mercredi, 16 août 2006
Le télé-travail
Un livre que j'utilisais en classe de Terminale STT avait un texte sur le télé-travail. Ce livre est paru il y a environ 7/8 ans, peut-être encore avant, je me souviens l'avoir utilisé durant plusieurs années et avoir fait ce texte de bac plusieurs fois. il y s'agissait d'une jeune femme qui travaillait pour la firme IBM de Munich. Habitant à 80 km de la firme, elle ne faisait la route que quelques fois par mois, en travaillant sur réseau d'ordinateurs en relation avec sa firme et ses colègues.
On vantait dans le texte les bienfaits du travail à distance sur ordinateur :
- moins d'essence et d'entretien de voiture à payer pour le salarié.
- la possibilité pour le salarié d'organiser son temps comme il veut.
Dans le texte, la jeune femme qui travaille de cette façon a des enfants en bas âge, elle travaile plutôt le soir quand les enfants sont couchés.
Dans ce type de travail, les salariés n'ont que leur nombre d'heures réglementaires de travail à faire, ils n'ont pas à travailler en plus.... Peut-être que la connexion de leur ordinateur suffit à déterminer le nombre d'heures. Leur ordinateur en réseau leur est fourni par leur entreprise.
Rien de tel pour les professeurs, au moins en France (voir ma note suivante).
domino
20:15 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : société
Commentaires
Le travail à domicile est un cadeau empoisonné car il est difficile de s'isoler et d'isoler le privé et la zone travail.
Écrit par : elisabeth | mercredi, 16 août 2006
Bien dit. Au début que l'on habitait ici, j'ai essayé de ne mettre le travail que dans une seule pièce, une chambre en haut nommée bureau, mais dès que l'ordinateur 1992 est arrivé, une bête énorme qui prend la moitié de la pièce, pas un CYCLOTRON, mais presque, mon travail a essaimé partout dans la maison, même en bas....
domino
Écrit par : domino | mercredi, 16 août 2006
Eh bien décidément. Je vais finir par croire que c'est ma mère qui écrit ce blog ! (ah ben non, c'est pas possible, elle est pas prof d'allemand !). Elle a dit au début : "Tout reste dans le bureau chéri, c'est fini ce bazarre partout maintenant !" et aujourd'hui, le bureau, c'est la maison entière ! Au moment où j'écris, j'ai un cours sur l'accord du participe passé sous mes yeux, Madame Bovary et son explication sur l'imprimante, un CD de conjugaison et un vieux tas de copies (qu'elle a dû oublier de rendre ou je ne sais pas quoi).
Écrit par : max | jeudi, 17 août 2006
Je suis un mauvais lecteur : j'ai lu cette note après l'autre mais c'est parce que quand je suis venu sur votre blog j'ai vu un nombre impressionnant de notes ! Je venais régulièrement et je ne voyais pas de nouvelle note et là, d'un coup, 4 ou 5 notes. Donc je lis un peu dans le désordre. :-)
Écrit par : max | jeudi, 17 août 2006
T'as mère a un tas de copies ? Mais, c'est les vacances. Elle donne peut-être des cours de vacances. Elle a oublié de les rendre, ah! ah! On va tout savoir ! Mais ce n'est pas moi... Rassures-toi !
Ta mère va peut-être rendre les copies à la rentrée, si elle a les mêmes élèves. Ce sera une bonne entrée en matière sur les lacunes constatées l'année précédente.
Écrit par : domino | jeudi, 17 août 2006
Effectivement, elle corrige des copies dans un organisme d'enseignement à distance mais là, les copies sont des copies de lycéens qu'elle avait cette année car il y a un numéro de classe identique qui apparaît sur chaque copie et une même date ("30 mai 2006"). D'ailleurs, la date me laisse penser qu'il s'agit peut-être d'une interro surprise.
Cela me fait penser que mon prof d'histoire de troisième a toujours nos copies de brevet blanc... :-(
Écrit par : max | vendredi, 18 août 2006
Il y a des lycées où les élèves ne viennent plus chercher leurs copies en Juin. Je suis sûre que ta mère a préparé les copies pour les rendre à la rentrée. Si elles étaient de février, là, je dis pas, mais du 30 mai, ce sont les élèves qui n'ont pas voulu voir la note de leur dernière interro. Elle a du compter dans la moye nne. Il y a des profs qui comptent les notes de juin au 1er trimestre de l'année suivante, s'ils ont les mêmes élèves, cela permet de maintenir les élèves au travail jusqu'à la fin de l'année.
domno
Écrit par : domino | vendredi, 18 août 2006
Eh bien, je me suis finalement renseigné et il se trouve que tu as trouvé une partie de l'explication : le dernier jour où elle pouvait voir cette classe, les élèves ne sont pas venus. Les copies sont donc retournées à la maison.
Par contre, elle n'a pas prévu de les compter à la rentrée prochaine. Peut-être vais-je lui suggérer l'idée. C'est vrai que ça peut permettre aux élèves de travailler du début jusqu'à la fin de l'année !
Heureusement qu'un prof ne m'a jamais fait ce coup-là. Je crois que je n'aurais pas très bien apprécié.
Écrit par : max | vendredi, 18 août 2006
Je ne leur ai pas fait ce coup là non plus, mais j'ai déjà dit que je le ferai, mais ça n'a marché qu'une fois, l'année suivante ils savaient que je ne les avais pas comptées. Une fois, on a fait croire à des secondes techniques que même sans notes, ils auraient une appréciation de chaque prof qui serait apposée le 30 juin sur leur livret scolaire (en fait, seul le prof principal et le prof de français mettent une appréciation sur le bulletin scolaire en seconde) et qu'on tiendrait compte de l'assiduité et du travail jusqu'à la find de l'année. Ils étaient encore tous là après mes interrogations de bac qui se terminaient vers le 27 juin. Et sages en plus !
domino
Écrit par : domino | vendredi, 18 août 2006
Toutes les ruses sont bonnes pour faire croire aux élèves qu'il est important qu'ils restent jusqu'à la fin de l'année. Cette année, en première L, les élèves étaient là jusqu'à la fin de l'année mais ce sont les profs qui nous ont régulièrement posé des lapins. Généralement, j'étais content car souvent on s'ennuyait mais j'ai été très énervé quand j'ai vu un surveillant en train d'indiquer sur le tableau le nom de ma prof d'anglais qui nous avait dit la veille que nous corrigerions un travail. J'ai donc demandé à ma Grand-Mère de venir me chercher car nous n'avions plus de cours. Les profs n'ont pas été sérieux sur ce coup-là...
Écrit par : max | vendredi, 18 août 2006
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