lundi, 24 septembre 2012
Ecrit du nouveau CAPES : De la rigolade?
Roman-théâtre
Du journal de Doofie, ma personnage de théâtre.
Quand je vois les épreuves écrites du nouveau CAPES, je me dis que c'est franchement de la rigolade : 2 épreuves écrites au lieu de quatre à notre époque, et pas de dissertation.
Quand j'ai passé et réussi le CAPES dans les années 70, j'avais quatre épreuve d'écrit :
- dissertation en allemand sur l'une des quatre questions de programme (prises dans le programme de l'agrégation), coefficient 2.
- version
- thème
- commentaire dirigé en français d'un texte du programme, texte en allemand (de l'une des quatre questions prises dans le progarmme d'agrégation).
NB : Le thème et la vesion étaient notés sur 20 séparément.
Maintenant il ne reste de ce programme que deux épreuves et plus de dissertation :
- Commentaire dirigé en français d'un texte allemand hors programme.
- Thème et version, comptés ensemble et plus courts que ceux de notre époque.
Les professeurs stagaires certifiés rentrent directement dans la carrière et ne font plus de stage (mais ils sont dit stagiaiers pendant un an).
A notre époque, notre cinquième année d'études était un stage divisé en trois trimestres : on passait le premier trimestre dans un lycée avec un conseiller pédagogique, le deuxième trimestre dans un collège avec un autre conseiller pédagogique et le troisième trimestre dans un deuxième lycée avec un troisième conseiller pédagogique. Durant le dernier mois on se partageait entre le collège et l'un des deux lycées, où l'on prenait deux classes, une classe de chaque et à l'issu de ce mois on était inspecté deux fois, une fois en lycée et une fois en collège. Cette double inspection était en réalité un examen, qui nous donnait ensuite la qualité de titulaire. Il y avait trois "inspecteurs" dans notre classe, un IPR ou un IG et deux assesseurs qui étaient deux conseillers pédagogiques '(un des nôtre, plus un deuxième venu d'un autre lycée). Donc, un jury de trois personnes.
J'ai eu la chance d'avoir mon stage du premier coup (mes amies dont Bêtie aussi, on lui a même dit qu'elle aurait eu une mention, si elle avait chanté avec sa guitare en collège) , ceux qui ne l'avaient pas devaient refaire (redoubler) leur stage et s'ils ne l'avaient pas la deuxième fois, il fallait recommencer le concours.
Les deux inspections avaient lieu le même jour quand c'était dans la même ville et deux jours d'affilée quand c'était dans deux ville différentes. Elle faisait l'objet d'une notation globale, c'est à dire qu'on réussissait les deux ensemble ou rien du tout. C'est cet examen inspection un an après le concours du CAPES que l'on appelait CAPES pratique (on pourrait le donner dans les listes des titres admis pour passer l'agrégation, sur la liste au même titre que la deuxième année d'IUFM ou le PLC2. (Ne pas confondre avec PLP2)
On m'a conseillé de faire plutôt le collège parce que je chantais et que je jouais de la guitare, alors que je préfère toujours le lycée, et j'y ai aussi généralement meilleure presse. Plus tard, c'est en lycée que ma note administrative a augmenté le plus.
Autrement dit, le CAPES de notre époque, côté écrit de concours était une mini-agrégation, ce qu'il n'est plus maintenant Bien sûr, il faut un master 1 pour s'y présenter (pas forcément de la même matière), à l'époque, il fallait une licence en quatre certificats, on m'a dit un jour qu'en réalité c'était la maîtrise d'avant la réforme. Et que la maîtrise était alors un master. Mon grand frère a fait une maîtrise en quatre certificats (en scientifique) qu'il a commencé en 2ème année, il a commencé l'univesité en même temps que moi (j'avais de l'avance!).
Mais maintenant ma licence n'est plus reconnue que comme une licence et ma maîtrise comme une maîtrise. A cette époque, je pense que les étudiants d'allemand étaient meilleurs que maintenant. J'ai vu effectivement des étudiants obtenir licence et master, alors que je ne leur aurais jamais donné, vu les fautes de grammaire qu'il font encore et leur manque de vocabulaire de base (vie quotidienne ignorée, alors qu'ils connaissent tout le vocabulaire philosophique, il ne savent pas dire un poireau, mais ils savent comment on dit "la critique de la raison pure".
Bon, voilà, je ne veux froisse personne, mais l'écrit du nouveau CAPES, c'est de la foutaise.
En fait, on avait crée le concours prestigieux de l'agrégation à la fin du XIXème siècle, puis, un peu comme con avait inventé le CAPCEG dans les années 60, pour faire des professeurs de collège en augmentant l'horaire de trois heures (les PEGC avaient 21 heures et les certifiés 18, ce qui avait provoqué la colère d'une de mes collègues PEGC sur mon premier poste après le CAPES : elle était obligée de travailler trois heures de plus que moi alors qu'elle avait trois filles en bas âge), un peu comme cela, on a créé le CAPES qui était une mini-agrégation, une agrégation allégée, avec 3 heures de cours en plus (18 au lieu de 15) dans le courant de la première moitié du XXème siècle.
Ensuite, le CAPES a été galvaudé, bradé. Encore prestigieux dans les années 60/70, il a été doublé par un CAPES interne allégé dès les années 80 (le CAPES interne aurait encore une dissertation? et serait donc devenu mieux que le CAPES externe?). Ou peut-être déjà à la fin des années 70. Puis il a fait des jeunes : CAPES spécifique, réservé, 3ème concours, si bien qu'on s'est retrouvé, certainement inutilement, avec 5 types de CAPES. Pourquoi, puisque le CAPES externe a maintenant des épreuves de type interne, ne pas additioner les postes mis aux concours des 5 CAPES et n'en faire qu'un seul?)
Le problème est que quelqu'un qui a réussi le prestigieux CAPES de mon époque, est mis sur le plan de la rémunération sur le même plan que celui qui a réiussi un CAPES réservé ou spécifique ou un 3ème concours.
Bon, je vous ennuie avec tout cela.
Doofie, professeur certifiée par CAPES ancien et prestigieux à quatre épreuves d'écrit, admissible 5 fois à l'agrégation (3 fois à l'interne et 2 fois à l'externe).
Pour Doofie, qui se prend à elle toute seule pour un syndicat,
domino
15:13 Publié dans enseignement (3), "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 03 août 2010
Schnelly adoré des voisins, Doofie haïe des voisins...
Voilà un retournement de situation dans mon roman-théâtre, Doofie a piqué une crise de nerf ce soir parce sa voisine deux maisons au-dessus a failli mettre le feu au quartier. En effet tous les chenaux sont reliés entre eux. C'est déjà arrivé dans une autre cité semblable que trois 1er étage de trois maisons contigües brülent parce qu'un ouvrier qui réparait un cheneau a fait une erreur de chalumeau.
Ici, il ne s'agit pas d'un chalumeau, mais d'un barbecue. Cela sentait le brûlé depuis un moment dans son jardin et Doofie s'inquiétait, elle a d'abord demandé à Schnelly de regarder dans la maison si rien ne brûlait parce que ça sentait de plus en plus fort le brûlé. (C'est déjà une nuisance olfactive des barbecues de sentir dans tout un quartier, nous, personnellement, nous n'avons jamais eu de barbecue). Et nous n'avons jamais fumé.
Il y a quelques années l'ancien voisin de Doofie qui était spécialiste dans les injures à l'adresse tout le quartier, sa spécialité (de cet apprenti-boulanger, mais il avait une autre spécialité le patois et surtout les injures en patois local (que je ne renie pas quand c'est du beau patois et pas des mots qui commencent par p... et sont des injures pour les femmes), et en particulier les injures envers les femmes d'une cinquantaine d'année, qui s'entendaient bien à l'époque, même la voisine portugaise qui avait encore son mari s'entendait bien avec moi, parce que son mari aimait les arbres et m'entendre jouer de la guitare.
Bon, voilà la suite : Il y a quelques années donc, le voisin faisait son barbecue à flammes hautes juste à un mêtre de ma palissade en bois et à 1 mètres cinquante de ma persienne de salle de séjour en bois. Fianlement Doofie en a parlé à un médecin qu'elle voyait à l'époque, et Doofie a eu gain de cause : le voisin a dû installer son barbecue sur la pelouse et quelques temps plus tard, comme c'était un locataire et que Doofie était propriétaire de sa prppre maison, le voisin qui faisait le barbecue avec des hautes flammes à 1 mètre de sa maison a dû partir.
Aujourd'hui, ça sentait le brûlé dans tout le quartier et on a même entendu des voitures de pompiers qui devaient chercher où était l'incendie, et ce n'est pas Doofie qui les avait appelés. Schnelly finit par dire à Doofie, ce n'est rien, c'est la voisine deux maisons et deux numéros au-dessus qui fait du barbecue. Jusque là rien de grave, Doofie voit que le barbecue était situé à un mètre du mur de sa maison avec un buisson derrière à un mètre également, et qu'elle était en train de l'attiser. Doofie continue son élagage tranquillement, soudain elle lève le nez et voit d'immenses flammes d'au moins deux mêtres de haut qui lêchait le dessous de son balcon à elle. Les personnes agêes deux maisons au-dessus de l'autre côté commence à s'inquiéter aussi. Je vois qu'ils se lève de leur table, se lève dans la direction du feu qu'ils voient au travers de ce qui reste d'arbres à Doofie.
"Au feu, au feu!" crie Doofie, le chien à côté du barbecue commence aussi à s'énerver et à aboyer. Les personnes qui faisaiient le barbecue étaient rentrées chez elle et ne surveillaient plus le feu. Doofie crie de plus belle, sans pouvoir rentrer dans la maison, car elle surveillait le feu, Schnelly vient vite (bien sûr il était à ce moment calfeutré dans la maison et ne s'en faisait pas, alors que les voissins d'au dessus commençaient aussi à s'inquiéter et sont rentrées dans leur maison peut-être pour appeler les pompiers.
