poste ministériel. Je suis restée 2 ans dans le lycée le plus grand de l'académie, non par le niveau, mais par le nombre délèves qu'il avait alors, : 4000 élèves. Un an après que j'ai retrouvé mon autre poste lycée, l'ancienne délégation rectorale que j'ai eu en poste ministériel jsuqu'à la décentralisation et que j'ai conservé jusque fin août 2003, j'ai été en lycée, puis en lycée et BTS (pour les étrangers qui me lisent , sections d'enseignement supérieur en lycée, après le baccalauréat).
Entre mes années d'enseignement en collège et celle en lycée, je n'avais obtenu aucun diplôme ou aucun concours de plus que le CAPES que j'avais déjà. J'étais toujours certifiée par concours externe et traitée par mes supérieurs hierarchiques avec courtoisie ou avec une relative courtoisie, tout dépend du chef d'établissement...
Mais sans avoir de grade en plus, j'étais passée en quelques années de la petite certifiée de collège qui était subalterne de 2 PEGC qui , eux, avaient des mandarinats de LV1, parce que la dernière arrivée et la plus jeune n'a droit qu'aux petites classes, aux classes de Terminale et au "mandarinat" de BTS 2ème année, classe que j'ai eue de 1995 à 2002 (personne d'autre ne voulait de cette classe qui demandait beaucoup de travail, préparation d'une séance de labo de langues par semaine, préparation d'examen très lourde, etc..donc, c'est moi qui ai pris la classe).
La dernière fois que nous n'avons pas fait la répartiton entre profs, c'est à dire avant la venue du proviseur qui est resté 10 ans , on m'avait confié, pour la première fois les 2ème année de BTS (que je n'avais pas demandés, donc on ne peut pas parler de mandarinat), 3 classes de Terminale (un mélange de LV1 classique, des L et des ES LV2), et deux ou trois autres classes. Donc, on me faisait confiance.
Quand on a fait la répartition nous-même le collègue agrégé, responsable de matière, a dit :
"On va prendre chacun une classe de BTS" (il y avait 2 sections différentes sur 2 années chacune), "une bonne classe de lycée et pour le reste on fera cela à l'amiable". J'ai gardé les BTS 2è année de la section que j'avais déjà, où ils étaient plus nombreux et moins tranquilles, parfois j'ai eu aussi en même temps les première ou deuxième année de l'autre section. J'ai eu encore une classe de Terminale par an, parfois, je n'en avais pas, jamais les LV1, car les TLV1 et les 1LV1 étaient la propriété de mon autre collègue agrégée. Les deux certifiées dont moi, avions bien sûr pour les deux classes non attibuées dans le marché initial une classe de BTS et une bonne classe de lycée, les sections techniques et les secondes à 30/35 élèves. Une année, j'avais 120 élèves et mon collègue agrégé qui s'était arrangé pour avoir tous les faibles effectifs 42 élèves en tout et pour tout, c'est à dire répartis sur 5 ou 6 classes....
A la fin de l'année j'ai demandé - sur ma fiche de voeu - une meilleure répartition entre certifiés et agrégés, ce qui m'a valu la réputation d'être paresseuse. Mon ancien collègue agrégé de cet époque s'est arrangé pendant 30 ans pour avoir toujours les faibles effectifs. Venant d'une autre région, ayant hérité là-bas de la maison de ses parents il n'a jamais songé à retourner au pays, il est trop bien là où il est , la planque !!!! Avec tous ses collègues qui font ses quatre volontés en matière de distribution de classe parce qu'il est si gentil... et si vulnérable par rapport aux élèves.
Mais voilà, le 22 mars 2002, un inspecteur a été chargé par notre proviseur qui l'avait appelé de venir voir pourquoi nous avions d'aussi mauvais résultats au bac. C'est vrai que dans ma classe de LV3, toutes mes élèves , au bac, avaient obtenu la moyenne et beaucoup plus. C'est vrai que chez les LV1 et LV2 de mes collègues (je n'avais même plus de Terminale LV1 et LV2), sur une soixantaine d'élèves qui avaient l'allemand au bac, seuls 4 ou 5 élèves avaient obtenu la moyenne en allemand...
