dimanche, 16 février 2014
Où sont-ils?
Du journal de Doofie (Roman-théâtre)
En tant que bnnne prof d'allemand, j'ai demandé à Schnelly de m'amener un hebdomadaire allemand assez volumineux toutes les semaines que je feuillette et lis parfois superficiellement et que je stocke en attendant de les lire complètement.
Et volà que dans mon stocage, il n'y avait que les quatre journeaux les plus récents et tous les autres, tous, absolument tous ont disparu. Alors je me suis empressée de cacher ceux qui me restaient, pour qu'il ne me les voe pas ou ne me les jette pas aussi.
Si je reste avec lui, c'est uniquement pour ne pas être toute seule, parce que j'ai de temps en temps besoin de queqlu'un qui est plus fort que moi pour porter ce qui est trop lourd pour moi (nous n'avons pas de fils qui peut m'aider) , ou parce qu'il faut des bras plus longs que les miens pour attraper quelque chose et aussi pour la famille, parce que dans ma famille, ce n'est pas correct d'être séparés. Et en plus je gagne actuellement lus d'agent que lui et c'est donc aussi mon argent et il n'a pas le droit de disposer de mon argent comme cela (nous avon maljheureusement unn compte commun sur lequel arrivent mon salaire et sa retraite dont j'ignore d'ailleurs le montant exact et bien que je ne dépense pas grand chose,je ne vois jamais les relevés de comptes).
Il va falloir que je fabrique des armoires qui ferment à clef et dont je cacherais les clefs pour qu'il ne me cache ou ne me jette plus mes revues.
Cela fait plusieurs fois aussi que lorsque l'on sort de la maison ensemble, je n'ai pas le temps de vérifer s'il ferme bien la porte de la maison à clef.
Il y a autre chose, il fait tomber dans la maison un tas de petits papiers par terre, essentiellement des tickets de caisse (qui doivent tomber de ses poches) et il ne les ramasse jamais. Je suis obligée de lui dire de ramasser ses papiers, comme s'il était un mauvais élève, et il raconte alors qu'il ne sait plus bien se baisser, alors qu'un jour au milieu de la nuit, je l'ai trouvé assis sur l'escalier en train de bouquiner un des lives de ma boîte à trésors. Je lui ai demandé ce qu'il faisait avec ce livre que j'ai acheté pour moi dans les mains et il a dit "je trouve que c'est bien de lire de la littérature pour moi", alors que je me suis dit qu'il cherchait à subtiliser le livre (peut-être pour l'envoyer à l'une de ses "correpondantes" allemandes.
Quelqu'un lui a raconté que le vol entre époux n'existait pas, mais là, je mets monvéto, quand j'ai des effets personnels qui disparaissent (à une époque c'étaient essetiellement mes chaussettes, maintenant il m'achète des chaussettes lui-même, mais la plupart du temps, elle ne me vont pas bien et je ne les retrouve plus après la lessive, alors qu'elles iraient mieux après la lessive, car alors les parties élastiques serrent moins fort). Quand ce sont les v^tements qui disparaissent, ce n'est pas normal, car ce sont a priori les effets perssonels qui sont la propriété de la personne elle-même.
Par exemple il ne fait pas de musique du tout et j'ai construit une partie de mes guitares moi-même dans un stage, je revendique la propriété de mes nstruments de musique qui ne lui appartiennent pas.Je revendique la propriété de toutes mes partitions, car il ne fait pas de musique, de tous les CDs et livres que j'ai choisis par moi-même car il ne les aurait jamais acheté de lui-même.
Il a été gentil pendant que j'étais malade et que j'avais une extincton de voix, mais depuis que je travaille de nouveau, il a grossi et se plaint de sa sciatique car à chaque fois qu'ildépasse un certain poids, il se plaint de sa sciatique et boîte ce qui fait que toutes ces dames mes élèves du samedi s'extasient sur lui, en disant : "Le pauvre, il boîte!" alors que personne ne se soucie de ma santé.
Il a grossi et il devient plus méchant. Il est bien que retraité,, toujours pressé, me bouscule, se fâche tout rouge i je cherche quelque chose en disant que "ce n'est pas lui". Un vrai gamin de 13 ans. Et encoer, ils ne sont pas tous comme lui, heureusement. A soxicante six ans, il a treize and d''âge mentale.