Peu à peu, les flammes baissent d'elle-mêmes sans doute par manque de carburant, et Doofie arrête de crier "Au feu!" alors au bout de cinq minutes au moins la femme qui faisait le barbecue sort, et Doofie lui fait la remarquie qu'on peut mettre le feu à toutes les maisons en mettant le feu à un seul cheneau (les rigoles au bord des toits), comme je l'ai déjà expliqué plus haut, peuvent mettre le feu à toutes les maisons par le grenier commun non utilisé. Et que son barbecue est placé peut-être un peu trop près des maisons car avec le vent (et il y en avait un peu) des flamèches peuvent s'échapper par le toit. Doofie lui dit cela par prudence et parce que elle avait tout comme les pesonnes agées deux maisons au dessus, paniqué à cause des grandes flammes du barbecue de sa voisine.
La femme qui est une jeune femme mère d'une bonne demi-douzaien d'enfants dont au moins quatre garçons, (mais après tout si elle a du travail avec eux, c'est parce qu'elle a bien voulu les faire, et quand il n'y a ni école, ni centre aéré, les gamins sont toute la journée dehors dans la rue, se mettent derrière la voiture de Doofie, quand je fais demi-tour pour gêner ma manoeuvre, a pris tout de suite la mouche, elle est montée sur ses grands chevaux, et elle a commencé à dire, je ne vous permets pas de faire des remarques, vbus voyez bien que mon barbecue a une protection derrière (une protection de dix à vingt centimètres de haut au maximum, vous croyez vraiment que l'on peut appeler cela une protection, et pas de protection devant, alors que les flammes sans surveillance peuvent s'échapper par devant et surtout vers le haut. En effet, les flammes avaient diminué des trois-quart de leur hauteur quand la femme est sorite de chez elle, et elles faisaient encore bien cinquante à soixante centimètres de haut. Doofie lui a dit : 'Oui, mais tout à l'heure vos flammes faisaient deux mètres de haut et léchaient presque le balcon et le mur". La femme a commencé a tutoyer Doofie en l'invectivant et en criant : "vous en avez la preuve? Vous avez fait une photo!" De toute façon, vous n'êtes qu'un fainéante. Votre mari va souvent faire les courses à pied avec son caddy même sous la pluie!et vous vous ne savez pas faire les courses." Hier, Doofie a élagué pendant trois heures sous la pluie, avec un simple T-shirt sur le dos. Et le jour de l'inondation, Doofie a mis ses pieds presque nus dans l'eau de la cave pour écumer l'eau et la metre dans un seau. C'est elle qui a indiqué au père du voisin immédiat venu à la rescousse de son fils où était l'écoulement (que son fils n'avait pas entretenu et il était bouché), et qui a continué à écumer le caniveau avec une petite boite bleue pour remplir des seaux qu'elle allait vider elle-même dans l'égout, un autre voisin venu à la rescousse a proposé de continuer à sa place, mais elle n'a pas voulu. Doofie élague depuis deux jours ses arbres elle-même. Schnelly ne fait que remplir les sacs poubelles vert clair. Doofie a dit a la femme qu'elle avait bien travaillé à l'école, qu'elle avait eu son bac à 17 ans et un mois, qu'elle avait un niveau bac + 5, qu'en tant que professeur elle avait travaillé jusqu'à 105 heures par semaine (en passant des nuits à corriger des cassetes et des copies), elle a dit à la femme qu'elle était plus jeune qu'elle n'avait pas à la tutoyer (Schnelly se laisse un peut trop tutoyer par les voisins récents). Pour Doofie c'est la femme qui est coupable, et la femme a commencé à dire à Doofie qu'elle allait déposer plainte contre Doofie, alors que c'est la femme qui a monté le ton la première (avant Doofie parlait fort parce qu'elle était loin, seulement pour lui donner des conseils parce qu'elle sentait aussi sa propre maison en danger...). La femme a monté le ton, elle a invectivé Doofie en disant que Schnelly faisait les courses à sa place, que Schnelly était fatiqué, que ce n'était pas normal qu'elle donne du travail à Schnelly! Alors que si elle savait, Schnelly veut faire des heures supplémentaires pour gagner autant que Doofie qui a un grade et un échelon supérieur au sien, de son Schnelly qui est certifé par liste alors qu'il est bilingue de naissance, alors que Doofie a réussi ses études d'allemand mieux que lui en ayant fait allemand seconde langue, parce que Schnelly était trop paresseux pour travailler le CAPES et disait toujous :"oh la littérature, je n'aime pas cela, la poésie, je n'y comprends rien", alors que sa femme Doofie, est poète. Doofie chante bien et à un moment dans le quartier, ils ont cru que c'était Schnelly qui chantait en haute-contre et jouait de la guitare, et alors qu'il ne connait pas une traitre note de guitare, il se rengorgeait et ne disait rien (il y a presque cru), parce que les gens n'aimant pas sa femme Doofie, ils auraient déposé plainte contre Doofie s'ils avaient su que c'était elel qui chantait et jouait de la gutare, mais ils féclicitaient Schnelly.
Si Doofie reste à la maison aussi pendant que Schnelly fait les courses, c'est aussi pour surveiller le garage à cause des careaux cassés.
En plus Schnelly aime les choses mécaniques comme faire la vaisselle et faire les courses et la cuisine étant devant, il fait souvent le vaisselle devant la fenêtre pour dire aux gens :"Regardez c'est moi qui fait le ménage", pendant que Doofie fait la lessive ou nettoie la salle de bain.
Schnelly a toujours adoré faire les courses. Quand Schnelly et Doofie se sont mariés, la mère de Doofie n'avait que 54 ans ce qui veut dire qu'elle était cinq and plus jeune que Doofie actuellement, et beaucoup plus en forme qu'elle. Sa mère n'avait plus travaillé depuis la naissance de son frère en 1948, avec les allocations familiales, et son salaire, son père avait assez d'argent pour entretenir la famille. Quand Schnelly arrivait chez les parents de Doofie (c'était la même chose que chez ses propres parents), sa question vis à vis de sa belle mère était : Il n'y a pas de courses à faire? Et sa mère disait d'abord non, puis au bout d'un moment elle trouvait bien un ingrédient pour la cuisine et aussitôt Schelly détalait et revenait au bout de deux heures, ayant enfin trouvé l'ingrédient après avoir fait dix magasins et être allé à pied à trois ou quatre kilomètres ce qui représentait sept kilomèters aller-retour.
Schnelly a ma demande est en train de rassembler 100 Euros pour les donner à la femme pour qu'elle ne dépose pas plainte contre Doofie, parce que c'est la femme qui a traité Doofie de fainéante et qui la tutoyé et elle a dit à Doofie qui ne l'a ni insultée, ni tutoyée, qu'elle allait déposer plainte contre elle, alors Doofie si les cent euros (100 Euros font 600 francs) pour racheter la plainte de la dame, parce que si Doofie perdait son emploi de professeur, il aurait moins d'argetn lui-même, Si Doofie perdait son emploi, et sa retraite de fonctionnaire, Schnelly serait dans la dèche d'ici trois ans quand il sera en retraite, alors que sinon Schnelly bénéficierait encore pendant trois ans supplémentaire du salaire complet de Doofie.
En fait, c'est Schnelly qui dépense le plus d'argent et ne donne jamais ses comptes à Doofie, même s'ils ont un compte commun, car il est trop paresseux pour les mettre sur un papier et les donner à Doofie qui les réclame depuis le début du mariage. C'est pour cela qu'il ne faut pas vous inquiéter si vous voyez Doofie avec des pantalons en lambeaux au niveau des pieds. Doofie ne sait jamais si elle a assez d'argent pour s'acheter des vêtements et ne s'en achètent plus. Alors que Schnelly a toujours des beaux pantalons et des beaux T-shirts.
Schnelly perçoit les deux salaires sur le compte commun et donne de l'argent de poche à Doofie qui gagne plus que lui la plupart du temps. Et il lui reproche d'acheter trop de livres.
Continuons notre histoire : Doofie après que la femme qui a un comportement dangereux avec le feu, l'a eu bien insultée, qu'elle est rentrée pour appeler la police, Doofie est rentrée aussi, a voulu partir de la maison en voiture sans Schnelly, parce que la femme l'a défendu et tient avec lui, lui qui ne sait même pas se servir d'un ordinateur, qui n'a jamais eu son CAPES alors qu'il était bilongue de naisance, il a râté trois fois l'oral, mais Schnelly qui bien que plus vieux, est plus en forme que Doofie, l'a suivie au garage, Doofie n'avait pas son sac ni les clefs de la voiture, il a amené le sac et les clefs et l'ordinateur qu'elle voulait mettre à l'abri de la police, après tout personne n'a besoin de savoir qu'elle raconte sa vie à la journaliste alternative,
Il est très net que cette femme avec laquelle Schnelly était souvent fourré il y a deux ans, et dont il faisait les éloges à Doofie parce que cette femme est une sportive et qu'elle jouait au foot avec les enfants du quartier devant notre maison (je ne sais pas si c'est toujours le même femme parce qu'elle a changé de figure et a coupé sa longue queue de cheval, mais Schnelly dit que c'est toujours la même). Doofie s'est rendu compte pour la première fois de sa vie que Schnelly était amoureux d'une autre femme et draguait et se faisait draguer. Enfin, du moins, elle en a l'impression, elle peut se tromper, mais c'est certain que ses éloges sont louches et que le fait que la femme le défende contre Doofie est louche aussi.