Et vlan... C'est moi qui en inspection a tout pris. C'est moi qui ai pris pour ceux qui mes voyant corriger la correction de la correction de la correction faite par l'élève, me disaient, "mais pourquoi tu fais tout cela, ça ne sert à rien, tu ne seras jamais récompensée pour le travail que tu fais en plus, au contraire !" Aucun de mes collègues n'était syndiqué, moi, je ne l'étais plus depuis deux ans, mais j'avais encore la réputation du syndicat vindicatif où j'étais deux ans avant et que j'avais quitté parce qu'ils refusaient d'aller aux réunions concernant l'organisation de stages de formation continue dans le lycée, en particulier des stages d'ordinateur et ils refusaient que j'y aille parce que je m'étais portée volontaire pour ces réunions. C'était collaborer avec l'administration, et il fallait absolument éviter cela, selon eux. Je crois que là, ils s'étaient trompés de combat. Ils refusaient de répondre aux questionnaires des inspecteurs concernant le matériel dont on disposaient et notre organisation pédagogique parce qu'ils pensaient que c'était de l'espionnage et qu'on allait être sanctionné parce qu'on n'était pas assez actifs. Mes trois collègues dont les deux agrégés étaient des poltrons comme j'en n' ai jamais vu.
C'est à leur intention que mon ordinateur personnel, celui-là même sur lequel je vous écris, avait pendant un moment un compte "Collègues Peurofs", mais ils ne l'on jamais vu.
L'un d'entre eux n'a jamais été malade de sa vie, tout au plus un petit rhume un hiver sur trois : et ils se fait un plaisir de raconter aux élèves aux parents et aux autres collègues tous les petits malheurs de ses collègues :
"Ah oui, domino a été deux jours absente parce qu'elle avait mal dans le dos, elle est très malade du dos",
j'ai mal dans le dos deux jours par an, mais ça tombe toujours au mauvais moment : par exemple la dernière fois c'était pendant mon stage d'informatique au CRDP. Je n'arrivais même plus à manier la souris. Ils en feront une généralité pour tous les jours.
Mon collègue disait aux élèves "Oui, elle est très malade du dos!" et les élèves me disaient "C'est vrai ce qu'il dit Madame vous ne dites jamais que vous avez mal dans le dos ?"
"Ah, c'est M. UN TEL qui a dit cela, ça ne m'étonne âs de lui."
Il racontait avec déléctation, à qui voulait bien l'écouter, le mot n'est pas trop fort, avec dé-lec-ta-tion, avec DELECTATION tous les maux de ses collègues et de ses anciens collègues "
Tiens, un tel, qui a été au lycée de telle a telle année"
-et il les citait nommément-
"ensuite il a été nommé là-bas, puis il est tombé malade"
-la maladie, chose dont il n'avait jamais souffert et qui n'arrive qu'aux autres, exerçait sur lui une fascination extraordinaire,
"puis il est devenu un légume".
"Et puis, tel TZR fait partie d'une secte, parce qu'il fait des économies et s'éclaire à la bougie, un autre ...."
Qu'est-ce-qu'il doit en raconter sur moi actuellement ! Quand il parle de moi, il dit mon nom,
"tu n'as pas connu la collègue domino ? Elle était prof certifiée ici, jury de BTS, et maintenant elle est remplaçante. C'est sûrement parce que...; tu comprends... "
Il ne dit pas "domino" ? Il dit mon vrai nom.
"Et bien, je vais te raconter... "
Et cette commère y met tellement le ton, tellement le chuchotement , donne à ses confidences tellement l'apparence du secret, que personne ne s'y trompe, ce qu'il dit, brodé et rebrodé, est vrai et on l'écoute avec attention, avec DE-LEC-TA-TION, on boit littéralement ses paroles !