Quand on renconre des parents de ses anciens élèves, et qu'ils lui disent : "Vous êtes toujours à....."
"Moi, non, ils n'ont plus voulu de moi, ils m'ont renvoyé!"
"Renvoyé?" s'offusque la dame, un si bon professeur que vous,mais pourquoi?"
"Pour limite d'âge!"
"Ah! dit la dame étonnée, pour limte d'âge?"
- Je coupe : Oui, il est retraité, et puis, il dit qu'il a été renvoyé,mais ce n'est pas vrai!
Non,mais vous imaginez la réputation qu'il nous fait en disant qu'il aurait éét renvoyé!!! Et cela jaillit sur ma réputation à moi!
Doofe
_______________________
Dominique
06:46 Publié dans Famille i-grimoirienne, quotidien i-grimoirien | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : famille, mari, vie conjgale, schnelly, doofie
mardi, 26 mai 2009
La kleptomanie, ça se soigne!
Dummie a passé la journée à la maison à réviser pour un/des examens, elle est heureuse elle avance dans son travail. Dummie a un autre métier qu'étudiante, mais elle a droit à ses journées de révision. Alors, elle bosse et elle avance.
Soudain le téléphone sonne. Son mari fait souvent sonner le téléphone avant de rentrer. Joyeuse et satisfaite de son travail, elle bouge du siège où elle est assise dans l'entrée, car l'entrée est l'endroit où elle travaille près de la prise de téléphone puisque ses cours sont sur Internet, elle a posé quelque livres à côté d'elle devant la porte, elle les soulève, les pose sur sa chaise. Ah! En voici un qui me tente depuis tout à l'heure, et bien que je n'aurai le temps que de m'y replonger que la semaine prochaine, je vais y jeter un coup d'oeuil avant de reprendre mon travail, pense Dummie. C'est un livre sur les rangements avec une couverture aux teintes pastels et des meubles tous carrés et bien alignés sur la couverture, ce qui change beaucoup de l'ambiance chaotique qui règne dans la maison en ces périodes d'examen.
Elle s'était servie de ce livre pour commencer selon les conseils mis à la fin un classeur familial. Le classeur familial a disparu de l'endroit où elle l'avait mis et n'est plus jamais revenu. Dummie n'a pas d'enfants, on ne peut rien leur reprocher.
Dummie ouvre la porte à son mari qui ne parle que d'une chose, de la tempête qui a rugit hier soir pendant qu'il dormait et dont il n'a perçu que quelques bribes, quand Dummie qui travaillait à son ordinateur quand l'orage a commencé a grondé au loin, a remarqué qu'Internet fonctionnait de plus en plus lentement, et a fermé l'ordinteur et a débranché Internet de la prise de courant en se disant que c'était la tempête qui arrivait qui faisait cela.
Puis des trombes d'eau étaient arrivés. On n'a plus entendu de tonnerre, puis on l'a réentendu de nouveau vers le Nord (avant c'était vers le Sud). Pendant le temps où il n'y avait plus de tonnerre, il tombait des trombes d'eau, on se serait cru dans une piscine et Dummie avait bien tenté de réveiller le dormeur, mais pas moyen. On entendait le vent qui musgissait et tournoyait de chaque côté du bourg et plus loin au delà de la rivière, laissant miraculeuseusement l'îlot du méandre épargné.
Maintenant son mari qui fait des gorges chaudes du malheur des autres, raconte cette tempête de sa voix forte : une collègue de la tempête du Sud a perdu la motié de son toit et le reste est branlant. Fier comme Artaban il raconte que ce matin le train a été remplacé par des bus à cause des arbres tombés sur la voix, et toujours fier comme Artaban, il raconte que au Nord, cette fois-ci, il n'y a eu que des arbres qui sont tombés.
Pendant ce temps Dummie n'a pas fait plus de 5 pas vers la salle de séjour, s'est assise à la table, et dit : "Mais tu n'as rien entendu de cette tempête, tu dormais. et moi la première chose que je me suis demandée en me réveillant ce matin, c'était de savoir si je n'avais pas reçu le toit sur la tête!