Cependant Schnelly qui s'est rendu compte que le quartier prenait la cause de Schnelly contre Doofie, va donner un cadeau en argent à la femme pour que ne dépose pas plainte, avec une lettre vantant les mérites de Doofie et disant son amour pour Doofie et faire cesser les comérages contre elle et la diffamation. Ce matin encore, Doofie s'est rendu compte qu'au moins cinq femmes du quartier tenaient des conciliabules contre elle, sur son trottpoir, devant sa porte. Doofie les entendait discuter de ses toilettes.
Si la femme dépose plainte Schnelly est d'accord pour déposer plainte contre elle avec moi, car il a entendu que la femme me traiter de fainéante.
Revenons en arrière, Doofie a voulu partir en voiture, mais Schnelly voulait la suivre et les carreaux du garage sont toujours cassés ce qui en oblige un au moins à rester à la maison.i Doofie est obligée de rester avec les careaux. Si Doofie s'en va et laisse Schnelly à la maison, ceux-ci risquent de venir chercher les affaires dont elle a besoin pour travailler pour son métier et ses études chez elle, et si Schnelly s'en va porter leurs affaires ailleurs pour les mettre en sécurité, Doofie ne pourra pas vérifier si elles sont vraiment au bon endroit et si elles sont bien en ordre. Donc, il est important de réparer d'abord les careaux, Schnelly a acheté le plexiglas, mais il faut le couper et le coller et le visser sur la porte.
Doofie a peur du feu, elle a peur que ses affaires brûlent. Cette nouvelle affaire vient troubler les travaux d'élaguage de Doofie, à cause de ce feu de barbecue, elle a dû arrêter ses travaiux qui étaient pourtant en bonne voix. Actuellement il n'y a que la moitié du jardin où les arbres ont perdu leurs feuilles et ne sont plus que des bâtons. Doofie s'était dit depuis quelques années que si elle devait quitter la maison, elle emmenerait ses pieds de rosiers et de plantes et d'arbustes dans le nouveau terrain. Maintenant, la plupart de ses rosiers étant enlevés, elle ne pourra plus le faire. Des beaux rosiers achetés par corespondance. Aujourd'hui Doofie a enlevé le rosier qui faisait des roses de couleur abricot de style rose thé. Elle a continué à enlever le forsithia, a enlevé beaucoup de branches du lilas. des branches basses du sapin, elle a vu que du lierre commençait à monter sur la sapin jugé dangereux, mais que celui-ci n'atteignait pas la hauteur de Doofie et ne tournait pas autour du tronc, donc, il ne l'étouffe pas. Doofie a commencé a enlever le lierre, en le coupant d'abord en bas. Doofie fait tout au sécateur à main (vous savez que le luthier lui a interdit d'utiliser des insstruments électriques et montait sur ses grands chevaux à la moindre petite coupure!). Doofie a fait encore beaucoup de coupes dans le jardin cette après-midi.
Bon, vu ce que la voisine avait dit contre elle et en faveur de son mari, Doofie a voulu partir elle a dit à Schnelly, puisque tu es mieux que moi, je te donne tout ce qu'il y a dans la maison, je n'emmène que mon ordianteur et mes instruments de musique, et tu peux disposer de tout, tout donner à la voisine qui t'aime tant si tu veux. Schnelly a dit : Non, je pars avec toi!
- Actuellement, Doofie sait que Schnelly est parti amener sa lettre, cela dure longtemps, pourvu qu'il ne soit pas encore en train de retourner sa veste - et de prendre parti pour la voisine contre sa femme. Doofie ne sait jamais retourner sa veste.
Schnelly prétend avoir toujours été du côté de Doofie, alors Doofie se demande pourquoi les voisins sont pour lui et contre elle, ils pratiquenet "diviser pour régner", mais jusqu'à faire divorcer un couple marié depuis 36 ans, il faut le faire ! Et ce n'est pas un couple qui a tenu "pour les enfants", puisqu'il n'en a pas. Il y a parfois des couples qui divorcent une fois que les enfants sont mariés, car ils attentdent pour ne pas leur faire de tort. Alors que Doofie et Schnelly sont mariés depuis 35 ans sans enfants et n'ont pas dû attendre que les enfants soient mariés. Malgré leiurs différences et leurs diférends ils tiennent sans enfants depuis 35 ans.
Doofie (et moi aussi) est foncièrement contre le fait de donner des avantages financiers aux parents et des retraites paraît-il plus importantes aux femmes qui ont trois enfants. Doofie est pour la suppressions des allocations familiales à partir du deuxième enfant, pour que les gens qui font des enfans, les font vraiment pour les enfants eux-mêmes et pas pour toucher des allocations familiales qui la plupart du temps servent à la boisson.
Quand Doofie a ouvert la porte du garage pour partir, tous les enfants du quartier ont arrêté leurs vélos devant son garage, l'un a dit que son garage était mal rangé, l'autre a ricané et s'est moqué de moi, alors je leur ai dit que j'étais professeur et que j'allairs contacter leurs professeurs d'école et de collège pour les faire sanctionnes à la rentrée s'ils continuaient, alors, ils ont été un peu plus gentils et ont même eu peur. J'ai déjà fait cela à Grande métropole régionale alors qu'un petit essayait de me soutirait de l'argent à un distributeur de billets de métro. Et le petit est devenu tout pâle s'est excusé, et a dit "Excusez-moi Madame, je ne vous embête plus". C'est un argument massue.
Bien sûr, Doofie a regardé dans le jardin de sa voisine d'au-dessus, parce qu'il y avait un danger immédiat, et ce n'est pas pareil que des enfants qui regardent par curiosité dans un garage, parce que les cartons de Doofie dans le fond du garage ne sont pas dangereux.
Je leur est déjà dit qu'ils étaient indiscrets et ne devaient pas regarder à l'interieur des maison.
Bon, je crois que Doofie, et ses amies Dummie, Sottie et Foolie qui tiennent ensemble et habitent dans le même quartier vont déménager, Ce sont encore des propriétaires qui vont démnager, mais Doofie a d'ores et déjà fait savoir qu'une famille de Grande Métropole Régionale Sud (un quartier chaud) va acheter sa maison et que les enfants de cette famille mettent le feu aux voitures (peut-être qu'ils mettront le feu aux voitures de leurs parents!). C'est pour faire peur aux parents qu'elle a dit cela. Mais c'est arrivé dans la quartier pas du tout chaud de ma mère (dans Grande Métropole Régionale) après son décés.
Je dis cela parce que je pense que certaines personnes du quartier veulent nous faire partir pour acheter notre maison, avec le carrelage qui n'est pas dans les autres maisons, etc... et en nous faisant enlever nos plantations, il n'y aura plus la plus-value cadre de vie et ils l'achèteront moins cher que ce que nous aurions pu exiger. De plus l'électricité est aux normes ce qui fait une plus-value.
Bon, je disais, ce sont des propriétaires qui vont partir, alors que les locataires (la femme qui a injurié Doofie est locataire du CIL), vont rester. Mais Doofie et Schnelly préfèrent vendre à un particulier et pas au CIL, de toute façon, le CIl détruirait les travaux faits par Schnelly et Doffy pour mettre la maison à des normes inférieurs. Les travaux du CIL ne sont pas toujours bien faits : notre voisin d'avant en arrivant s'était beaucoup plaint de choses qui n'allaient pas dans sa maison. Disfonctionnement de la robinetterie et tuyauterie, papier-peints mal posés, etc..
En tout cas, il est sûr que Doofie, depuis qu'elle est revenue de vacances prématurément n'a pas la vie facile avec ses voisins. D'ailleurs c'est toujours en été qu'il y a des problèmes et généralement en août (en juillet les enfants sont au centre aéré et les parents sont moins stressés et restent chez eux et ne vont pas dehors.
Schnelly retourne facilement sa veste, par exemple il veut garder son sapin (je suis sûre que lorsqu'on l'enlèvera, il ira pleurer en cachette), mais si la voisine dit "Il faut l'enlever", il répond que c'est sa femme qui ne veut pas, alors qu'il ne veut pas l'enlever non plus. Il est béni-oui-oui, et agit contre Doofie en acceptant des choses officiellement, alors qu'il ne veut pas les accepter. En fait, officiellement, il est contre sa femme, mais dans son coeur, il est pour elle, mais il ne veut pas le dire.
Si on lui disait "Il faut que vous tuiez Doofie, sinon on vous tue vous-mêmel", il accepterait de tuer Doofie, à moins qu'il ne croie que ce soit une plaisanterie. Bon, c'est symbolique "Dites du mal de votre femme, si on dit du mal d'elle, il renchérit pour plaire aux gens, si on dit du bien d'elle, il dit aussi du bien pour plaire aux gens". Ceci dit on ne fait pas la même chose dans l'autre sens, on ne parle jamais de Schnelly à Doofie, du moins, ceux qui connaissent bien Doofie. Dans la vie courante, si on dit du mal de Schnelly, par exemple des élèves par rapport à son travail, Doofie le défendra.
Mais maintenant, il voulait faire enlever le sapin, parce qu'on lui a dit d'enlever le sapin, mais si les gens critiquent le fait qu'on a enlevé le rosier, il dira "C'est Doofie qui voulait l'enlever!" Alors que Doofie na jamais voulu enlever quoi que ce soit de son jardin. Elle saborde son jardin parce que on lui a dit d'enlever le sapin et d'éclaircir les plantations, alors elle saborde tout le jardin, toutes les plantes qu'elle avait bichonnées jusqu'à il y a deux ans.