Que je raconte ici des choses sur lui n'a pas d'importance, personne ne sait qui il est, et personne ne sait qui est "domino", sauf que c'est moi, l' i-grimoirienne, c'est l'avantage des i-grimoires, mais finalement, j'aurai beaucoup d'éléments pour écrire un roman quand je serai en retraite.
Bon, bref, moi, je n'ai plus rien à perdre, parce que c'est moi qui dans cette histoire-là, ai été le dindon de la farce et ai pris pour eux. Les inpecteurs n'aiment pas ceux qui contestent la pédagogie qu'ils préconisent, mais ils devraient savoir que ceux qui osent lever leurs boucliers sont ceux qui ont le moins peur des élèves. Et dire dans un rapport de jury d'agrégation que certains candidats sont trop sûr d'eux est une aberration. Devant les élèves, on n'est jamais trop sûr de soi. Si vous n'êtes pas sûrs, très sûrs, trop sûrs de vous, vous pouvez plier bagage au bout d'un mois d'enseignement.
Bien sûr si dans un cours on se trompe, il faut rectifier le tir ensuite en avouant aux élèves s'être trompé, mais il ne faut jamais faire des courbettes devant les élèves, donc devant les jurys et l'administration non plus. Dans chaque jury d'agrégation interne, il y a un inspecteur, mais il y a aussi deux collègues agrégés dont vous serez peut-être l'égal quelques jours plus tard, après la proclamation des résultats.
Bon, ceci dit, j'ai augmenté en grade. Après deux années de préparation à l'agrégation interne où j'ai été deux fois admissible, je suis descendue plus bas dans l'échelle de l'enseignement.
Après mon inspection, le collègue PEUROF a dit : "L'inspecteur a dit que tu irais enseigner en primaire !"
J'étais à cette époque encore jury de BTS. Pour deux mois encore, avant la fin de l'année scolaire, il fallait finir le travail annuel commencé, et je le faisais avec joie. L'histoire de l'école primaire que racontait mon collègue, je n'y croyais pas trop, Jusque là, je n'avais jamais dit du mal de mes collègues, même sans les nommer. Pour justifier de mon niveau et de mes qualités j'ai écrit à l'inspecteur en vantant mes qualités par rapport aux autres, mais sans les nommer.
"Un collègue" refuse de faire telle chose, etc..., alors que moi, je fais ce travail, etc... je l'écrivais, mais sans le nommer.
A la rentrée accueil hyper-froid de l'administration et alors que j'avais commencé l'année comme sur des roulettes, que j'avais donné en deus heures aux BTS rentrés plus tôt que d'habitude (mais ce n'était plus les seconde année!) toute la méthode pour l'examen, et tout le programme pour les 2 ans en leur donnant tous les termes principaux des chapitres que j'allais faire sur deux ans, j'ai été mise d'office en congé longue maladie (on m'a obligée à remplir une demande de congé en me menaçant de sanctions administratives). Voilà le remerciement que j'ai eu pour 8 années de bons services rendus au rectorat dans les commissions d'examen....
2003 à maintenant (montée en grade, descente vertigineuse pour les fonctions exercées.
Et voilà comment en montant en grade, et en devenant bi-admissible en l'espace de deux admissibilités, on perd les classes de BTS et de lycée et on gagne des suppléances en collèges de ZEP. Et où les appréciations des notes administratives deviennent mauvaises et les notes sont gelées. Le proviseur que j'ai eu pendant 9 ans, avait une notation et des appréciations très froides au regard de tout ce que j'organisais "Professeur sérieux et consiencieux, bons rapports avec tous." Mon proviseur des deux dernières années a écrit "N'a pas su tenir une classe de '4ème LV2, de son, selon lui, bon collège, selon le classement "de ZEP", peut-être devenu depuis "Zone Violence".
J"ai eu dans ma période collège des quantitiés astronomiques de 4LV2 que je savais bien tenir, j'ai même eu, dans un collège devenu ZEP ensuite, une bonne inspection dans une de ces quatrième LV2. D'ailleurs je n'ai pas retrouvé ce rapport d'inspection, et pourtant, je sais exactement dans quelle pochettes je l'avais mis.