Son mari lui a tendu un livre qu'il vient d'acheter, il fait partie d'une encyclopédie toute blanche, on en achète un volume chaque semaine dans une maison de la presse. Il énonce savamment les deux mots qui forme le début et la fin du volume les reliant en une phrase dans un calembour. Dummie range le livre puis repense à son travail et au livre qu'elle a laissé dans l'entrée sur sa chaise. Elle retourne à son travail dans l'entrée décidée à feuilleter ce livre et voilà, tout s'écroule, le livre n'est plus là!
Alors Dummie dit seulement que le livre qu'elle avait posé là a disparu et l'autre se met à crier, sans avoir été accusé "Ce n'est pas moi!". Dummie inspecte tous les endroits où elle aurait pu le poser, retourne livre par livre, la pile de livre qui est sur la chaise : le livre aux belles teintes pastels et aux casiers et étagères savamment aligné, n'est plus là! Elle revient sur ses pas, inspecte tous les endroits où elle aurait pu le poser : le livre n'est plus là!
Alors elle se met à pleurer, pendant que l'autre hurle de plus en plus en colère "Ce n'est pas moi!" Elle regarde devant la porte d'entrée, fouille dans les buissons, finit par fouiller dans son cartable : le livre n'est pas là, le livre est NUL PART. Elle n'a pas ouvert une seule armoire, par ouvert un seul tiroir dans les trois minutes de son déplacement vers la table de la salle de séjour! Personne n'a dit que ce serait lui, mais il se sent visé.
Alors, Dummie, qui aime sa maison,rêve d'un appartement bien à elle, où elle pourrait ranger toutes ses affaires bien répertoriées, sans que l''autre ne crie que ce n'est pas lui qui l'a changé de place.
L'autre jour, Dummie, qui attendait dans sa voiture devant le garage, pendant que son mari allait ouvrir la porte du garage en passant par l'intérieur de la maison, un enfant le regarder tandis qu'il montait l'escalier du perron et essayer de voir ce qu'il y avat dans la maison. Alors comme Dummie n'a pas surveillé l'entrée de son mari dans la maison, n'a pas regardé si personne ne le suivait, étant loin de penser que quelque chose allait disparaître, puisqu'elle était partie dans la salle de séjour commencer son goûter, Dummie se dit que c'est peut-être l'enfant qu'elle a vu l'autre jour regarder son mari entrer dans la maison, tout en ayant l'air effrayé quand elle a vu que quelqu'un assis dans une voiture l'observait, ou bien le mari de Dummie fait de la magie, il est capable de faire disparaître les livres d'un coup de baguette magique!
Le pire, c'est que lorsque quelque chose disparaît dans la maison, c'est souvent une chose dont Dummie a un besoin urgent, ou une chose qu'elle aime bien et a justement envie de regarder. Et qu'elle a vu juste avant à un endroit précis. C'est bizarre, mais c'est comme cela.
Alors Dummie pense à tous ces couples dont elle a lu les histoires et dont le mari cache les affaires de la femme pour faire croire qu'elle est folle, ou qu'elle a perdu la mémoire (difficile quand la femme aligne les succès universitaires, c'est peut-être pour proucer qu'elle n'a pas perdu la mémoire qu'elle étudie encore. Dummie pense qu'on esssaie de faire avec elle comme avec sa mère.
Dummie qui juste avant était en train de réviser, et voyait son travail avancer, a maintenant les idées noire. Va-t-elle devoir quitter sa maison, a-t-il une copine et cherche-t-il à ne pas avoir les torts en la faisant crier? Son frère à lui a fait cela aussi. Il avait une copine et reprochait à sa femme de trop crier -mais on n'a jamais su pourquoi elle criait - alors il est parti en disant qu'elle criait de trop.
Ou bien cette petite fille cherche-t-elle de beaux cadeaux à faire à sa maman, sans savoir qu'elle sème la zizanie dans le couple de Dummie? Ou dit-elle à sa maman qu'elle veut remarier avec le monsieur que ce sont des cadeaaux du monsieur pour elle? Dummie imagine toutes les possibilités.
Alors elle écrit une nouvelle, un mini-roman sur son blog pour se calmer avant de reprendre le travail.
Dummie se souvient de ses fianciailles quand son fiancé amenait souvent de beaux cadeaux, des livres, des chocolats... Il prend maintenant les affaires de Dummie pour les donner à sa nouvelle fiancée.
domino
20:11 Publié dans Famille i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mari, vieux mari, kleptomanie