(Une chose qu'il faut rappeler : que Doofie n'a jamais fumé quoi que ce soit, Schnelly et elle se sont fait la promesse à l'âge de 18 ans pour Doofie et 21 ans pour Schnelly de ne jamais boire de boissons alcoolisées. Ils n'étaient pas encore mariés, se sont fiancés quatre ans plus tard et mariés 5 ans plus tard et ne vivaient pas ensemble alors, Doofie vivait chez ses parents et refusait les verres de Champagne que son père voulait qu'elle boive aux anniversaires et à la nouvelle année. Au début de leur mariage, Doofie et Schnelly n'ont acheté des boissons alcoolisées que pour leurs invités, pour qu'ils acceptent de prendre un repas chez eux, car inviter les parents à un repas sans alcool, ça ne se faisait pas, mais Schnelly et Doofie regardaient leurs invités boire sans boire eux-mêmes. Enfin, Schnelly fait peut être des exceptions, car quand il va tout seul chez quelqu'un, on lui dit :"Vous prendriez bien un petit verre... et on inssite, Allez... Pour nous, faites une exception, et Schnelly finit par accepter. Doofie n'accepte jamais de boisson alcoolisée, elle reste fidèle à elle-même. Mais pour leur maison Doofie (Doofie et Schnelly n'achètent plus jamais d'alcool, même pas de vin, ni de bière, mais parfois on leur en offre et alors les boutielles restent à la cave pendant des dizaines d'années. Quand on leur offre des bouteilles de bière, Schnelly va parfois en boire une en cachette de Doofie, elle a trouvé trois bouteilles qu'on leur a offertes vides à la cave. Les autres n'étaient pas entamées. Doofie ne les boira jamais, c'est évident. D'ailleurs, elle ne connait même plus le goût des boissons alcoolisées auxquelles elle avait goûté trois ou quatre fois par an chez ses parents avant l'âge de 18 ans.
Evidemment, quand on a fait partir Doofie du lycée où elle a travaillé dix ans... on a trouvé de l'alccol à brûler ou à polycopier dans son casier, cela ne servait qu'à la machine à polycopier, dite "à alcool".
Doofie est une femme pleine de droiture et qui s'est fixé une ligne de conduite une fois pour toutes.
Doofie a pourtant un défaut, celui de faire une crise de nerf quand on la pousse à bout et ici, le quartier la pousse à bout en la harcelant et vont jusque à la harceler dans son couple avec Schnelly, son mari.
Doofie veut éviter la police demain matin, appelée par cette femme jeune qui se croit insultée par une vielle, alors que cette voisine ' tutoie la vieille, de vingt ans son ainée, et qu'elle lui reproche de lui donner des conseils. Et qu'elle trate cete femme vieille de fainéante, alors qu'elle ne sait même pas que lorsqu'on a vingt ans de plus, on fait le travail moins vite qu'une jeune. Et que Doofie n'a jamais reçu de reproches quand elle était jeune; même pour son fond de garage, avant l'arrivée de ces locataires de deux maisons à côté (Doofie et Schnelly sont propriétaires) et ils considèrent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent dans leur maison du moment qu'ils ne mettent pas la vie des autres en danger. Alors que cette femme, avec son barbecue, met la vie des autres en danger.
Doofie est droite, claire, elle n'accepte aucune compromission, elle n'est sujette à aucune toxicomanie, elle et Schnelly ont réussi à faire interdire le tabac sur tout le TER (Train Express Régional) et dans les gares. Doofie ne supporte pas la proximité du tabac, ni l'haleine qui sent l'alcool, elle n'ira jamais à la kermesse de la bière à Munich (elle a eu deux textes là-dessus à l'épreuve professionnelle de l'agrégation interne et elle en a été très choquée. Oui, Doofie a été choquée par les textes qu'on lui a donné à l'oral de l'agrégation interne, dont elle avait dit qu'on pourrait les donner à la rigueur à des sections hôtellerie-restauration. Et ce que le jury attendait c'est que c'étaient des textes sur la culture allemande).
Doofie sait que si elle s'en va, Schnelly sera libéré de sa promesse et boira de l'alcool et ce sera la décadence pour lui. D'ailleurs, l'alccol fait perdre la mémoire, il y a une expression qui est 'noyer son chagrin dans lalcool", c'est parce que Doofie ne boit jamais d'alcool, qu'elle pleure et fait des crises de nerfs quand les adultes la poussent à bout.
Pour cette affaire de barbecue, Doofie demande une chose que les barbecues soient interdits à proximité des maisons jusqu'à une distance de 50 mètres des maison. Finalement, ce serait plus intelligent de faire des Grillplätze comme en Allemagne, avec des cercles très larges emmurés et encastrés dans la terre, recouverts d'une grille, dans lequel couve un feu. Ces Grillplätze sont courants dans les clairières des forêts, en montagne, et parfois dans des espaces verts près des habitations où les familles peuvent venir griller leurs saucisses ou leur viande gratuitement. Un Grillplatz est littéralement une place à griller. Ce serait beaucoup mieux de faire cela que de faire des barbecues près des maisons.
Il y a deux ans la voisine portugaise de Schnelly et Doofie disait que Doofie qui était sortie toute l'année pour ses études et ses remplacements et ses cours du samedi, c'est à dire environ six fois par semaine, tout comme cette année, ne sortaient pas suffisamment pendant les vacances, parce qu'elle préparait son agrégation et d'autres examens, et la voisine voulait absolument la faire sortir. De quoi elle se mêle? "Moi, je ne dis à personne ce que je remarque d'anormal chez les gens. Et je ne me permets pas de me mêler de leur vie. Si le maire n'était pas venu nous obliger à couper les arbustes hier, je n'arai peut-être pas été dans le jardin à l'heure des barbecues et je ne me serais pas disputée avec cette voisine. C'est comme d'habitude, une enchaînement de circonstances dûes à une intervention extérieure dans la vie de Doofie. Le maire voulait faire un devis à Schnelly pour l'arrachage des plantations, et si Doofie ne le fait pas elle-même, ils vont devoir payer, et les jardiniers coûtent chers, plus de mille euros je crois pour enlever un arbre. Si c'est mille euros, c'est pour quelques heures de travail, prendre autant qu'iun prof a en quinze jours de travail avec copies corrigées et cours préparés et tout le reste dans son travail. Et le prof a fait plus d"études que le jardinier et le bûcheron! Et le jardinier et le bûcheron prennent en une demi-journée, ce que Schnelly ou Doofie gagnent en quinze jours ou un mois. Et le professeur a aussi un risque professionnel, déjà celui de la route et aussi celui de l'agression possible.
Doofie souhaiterait que les voisins la laissent tranquille et leurs enfants aussi et la police éventelle aussi,et les éventuels psys qui voudront venir et l'emmener pour l'enfermer parce qu'elle a fait une crise de nerf et a hurlé dans sa maison autant pour le barbecue de la voisine (Doofie et Schnelly n'ont jamais eu de barbecue) que pour la supression des arbres. Si les psys l'enferme, si on la met en prison il faudra que les voisins attendent qu'elle revienne pour l'élagage des arbres.
domino
20:47 Publié dans Colère i-grimoirienne, "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 29 juillet 2010
Nouvelle affaire...
Doofie, Dummie, Sottie et Foolie, nos quatre personnages de roman-théâtre, ou plutôt mes quatre personnages de roman-théâtre, sont au bord de la piscine. Doofie, les bras sortant du sac de couchage, par deux fentes latérales prévues à cet effet, pour qu'elle puisse jouer de la gutare à moitié endormie et ne pas tomber endormie sur son ordinateur - mais si elle tombait endormie, c'est son ordinateur qui se reposerait sur elle -le sac de couchage posé lui-même sur son transat, ouvre de grands yeux en arrivant sur l'un de ses moteurs de recherche :
"Tiens, une affaire comme l'affaire d'Outry!" s'exclame Doofie.i
"Encore, c'était un canular ce truc-là, dit Dummie, on n'en parle même plus. Oubliée, cette affaire après l'acquitement général des "complices".
"Et ici, j'ai la preuve que c'est encore un canular, l'affaire de Du Tertry".
"Du Tretry?" Questionne Dummie?
"Et bien oui, Du Tertry, un nom qui me fait penser à quelque chose, à propos de moi et de la musique..."
"On n'en saura pas plus long, pense Sottie, Doofie est très mysterieuse, quand elle veut protéger ses amis et anciens amis".
"C'est quoi, ton affaire?" demande Foolie.
"Et bien tu te souviens de l'affaire d'Outry, l'année précédente javais justement été faire des interrogations d'examen près de Outry, et quelqu'un avait cru que j'habitais par là-bas. Un autre musicien (rien à voir avec celui qui habtait à Dutertry dans une autre région..) avait le bras long au niveau du rectorat.
"Ah!" disent en coeur les trois amies de Doofie.
"Et en plus, cette année là, j'avais voulu enseigner en section européenne la géographie en allemand.... Et dans l'affaire d'Outry on a justement accusé une prof d'histoire-géo qui n'est pas moi, mais qui en fait ne devait pas existe... Pour les photos de la presse c'était une actrice qui était rémunérée pour cela..."
"Tu vas un peu loin, Doofie!" dit Foolie!
"Mais non, souviens-toi, l'inspection où l'inspecteur a dit que je serais une débutante dans l'enseignement de l' allemand, où il m'a prise pour une prof d'histoire-géo à qui il devait donner une habilitation... à enseigner en section européenne..."
"Et qui a été refusée?"
"Et pour cause, j'ai fait un texte littéraire, et pas un texte géographique... Je n'étais même pas prévenue qu'il venait pour la section européenne."
"Et ensuite?"
"Pendant les grandes vacances éclate l'affaire d'Outry et l'affaire de Roséÿ, cette seconde affaire étant étouffée, mais Roséÿ était près de l'endroit où j'enseignais alors, on parla même d'une affaire de Roseÿ reliée à celle d'Outry, avec des ramifications dans le pays voisin". Mes initiales de Doofie Dummiie Schnelly (DDS) ont paru à l'époque plusieurs fois dans la rubrique "tribunal" du journal, sur le journal, sous ces intitiales, je suis tour à tour vidangeuse de réservoir de camions, opérant la nuit, voleuse de voitures, et j'en passe... et j'y ai toujours 19 ans, au lieu d'une cinquantaine.Quand à Schnelly, deux mini-articles paraissent sur un Monsieur Schnelly, du même âge que mon Schnelly.. Ce Schnelly là est "adulte sous tutelle", et fait de menus larcins également, trafics et autres.