Le proviseur de ces deux dernières années a écrit pour prendre le contrepied d'avant, quand j'étais jury de BTS : "Mauvais Rapports avec Tous" et c'est loin d'être vrai.
Concernant la 4ème LV2 en question, j'ai vu à la récréation le principal à quatre pattes sous une longue table située au fond de la classe demander à l'agent de service, vous croyez que ce morceau de plastique peut venir d'une prise de courant ? On dirait que celle-là est un peu déglinguée. Le morceau de plastique en question venait d'un buste d'anatomie placé sur le grand bureau où j'ai fait cours dans cette salle de SVT (pour les étrangers biologie) et ce buste qui avait des organes suspendus (en plastique incassable) menaçait de s'effondrer à chaque fois que je passais à coté de lui en faisant du vent... Il a fait un rapport à mon proviseur et au rectorat sur le manque de sécurité dans lequel se trouvaient mes élèves... car ils auraient eux-mêmes arrachés ces morceaux de chair humaine en plastique aux prises de courant !
Vous avez tous compris que placés dans les premiers rangs, ils n'ont jamais été à quatre pattes comme le principal sous la table du fond !
Voilà et mainenant nouvelles rentrée scolaire. Alors que pendant les 10 ans en poste ministériel de certifiée, je savais toujours deux mois à l'avance approximativement les classes que j'allais avoir, maintenant en tant que bi-admissiible à l'agrégation, tiulaire d'une Zone de Remplaement (TZR), un jour avant la rentrée, je ne sais même pas dans quel lycée ou collège je vais être rattachée....
En devenant bi-admissible, je suis montée en grade depuis un an, mais... au point de vue niveau d"enseignement c'était quasiment plus rien. Donc, chaque montée en grade a provoqué dans ma carrière une baisse dans les niveaux enseignés et une baisse dans la confiance que me porte l'administration....
C.Q.F.D.
domino
19:10 Publié dans Enseignement (2) - Galères de rentrée TZR | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : enseignement
Commentaires
Je ne m'y connais pas trop dans les abréviations que tu as mises. Je ne connais pas le monde des profs du côté des profs. Puisque je n'ai été qu'élève de Lycée et de collège. Je ne peux pas donner mon avis. La seule chose que je retiens, tu vas rire, c'est que tu pesais 52 kilos pour un mètre 65. Actuellement, je pèse 52 kilos et j'ai toujours fait un mètre 65. Je suis descendue jusqu'à 46 kilos mais je faisais du 36 à l'époque. Je fais actuellement du 38 comme quand j'étais jeune fille. Pour le reste de ta note, je ne peux pas en parler je ne suis pas prof.
Bonne soirée.
Écrit par : elisabeth | mercredi, 30 août 2006
Je fais toujours un mètre 65, mais beaucoup plus que 52 kg, je n'oserais pas dire mon poids....
Le plus bas que j'ai fait depuis que j'ai ma taille adulte c'était 48 kg après les vacances 68, j'allais chez une kiné à l'époque et j'étais très sportive (je faisais beaucoup de natation et du judo), la kiné m'avait dit que j'étais trop maigre, j'avais été malade pendant une semaine pendant des vacances en Haute-Savoie, j'avais attrapé froid, et une espèce de gastro, ce qui m'avait fait maigrir. Maintenant c'est le contraire, j'ai un mal fou à perdre du poids, même en ne mangeant pas grand chose, c'est terrible pour moi.
Écrit par : domino | mercredi, 30 août 2006
Il y a quelquechose de bizarre l'adresse IP de mon ordinateur a changée... C'est peut-être avec la réinitialisation???? Il y a autre chose de bizarre quand jenlève le courant de la prise et que l'ordianteur marche sur les bateries l'écran est moins lumineux qu'avant... Si l'adresse IP de mon ordinateur a changé je ne vais plus avoir mes mises à jour gratuites de Windows et de mon antivirus ??? C'est vraiment bizarre....
Écrit par : domino | jeudi, 31 août 2006
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