A la rentrée, il n'arrive rien à mon Schnelly et le mari de la prof d'hisoitre-géo d'Outry est "libéré de prison", par contre la prof y reste et au bout de quinze jours de cours, on m'envoie à la méecine du rectorat qui me met en congé sans plus d'ambages, me disant "d'avouer quelque chose...", je me demande bien quoi, et je me le demande encore aujourd'hui. Elle a dû me confondre avec la prof d'Outry. En plus là-bas l'abbée Douffy Schnelly (ça ressemble à Doofie Schnelly) est accusé aussi, alors que son nom ressemble au mien.
Au bout d'un an, je reprends le travail et l'affaire d'Outry commence à se résoudre, beaucoup sont innocentés et libérés, l'affaire de Roseÿ aussi, on libère une femme et son mari innocents!
"Et quel est le rapport avec l'affaire de Du Tertry"? demande Sottie.
"Et quel est cette affaire de Du Tertry?"
"Déjà le nom de la ville fait penser à l'un de mes profs de musique.... et ensuite le prénom du mari Singy fait penser au prénom d'un de mes autres profs de musique... Le premier nom est sur ma chaîne de vidéos, où je fais honneur à mes professeurs les plus éminents et pour le deuxième, j'ai fait il y a quelques jours des commentaires sous une vidéo où on le voit avec ma copine de conservatoire Chantie en train de chanter un trio. Et j'ai commenté la vidéo en donnant leurs vrais prénoms Singy et Chantie."
Doofie continue : "Singy vient d'être libéré... ou plutôt, on a dit qu'il n'était que témoin. Mais si l'affaire été vraie comment ne se serait-il pas aperçu qu'il y avait des cadavres d'enfants sous ses pots de fleurs dans le jardin. Les cadavres en décomposition aurait dû sentir mauvais... et il aurait dû regarder en dessous des pots ce qui provoquait cette odeur. Donc, à mon avis, vu les invraisemblances qu'il y a déjà dans cette affaire-là, il s'agit d'un canular!"
"D'un canular, mais dans quel buti?" dit Foolie.
"Il y a un but dans ce canular, la femme porte le même prénom que moi... et a des similitudes physiques avec moi : elle a de l'embonpoint. De l'embonpoint? Encore un mot plus très usité actuellement que j'ai employé récemment dans mon journal ou dans un commentaire fait sur internet à propos de moi-même. "
"Et tu crois qu'ils veulent te faire passer pour elle?" dit Foolie..
"Oui, pour me mettre en congé et pour m'empêcher de passer les examens que je voudrais passer!", dit Doofie.
"Mais" ... Tu n'habites pas dans le même coin!
"Non, ils se sont encore une fois trompés... " Il y a huit ans, la médecine du rectorat voulait m'envoyer chez un psy dans cette ville... enfin dans la ville près de Du Tertry, quelqu'un avait écrit que j'étais surdouée, et la femme médecin avait compris que j'étais "sur Douaÿ"! Alors que c'est assez loin de chez moi, et qu'il y avait des psys beaucoup plus près...Quand même faire faire à quelq'un plusieurs centaines de kilomètres par semaine pour aller voir un psy, il faut le faire..."
"Et ils penseraient encore huit ans après que tu habites près de Douaÿ?"
"Oui, je n'habite même pas dans cette région là, pas plus qu'à Outry.... mais pour le sac noir dans le jardin, ça a aussi un rapport avec moi et Schnelly. Avant de partir en vacances, on a commencé à taillé les arbustes et on a mis les branches dans des grands sacs poubelles noirs pour les déchets verts! Il y a dans le jardin encore des sacs noirs de l'année dernière avec des branchages pourris dedans, parce que les déchets verts étaient déjà passés et ne repassaient plus de l'année, quand je les ai remplis' Je les avais coincés sous des pots de fleurs pour qu'ils ne s'envolent pas'.
Dummie : Que de couleurs, vert et noir...Les déchets verts, et les sacs noirs!
Foolie : Je viens de voir quelque chose d'effarant sur ton ordinateur....
Doofie : Quoi?
Foolie : Là, en dessous de cette vidéo d'une chanteuse : le commentaire!
Doofie : "Oh! ça alors, c'est écrit "C'est sweet.... et smoothie!" Pourvu que ce ne soit pas un mauvais présage, qu'elles ne viennent pas passer leurs vacances ici ces deux là!
Dummie : En effet, ce ne serait pas cool, bien que je ne dirai rien si Coolie faisait un tour par ici!
Doofie: Bon, je continue mon histoire, enfin pas mon histoire, l'histoire de cet invraisemblable canular. Encore quelque chose qui ne tient pas debout, mon homonyme, la femme supposée avoir tué huit bébés, a deux filles de 20 ans et "sa première grossesse a été difficile". Sa première grossesse, c'est sa première fille vivante, or, comme c'est présenté là, on dirait que c'est le premier bébé assassiné, donc, sa troisième grossese. Puisqu'elle aurait accouché des huit bébés chez elle.
Dummie : Mais Doofie, on ne peut la confondre avec toi... Dans les années 90, tu étais une prof connue, en plus tu manquais souvent le lundi pour cause de pâleur extrême... Donc, tu ne pouvais être enceinte! Sinon, tu n'aurais pas manqué tous les lundis une fois par mois...
Doofie : D'ailleurs, je ne l'ai jamais été, et je n'ai pas deux filles de vingt ans. Celle qui a le même nom de famille que moi à l'université, c'est quelqu'un de ma famille, mais ce n'est pas ma fille. Je n'ai pas d'enfants.
Foolie : En tout cas, pour l'histoire de la première et de la troisième grossesse, tu aurais fait une bonne enquêtrice. C'est vrai que ce qu'écrit le journaliste est invarisemblable. Comment veux-tu que cette femme ait une première grossesse difficile pour son troisième enfant, encore une perle!
Dummie : Ils auraient pu faire attention quand même en montant leur canular à ne pas faire d'invraisemblances.
Sottie : Tu crois aussi que c'est un canular, Dummie?
Dummie : Et bien oui, avec déjà deux invraisemblances, plus la perle de ce matin...
Foolie : Digne des perles du prêtoire de notre journal local.
Doofie : Oui, mais c'est un canular ciblé, il y a quand-même trois noms propres qui corespondent à quelque chose de ma vie et de ma chaîne vidéo : mon prénom à moi, le prénom d'un de mes profs de musiqiue et presque le nom d'un autre de mes profs de musique, je n'ai pas revu l'un depuis vingt ans et l'autre depuis trente ans... Et en plus, j'ai remarqué que sur la vidéo que j'ai commentée, celle où aparraissaient Singy (à prononcer comme le verbe singen en allemand) et Chantie, le son a été abîmé presque tout de suite, quand je l'ai mise sur mes favoris (qui passent sur le devant de mon profil).
Foolie : De toute façon, on sait très bien que tu n'es pas cette femme-là, Doofie, si elle existe réellement...
Doofie : D'après le journal, la femme incriminée qui a le même prénom que moi, aurait avoué que les deux premiers bébés étaient les siens et les six autres qu'on a retrovué dans des sachets en plastique noir aussi... A propos, sais-tu que vers 2002, j'ai planté des thuyas pour faire une haie au fond du jardin. Pour les planter, j'allais derrière les sapins avec une^bêche... les voisins ont dû inventer une histoire. maintenant qu'ils ont grandi, on voit bien que c'était des thuyas que je plantais...
Sottie : Qui a grandi, les thuyas ou les voisins?
Doofie : Les thuyas bien sûr, les enfants des voisins qui étaient là alors, étaient déjà grands... Mais les voisins ont peut-être inventé une histoire, avec ma bêche au fond du jardin, et avec les sacs noirs, ils se plaignent de mes sapins (le vent les a aidé à coupé la tête du plus haut...), de mes virtres qui ne sont pas faites assez souvent quand je travaille, et d'un tas de petits trucs comme cela, c'est surtout la veuve à côté qui se plaint de moi ... c'est une veuve qui est plus jeune que moi...
Sottie : Oui, il y a beaucoup de points communs avec toi : les sacs poubelles en plastique noir, l'embonpoint, le prénom, les noms des profs de musique qui ressemblent au nom de son mari et à celui du village où ils habitent...
Foolie : Il y a beaucoup de points communs en effet... ce sont peut-être des coïncidences.
Doofie : Oui, je les vois venir, ce sont des coïncidences comme lorsque l'on m'a mise en congé en 2002 : au début de l'année, ils vont me donner un remplacement dans un collège pourri, genre "Prévention violence", puis ils vont dire que çà ne marche pas bien, ils vont inventer une histoire comme celel des prises de courant avec les morceaux de buste d'anatomie qui étaient tombés par terre.. pour faire un rapport sur moi, ou me pousser à bout pour me faire faire une crise de nerf...
Foolie : Il n'y avait pas d'os dans les morceaux du buste d'anatomie qui sont tombés??? Ce sont peut-être des os de bébés en plastique qu'ils ont trouvé, servant à des cours de puériculture?
Doofie : Peut-être.. En tout cas, ils vont encore inventer une histoire, pour m'empêcher d'avancer dans la vie, mais officiellement, ils diront à mes collègues que j'aurais assassiné des bébés... alors que j'aurais tant aimé en avoir... comme en 2002 où ils ont été inventer que j'aurais été dans l'affaire d'Outry ou dans celle de Rousaÿe... et c'est pour cela que lorsque je rencontrai un collègue dans la rue, il faisait semblant de ne pas me voir.
Dummie : Pour les bébés... C'est Schnelly qui ne voulait pas en avoir?
Doofie : Oh! Maintenant, je suis trop vieille, je n'y pense plus... dit Doofie, étouffant quelques larmes... Mais j'aurais voulu en avoir, lui disait que c'était mettre des malheureux de plus au monde, qu'on n'étais pas sûr de pouvoir leur offrir un bel avenir. C'est pour cela qu'on n'a pas fait de bébés. Mais à l'époque où je pouvais enfanter, je n'étais pas aussi grosse que maintenant, j'ai fait beaucoup de régime ce qui faisait l'effet d'accordéon... C'est cela qui a donné cette idée de canular aux gens...
Dummie : Mais tu crois vraiment que c'est un canular..
Doofie : Sûrement... D'ailleurs.... Quatre coïncidences, deux noms de mes profs de musique évoqués récemment sur mes espaces vidéos, mon prénom à moi, plus les sacs noirs dans le jardin... qui chez moi ne sont remplis que de branches...c'est trop...
Dummie : Bon, mieux vos prévenir que guérir, si notre auteur a fait cette scène, c'est pour qu'on ne chasse pas Doofie hors des circuits des études et de l'éducation nationale à la rentrée, qu'on ne la confonde pas avec la femme qui est la victime du canular ou qui peut-être n'existe pas...
Doofie : Ceci dit, je n'ai pas demandé non plus que l'on mette un collègue d'office en congé pour me faire faire à tout prix un remplacement, pour montrer que je suis là et pas en prison, et je n'ai plus l'intention de demander une section européenne de géographie en allemand non plus, c'est quelque chose sur lequel j'ai fait une croix depuis longtemps Sur mon premier remplacement de cette année, ça a même posé un problème à une prof d'histoire-géo qui voulait passer une habilitation en allemand, pour avoir la section européenne de ce collège, alors que je ne savais même pas en arrivant qu'il y avait cette éventualité. Et elle m'a prise pour une rivale..
Dummie : Peut-être qu'on a cru que tu étais sur un poste établissement, et que l'on cherchait à mettre une stagiaire pour laquelle on ne trouve pas de place, à ta place.... sur six heures.
Doofie : Mais enfin, une stagiaire, laquelle Sweetie, Smothie ou Softie? Coolie n'est plus stagiaire.. De toute façon, je suis TZR, je remplace déjà, comment veux-tu qu'ils mettent quelqu'un d'autre à ma place..
Dummie : Je pense à quelque chose, maintenant que c'est sur le blog de domino, ils vont dire que tu réagis en paranoïaque, et ils te convoqueront à la médecine du rectorat et te mettront en congé quand même...
Doofie : Mais ce n'est pas possible, cinq poinrts communs, c'est trop fort leur truc, c'est peut-être un sattellite de la firme du moteur de recherche qui a vu des sacs poubelles noirs dans mon jardin qui a inventé cela... Ils regardent dans mon jardin avec un satellite...
Sottie : Mais tu as raison Doofie, quand j'ai passé le CLES d'anglais d'il y a deux ans, on parlait de cela, des satellites espions qui espionnait même tout ce que tu écrits sur ton ordinateur par exemple dans une tour d'habitation assez haute, ou qui saississent les conversations téléphoniques, etc... les espions informatiques n'existent pas que dans les ordinateurs eus-mêmes. Les satellites peuvent avoir des oreilles dans ta maison et des yeux sur ton jardin, et ils s'en inspirent pour faire leurs canulars..
Doofie : C'est de la faute de mon frère... au début de sa carrière d'électronicien, il faisait des inventions pour les télécommunications par satellite... il a même participé à l'invention de la fibre optique.
Sootie : Fortiche, ton frère, son oeuil va mieux?
Doofie : Je vais regarder mon e-mail.
Dummie (à Sottie) : Tu as vu les écrits interdits de Voltaire...
Sottie : ça me fait penser aux écrits de certains bloggueurs pamphlétistes...
(Toute ressemblance de cette scène avec des faits ayant réellement existé est totalment fortuite...)
domino
22:09 Publié dans Le théâtre i-grimoirien..., Les aventures de Dummie, Société, "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 20 juillet 2010
Mon blog disparu....???
Je regarde la page centrale de mon blog sur lesquels sont publiés nombre de mes poèmes et textes littéraires, dont j'offre la lecture gratuite au monde (lecture et non reproduction, car je suis encore vivante..), environ 1400 notes mises à la poubelle si mon blog disparait. Des millions dans les poches des gens qui dans la postérité feront croire qu'ils auraient écrit mes poèmes et mes articles, et rien pour moi????? Rien pour ma famille, alors que les familles d'autres auteurs et compositeurs qui écrivent et composent moins bien que moi s'en mettent plein dans les poches pendant des générations???
De toute façon dans 200 ans, on saura encore lire les disques durs des serveurs et hébergeurs par où pase mon écriture et la postérité pourra deciser, alors ceux qui bloquent mon blog, âpres au gain rapide n'auront pas raison devant leurs descendants! Et pourront se couvrir la face de honte!
Les blogs sont faits pour dire leur avis et je le fais toujours poliment.
domino
vendredi, 28 novembre 2008
Pages disparues...
En faisant des triages, je suis tombée sur un vieil hebdomadaire, sur le page de titre un oeil et une joue et une larme qui roule sur la joue, pas celle d'un enfant, celle d'un adulte, probablement une femme.
Le gros titre est en gros "Malgré la loi... le harcèlement moral empire". C'est un dossier. Je feuillette cette veille revue de 2004, rien! Rien, absolument rien qui ressemble au titre de la couverture. Je le tourne, je le retourne. Rien! Et pourtant aucune page ne semble avoir été enlevée, pas de petits bouts de papiers déchirés qui dépassent entre les pages.
Alors je consulte la table des matières : page 12.
Je cherche la page 12, page 2, 3, 4, voilà une série de pages de pub, une bonne série, au moins 10 pages... je n'ai pas mis mes lunettes (à mon âge, on devient presbyte) et il fait sombre, sombre, pas de soleil, depuis juin-juillet envrion, cet invariable temps maussade à peine éclairé par des journées de ciel bleu que je compte sur les doigts de la main. Alors, je regarde mieux.... non, je chausse des lunettes, après les pubs page 31. Je cherche des traces de pages déchirées entre les pages : rien! Je cherche des traces de pages déchirées de l'autre côté, des pages mal paginées, manquantes à l'autre bout du journal : Rien!
Alors, nous avions eu (parce que ce n'est pas moi qui l'avait acheté, donc, c'est mon mari qui l'a acheté), un exemplaire mal paginé. Ou alors, on a refat notre exemplaire! Bizarre! Bizarre! Plus que bizarre! Etrange! Etrange! Plus qu'étrange!
Cette revue date de 2004, d'une époque où je constatais la disparition de beaucoup de choses chez moi, mais justement pas des revues ou des livres, mais...
Des chaussettes disparaissaitent (une chaussette sur deux, de chaque paire, systématiquement), des sous-vêtements, des bas de pyjamas (mais les hauts sont toujours là), mes T-shirts imprimés, et en particulier ceux des stages de musique qui portaient des guitares photographiées, et des guitares que l'on avait vu en vrai en plus...
Mais jamais encore, je n'avais constaté la disparition sans laisser de traces de pages de revue, et justement de celles-là, les disparitions de dossiers dans le cadre le travail étant courantes dans le harcèlement moral au travail. Par exemple, on cache le dossier que la secrétaire harcelée doit faire d'urgence, en disant que c'est elle qui ne sait pas où elle pose les affaires.
Et on fait disparaître des pages sur le harcèlement moral pour dire que ça n'existerait pas et que la loi sur le harcèlement moral (de 2003) et en particulier celle sur le harcèlement moral au travail n'existerait pas. Mais aller jusqu'à changer la revue et la refabriquer....
(J'ai change les serrures depuis... en novembre 2005, quand les cordons du nouvel ordianateur que je venais d'acheter disparaîssaient systématiquement).
domino
NB Espionage : Pendant la publication de cette notre, la note s'est mise à sauter de haut en bas, alors que j'en faisais ma sauvegarde personnelle avant de cliquer sur enregistrer. Puis cela a continué pendant que j'ai cliqué sur "enregistrer", et j'ai même eu du mal à arriver avec le pointeur sur le mot "enregistrer" devant lutter contre une force invisible qui entraînaît mon pointeur de l'autre côté.
11:56 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : justice presse journeaux hebdomadaire
dimanche, 11 mai 2008
Si j'avais l'agrégation...
Il y en a qui se demande à quoi sert-il de passer l'agrégation quand on a 57 ans (et que l'on veut travailler jusqu'à 65 ans pour avoir le plus d'années de cotisation possibles pour la retraite) :
- à avoir une meilleure retraite, un tout petit peu plus élevée : pouvoir se payer peut-être un ou deux voyages hors d'Europe (je ne suis jamais sortie d'Europe de ma vie...).
- à avoir trois heures de service (puisque je suis TZR) ou de cours en moins. 3 heures de cours en moins, cela veut dire : 10 heures de travail hebdomadaire en moins quand on travaille en lycée, ce qui signifie beaucoup moins de fatigue, peut-être un complément d'horaire en moins,etc... ce qui est appréciable quand on arrive en fin de carrière, et qui'on devient plus fatigable que les jeunes ce qui est tout à fait normal et ne relève pas d'une maladie.
Beaucoup de fatigue en moins, grâce aux trois heures en moins par semaine que donne l'agrégation, voilà un argument de poids pour ceux qui me font convoquer sans cesse à la médecine du rectorat pour me donner un congé dont je ne veux pas, comment ne pourraient-ils pas se réjouir que j'eusse trois heures de cours en moins et dix heures de fatigue(dix heures de travail personnel à effectuer pour les trois heures de cours) en moins, si ce sont des médecins humains, et pas des médecins qui tuent, comme je soupçonne qu'ils sont, vu l'ardeur qu'ils ont à me mettre des 100 Euros en moins, des blâmes et autres sanctions administratives pour avoir refusé les congés qu'ils veulent m'imposer.
Mais pour que j'ai ces trois heures en moins grâce à l''agrégation, il faut absolument que je ne sois pas en congé le 1er septembre qui suit l'agrégation à cause de la clause du premier septembre qu'il y a dans le BO pour les stages d'agrégation des gens en CLM, CLD (s'ils ne sont pas remis sur leurs postes avant le 1er septembre de l'année civile de la session de l'agrégation pour commencer le stage, ils perdent l'admission de celle-ci (tout en gardant l'admissibilité qui n'est pas sujette à un stage, je suppose).
Combien de déprimés ont dû perdre leur agrégation juste après l'avoir réussie et ont rejoint le cimetière des bienheureux destitués de l'agrégation pour ne pas avoir repris le travail le jour de l'agrégation. Vous imaginez? Être en congé pour dépression (à cause de la médecine du rectorat la plupart du temps), réussir l'agrégation et la reperdre aussitôt, même pas guéri, les pauvres qui ont dû subir les arcanes d'une telle réglementation ont été envoyés directement au cimetière. Je voudrais avoir des statistiques sur le nombre de suicides dus à cette réglementation.
Bien sûr, on a fait cette réglementation pour éviter les abus en matière de congés maladie et éviter que des personnes se mettent en CLM ou CLD pour préparer l'agrégation.
Mais ce n'est pas mon cas.
Quand j'ai été convoquée à la médecine du rectorat en septembre 2002, c'était à cause d'une MA qui me remplaçait sur ma première journée d'absence et à laquelle le proviseur avait fait signer un contrat jusqu'en juin 2003, et il avait peur qu'elle dépose plainte contre lui, si je mettrais fin à mon congé de même pas une semaine! Elle a même fait le stage d'agrégation avec mes états de frais de déplacement pour passer un examen n et l'a eu et avec ma convocation. Je ne voulais pas de ce congé et après ma visite à la médecine du rectorat, j'avais reçu un papier me mettant en congé maladie d'office pour une durée indéterminée, etc...
Et mes collègues ont soutenu cette MA contre moi (la pauvre, sinon, elle n'aurait pas eu de salaire... ils avaient pitié d'elle et s'en f.... éperdûment que je me claquais la tête contre les murs à cause de ce congé). J'n l' pleure encore aujourd"hui.
Quelle déchéance! Encore une semaine après l'inspection de Mars 2002, j'étais dans les quatre personne convoquées aux service des examens du rectorat pour pondre des sujets d'oraux de BTS pour trois académies.
Encore deux mois avant l'inspection et deux mois ouvrables avant cette déchéance, je co-dirigeais les commissions du même BTS avec un collègue du privé qui aurait bien voulu que je prenne la responsabilité de la commission l'année suivante, parce que c'était moi qui dans le public travaillait le plus pour cette commission.
(Est-ce que vous savez que le harcèlement moral professionnel consiste à faire chuter, et à faire licencier pour les entreprises privées, ou à faire destituer pour les fonctionnaires, ceux qui en font selon les autres "de trop")
Un collègue (M. Je-sais-tout-ce-qui-se-passe-dans-le-lycée-et-l'académie-et-en-ce-moment-je -lis-le-blog-de-domino-pour-pouvoir-en-mettre-plein-la-vue-sur-ce-que-je-sais-d'elle-auprès-de-mes-collègues) me disait : "Mais pourquoi irions-nous te défendre auprès de l'inspecteur? Si nous lui disons : domino fait cela en plus de nous, il nous répondra : "Et vous? Pourquoi ne faites-vous pas comme elle?" et après on aura trop de travail....."
Voilà pourquoi mes collègues refusaient de me défendre, c'étaient parce qu'ils avaient peur (je veux dire surtout l'un d'entre eux) qu'on s'aperçoive qu'ils ne faisaient pas grand chose.
Alors maintenant j'ai entendu dire à la radio que le ministre veut lutter "contre les congés maladie de complaisance", parce qu'il a lu mon blog, et qu'il s'est imaginé que j'avais un congé maladie de complaisance? Pas du tout! Je n'ai pas été en congé maladie depuis mai 2004. Pas une seule journée.
Par contre j'ai eu en tant que TZR qui n'a pas toujours des remplacements, plein de journées d'une espèce de chômage technique, mais ce n'est pas de ma faute, ce sont proviseurs et principale qui m'ont rejetée. Peut-être parce que je suis trop veille, trop grosse et pas assez belle!
et en raison de ma laideur, de mon embonpoint, et de mon âge avancé, on se f.... pas mal de mes multiples talents.
Ce sont principale et proviseurs qui me font convoquer à la médecine du rectorat parce que je m'énerve quand quelque chose ne va pas tout rond dans mon travail (mais pas sur les élèves, sur les élèves, je me retiens, j'ai appris à me maîtriser devant eux, j'évite au maximum de leur crier dessus, de les vexer, je travaille pour leur bien, pas comme monsieur Je-sais-tout, monsieur Suppositions-de lycée-où-j'ai-travaillé-dix-ans, qui s'énerve toutes les cinq minutes sur eux, si fort qu'on entend sa voix qui se décroche dans sa gorge deux couloirs au dessus et qui n'a jamais été en congé maladie, jamais été appelé à la médecine du rectorat, alors qu'il pique sur les élèves toutes les cinq minutes une crise comme j'en pique une tous les cinq à quatorze ans sur un collègue ou sur l'administration. Mais piquer des crises sur les élèves est pour la médecine du rectorat "autorisé" surtout avec un pouvoir fort, alors que répondre fortement à une crise de sa principale (sans la toucher physiquement, et sans un seul mot de travers) est interdit parce que sous les pouvoirs forts, vous n'avez pas le droit de critiquer la hiérarchie, même moins diplômée que vous! C'est pourquoi mon ancien collègue est toujours sur son poste lycée, alors que j'ai été humiliée à devenir remplaçante et maintenant je risque tout simplement pour m'être opposée à la principale à cause d'un rouleau de paperboard, la destitution.
Voilà ce que j'ai déjà payé à cause du rouleau de paperboard (dont j'avais signalé la disparition ou le vol, honte à moi, je n'aurais jamais du prononcer le mot "vol"!):
- un rapport de ma principale,
- un rapport d'une surveillante (une surveillante a-t-elle le droit de faire un rapport sur une prof, dans la mesure où elle n'a été nullement mise en question elle-même, en plus elle a fait croire que c'est moi qui aurait écrit les affiches posées sur les tables, alors que c'érait elle... elles ne sont pas de mon écriture.
- un rapport d'un OP (ouvrier d'entretien), un OP qui en tant qu'OP n'est pas titulaire, ni fonctionnaire, a-t-il le droit d'écrire un rapport sur une fonctionnaire titulaire, est-il plus haut placé qu'elle? Avait-il le droit d'écrire un rapport sur des choses pour lesquelles il n'était même pas présent (il avait seulement entendu quelque chose "de loin").
- 420 Euros en moins sur mon salaire,
- un blâme,
- des menaces de sanctions plus graves....
Et tout cela pour avoir fait pendant un an à la place de 18 heures d'enseignement de l'allemand (je suis certifiée par CAPES externe d'allemanddepuis 1976, bi-admissible à l'agrégation d'allemand), en complément de ma collègue TZR de français volontaire nommée par le recteur, alors que je n'étais pas volontaire, un service de 18 heures comme elle, en documentation, avec plusieurs heures de clubs d'allemand et un club de lecture à la demande des élèves en plus des 18 heures. Clubs non payés, mais j'aurais eu mauvaise grâce à demander quelque chose pour les clubs dans la mesure où je n'avais pas de copies à corriger (ce que me reprochaient à moi les collègues du collège, qui ne reprochaient rien à la collègue de français qui faisait moins d'heures que moi, puisqu'elle ne faisait pas de clubs. Mais elle était jeune et belle et mince, tout le contraire de moi, elle était comme moi quand j'étais jeune... et elle ressemblait même à moi quand j'étais jeune,...
donc, puisqu'elle était jeune, et mince, et belle, elle avait le droit de ne pas corriger de copies, alors que moi, vieille, et laide et grosse, j'aurais du en corriger, au lieu de me taper toutes la littérature de jeunesse en français, ce qui me retardait dans mes lectures pour l'agrégation d'allemand, pour pouvoir conseiller les élèves sur les livres à emprunter.
Bon, j'arrête de pleurer devant vous, vous avez compris que j'étais victime d'une injustice flagrante, vous avez mis 40 000 signatures au bas d'une pétition pour un collègue de technologie qui a :
- fait tomber les affaires d'un élève par terre (une chose que je n'aurais jamais osé faire! Pauvre ptiaut!). Vous auriez aimé ça vous, quand vous étiez petits?
- plaqué le ptiaut de 11 ans, tout petit, contre un mur,
- donné une gifle.
Lui, il a fait tout cela et vous l'avez soutenu par 40 000 signatures.
Moi, j'ai seulement dit ses quatre vérités à la principale, une adulte blindée à tout, et qui me rit toujours au nez, m'a fait signer le blâme avec un sourire sarcastique,
et pour avoir demandé à la principale, ce qu'elle faisait avant d'être devenue chef d'établissement,
pour lui avoir dit que je n'étais pas documentaliste et que je n'étais pas volontaire pour le faire, et que cela faisait déjà huit mois que je travaillais dans ce Centre de Documentation et d'Information de Collège, pour lui avoir dit que j'étais prof d'allemand (Oui, mais votre rapport d'inspection de 2002, déjà en janvier, lors de la remise de la note administrative, elle ne pouvait pas me mettre plus à cause du rapport d'inspection de 2002, malgré mon service en documentation depuis le début de l'année, et le fait que j'ouvrais le CDI le vendredi, chose qui la dépannait grandement; et qu'est ce qu'un rapport d'inspection qui demandait une mise à jour de mes connaissances didactiques de l'allemand, chose qui était déjà faite par plusieurs stages de préparation à l'agrégation interne d'allemand et par plusieurs stages de PAF en tous genres, avait à voir avec un service de doc? J'aurais du en relever la contradiction, mais j'étais tellement abasourdie par son attitude que je n'ai même pas eu la présence d'esprit de relever la contradiction de ce qu'elle disait.
Alors, maintenant, vous qui avez mis 40 000 signatures pour soutenir un giffleur, venez mettre ici 40 000 injures contre moi, pour soutenir ma principale contre moi, pour soutenir la médecine du rectorat, contre laquelle je fais le bras de fer pour ne pas avoir de congé maladie, pour soutenir les médecins du rectorat qui sont en train de me tuer avec leurs sanctions administratives (bien sûr, ils vont dire, puisqu'elle dit qu'on la tue avec nos sanctions administratives, c'est qu'elle est malade, nous avons raison, sinon nos sanctions administratives, si elle n'étaient pas malade, glisseraient comme de l'eau sur elle sans devoir l'inquiéter).
Allez, depuis un an que je parle de cette histoire de rouleau de paperboard, c'est tout de suite, il y a un an que vous auriez du me défendre, allez-y, continuez à venir m'insulter, à venir me traiter de paranoïaque comme le collègue que j'ai rencontré dans la rue, lui-même bourré de pilules par la médecine dui rectorat, qui ne m'aurait jamais traité de paranoïaque avant de les avoir rencontrés, et avant d'avoir perdu sa maîtrise de lui même à cause de toutes les petites pilules qu'ils lui font avaler, les dés-inhibiteurs, lui, complètement amaigri, devenu l'ombre de lui-même à cause des médecins soljenytsiniens qui tuent, qui tuent les artistes, les écrivains, les belles rimes de i-grimoiriens (car quand on prend de telles pilules on est capable d'aucune création artistique, d'aucune rime venant naturellement à l'esprit, on mélange tout dans les dissertations, etc... d'aucune improvisation musicale, que d'oeuvres perdues !)
Allez venez comme E. écrire ici : "Ah! Tu t'es lâchée aujourd'hui!". Venez tous me traiter de paranos. Je souhaite que vous veniez mettre 40 000 signatures sous cet article pour, contrairement à ce que vous avez fait pour le giffleur, aidé par un pouvoir fort, dénigrer, attaquer, conspuer domino, la journaliste alternative, allez tous demander, trois ans avant que je puisse toucher ma retraite de fonctionnaire (j'ai vingt six ans de cotisations de retraite fonctionnaire, ma destitution, allez dire comme la médecine du rectorat il y a cinq ans, que je n'ai jamais été jury de BTS, que j'aurais révé, que l'agrégation d'allemand malgré ma bi-admissiblité à l'interne que j'ai eu depuis, serait inaccessible pour moi (et c'est aussi pour faire mentir la médecine du rectorat que je veux la réussir), allez y, venez me détruire, moi, qui n'ai jamais frappé un élève, venez me détruire, venez, venez, venez nombreux, venez aussi nombreux que vous avez défendu le giffleur, venez me détruire, moi qui n'ai jamais frappé un élève, moi qui ne voulais que les aider, venez me détruite, venez m'empêcher de toucher ma retraite de toucher ma retraite de fonctionnaire (je ne sais même pas si j'aurais une retraite sécurité sociale à la place, s'ils me destituent!)
Allez, les mêmes quarante mille qui avez signé pour le giffleur, sbire d'un pouvoir fort qui veut se faire respecter par la claque, venez destituer en coeur à au moins 40 000 domino, la journaliste alternative, celle qui n'était pas aimée des collègues parce qu'elle en faisait "de trop" et qu'on a mis en termes de harcèlement moral au placard, au chômage technique, en ne lui donnant jamais un remplacement d'allemand, au rancard...
Allez venez nombreux ici me traiter de paranoïaque, allez, venez, oyez, oyez, bonne gens, je voudrais que vous soyez 40 000 à écrire au ministre que ceux qui en "faisait de trop" comme moi, ne sont pas dignes de vivre sur cette planète, allez, allez y, allez mettre 40 000 signatures sur la pétition suivante :
"Domino, la journaliste alternative, doit être destituée de ses fonctions de professeur d'allemand, parce que durant toutes sa carrière, sauf quand un proviseur ou une principale ont eu le courage de la mettre à la porte, parce que durant toute sa carrière, elle a travaillé plus que les autres, corrigé des copies et des cassettes, la nuit, durant les petites vacances, préparé des cours pendant les grandes vacances, parce qu'elle a organisé des voyages en Allemagne, été chef de projets pédagogiques, parce qu'elle a fait trop de sujets pour les oraux de BTS, parce qu'elle voulait réussir l'agrégation, et vouloir réussir l'agrégation ,c 'était montrer trop d'ambition".
Allez-y, venez mettre 40 000 signatures sous cette pétition et 40 000 injures à mon égard et quand j'aurais été destituée, vous lirez en mémoire de moi des livres, par exemple ceux d'Hirigoyen, sur le harcèlement moral au travail et peut-être sur le harcèlement moral dans la blogosphère (livre qu'elle doit encore écrire...) Allez venez, cette lettre remplacera les billets écrits en grandes lettres en 2002-2003 que je mettais dans la poubelle avec ces mots : "S'il vous plaît, rendez moi mon poste de travail! Demandez aux médecins de me réintégrer rapidement (ce qui fut fait en octobre 2003)", en espérant que mon courrier en grande lettre soit vu par un trieur d'ordures, car je ne savais pas que les blogs commençaient à exister.
Blog dé-fouloir, tu as eu mon fiel!!!!!
Chers lecteurs, vous avez eu mon fiel, allez venez à 40 000 signer la pétition suivante, pas que je voudrais être destituée, non, mais surtout pour l'attention que je veux porter sur la flagrante injustice dont je suis victime depuis 6 ans maintenant, depuis le 22 mars 2002, date à laquelle j'avais accueillie l'inspecteur en souriant, sûre qu'il me féliciterait et me remercierait d'avoir fait tout ce travail pour mes élèves et aussi pour lui (les commissions de BTS) et c'est le contraire qui se produisit, cela fait deux ans que j'en parle régulièrement sur ce blog, et alos qu'on va mettre des douceurs sur tous les autres blogs, ici, mes commentateurs s'en f..... .
Que ce jour là, je suis tombée du haut du ciel jusqu'au tréfonds de la terre, qu'en ce fatidique 22 mars 2002, je n'avais qu'une envie sur la route, celle d'envoyer ma voiture maintenant vieille de 18 ans dans un arbre avec moi, ou dans la rivière (on trouve souvent des voitures avec des squelettes dedans dans la rivière....) que j'ai eu envie de me tuer à cause de l'inspecteur le 22 mars 2002, tout le monde s'en fout, et croyez- vous qu'il se serait excusé. Et quand j'ai reçu trois mois plus tard un rapport d'inspection qui disait tout le contraire de ce que j'avais fait, croyez vous qu'il se serait excusé? J'en pleure encore 6 ans plus tard.
Si au moins il avait envoyé ses excuses, et qu'elles figuraient dans mon dossier juste au dessus du rapport d'inspection, un dossier que je n'ose même pas aller voir, car je ne veux pas lire tous les mensonges qui ont été écrits sur moi....
Allez- y, continuer à me traiter de paranoïaque, je n'étais pas paranoïaque quand j'ai accueilli l'inspecteur en souriant le 22 mars 2002.
Allez-y, traites moi de paranoïaque comme le collègue qui se dit malade que j'ai rencontré dans la rue, m'a traité parce que j'ai reçu, mon mari étant témoin, toutes les lettres recommandées pour aller voir la médecine du rectorat un premier jour de vacances, il ne voulait même pas le croire....... il a dit que je mentais, que ce n'étais pas possible, que mon mari ne pouvait pas être témoin de cela, du fait que j'ai toujours reçu ces lettres un premier jour de vacances. Pour m'empêcher de passer de bonnes vacances.
La prochaine en date, annonçant ma destitution ???? je connais la date sans l'avoir vue, avant même qu'elle ne soit écrite, le premier jour des grandes vacances.
Ils veulent aussi que je sois en congé le 1er septembre 2009 pour m'enlever l'agrégation si je la réussis en 2009, le 1er septembre 2010 pour m'enlever l'agrégation si je la réussis en 2010, le 1er septembre 2012 pour m'enlever l'agrégation si je la réussis en 2012, etc.... et ceci jusqu'à 64 ans, puisqu'il faut avoir fait l'année de stage pour être payé comme agrégée pendant la retraite. Et les 3 heures en moins, tout en ayant le niveau d'une agrégée, je ne les aurai jamais eu...
Allez, venez me conspuer, me traiter de paranoïaque.
Paranoïa : épisode psychotique du complexe de persécution , pendant lequel on peut se livrer à des actions agressives complètement gratuites et sans provocation, telles que poursuivre sa femme avec un couteau, allez saccager le jardin du voisin, etc...;
Allez venez me traiter de paranoïaque, mon frère disait toujours quelque chose de très bien quand nous étions petits :
"Celui qui l'dit, il l'est lui -même!"
Une comptine que nous chantions en coeur à chaque fois que nous étions injuriés. D'ailleurs ceux qui ont envoyé des lettres au rectorat disant que j'étais paranoïaque.... (tirez la conclusion...)
Bonsoir, ou plutôt bon matin, puisqu'il est 4 heures 43 du matin et que les oiseaux chantent déjà, et que ça va mieux en le disant...
Allez, venez jeter votre fiel sur moi, allez, venez à 40 000 signer la pétition contre moi!
Chacun ne veut entendre que ce qu'il veut.
Mais quand ils serotn dans mon cas, ils feront une autre tête.
domino
02:44 Publié dans "J'accuse", Zola | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : agrégation, allemand