lundi, 21 avril 2008
Blâmée pour avoir refusé de prendre des congés maladie
Bon, j'ai réussi à faire d'une pierre deux coups, faire avancer le rendez-vous de demain à aujourd'hui (avec la principale) et faire ma révision de voiture (quelques grosses pièces à changer : 398 Euros de frais, ce sont des pièces qu'il faut changer tous les quatre ans, sinon elles risquent de durcir).
Mon passage dans mon collège de rattachement ? Je suis TZR (Titulaire sur Zone de Remplacement), je suis d'abord passée chez la secrétaitre pour signer ma mutation intraacadémique et ma demande pour la phase de réajustement des TZR au cas où je n'obtiendrais pas ma mutation; je n'ai demandé que des lycées en poste fixe. Je n'ai plus redemandé mon collège, même s'il y a un poste vacant (la PEGC qui était en CLM (Congé longue maladie) est certainement passée en CLD (congé de longue durée), elle a peut-être été mise dans ce type de congé pour éviter un blâme du à une dissension avec la principale, qui sait?. A moins qu'on ait créé un deuxième poste d'allemand, mais cela m'étonnerait.
Moi, comme ceux qui ne sont pas dans l'enseignement ne savent pas, je suis seulement rattachée au collège. Parce que dans ce collège il y a en allemand pour un seul poste :
1) Une PEGC en congé (CLM ou CLD),
2) Un TZR rattaché ailleurs qui la remplace,
3) Moi, TZR rattachée seulement sans remplacement
que l'on avait mise l'an dernier en complément d'une autre TZR (de français) qui avait été nommée en documentation par le recteur, aussi en documentation mais de façon informelle sans me demander mon avis (ma collègue était volontaire, venant d'une autre académie, elle s'était portée volontaire pour la documentation pour être sûre d'avoir un poste dans son acdémie de naissance. Elle amaintenant un poste de français).
J'ai presque 57 ans, je suis devenue TZR après de nombreux postes établissement, après être restée 10 ans dans le même lycée avec des jurys de bac, de BTS, des missions de confiance comme faire partie d'une commission de choix de sujets qui comprenait quatre membres pour trois académies.....
Depuis que je suis devenue TZR,
Je n'ai que des galères.
Dans mon ancien lycée de rattachement, lorsque je demandais que dois-je faire entre mes remplacements. On me répondait : "Rien!"
Quand je demandais : Dois-je aider au CDI. On me répondait : Le proviseur n'y tient pas.
Quand je demandais aux collègues du CDI si je devais les aider, on me répondait : Noux restons entre documentalistess, on ne veut pas de TZR d'allemand (ou d'autre chose).
Quand je demandais : Dois-je faire de l'aide individualisée? On me répondait : Le proviseur n'y tient pas. On m'autorisait quand même à venir une fois par semaine au club de guitare et à jouer de la guitare au concert du club à la fin de l'année. On m'aurorisait aussi à aider un peu mes collègues d'allemand pour leur chercher de la documentation en allemand, les mettre au courant des stages de PAF auxquels j'allais, etc... Et j'avais fini par rester 18 heures par semaine quand même, le lundi et le Vendredi (2 fois 8 heures) et 2 heures le samedi matin.
Par exemple je cherchais sur Internet des documents sur la RDA quand un assistant de Berlin a parlé de la RDA aux élèves. C'était d'ailleurs très interessant de travailler avec cet assistant. Ce sont des joies que je n'ai pas en collège. et au moins je pouvais parler allemand.
Au bout de deux chutes monumentales, après que la barrière du parking a failli me tomber sur la tête après le concertt, j'ai été sauvée par la mère d'un collègue guitariste, venue spécialement de Lorrainne, qui m'a tirée sur le coté, et après que cete même barrière avait failli se refermer sur ma voiture, on m'avait dit que comme je n'avais pas de VS, il valait peut être mieux que je reste à la maison à attendre un remplacement, car on ne savait pas si sans VS j'étais assurée contre les accidents du travail. Et on ne voulait pas m'en faire un.
Comme je ne pouvais plus travailler sur ce rattachement, sans qu'on y trouve un tas d'objections, j'avais demandé un changement de rattachement et c'est comme cela que j'ai atterri à faire de la documentation dans le collège. Où on m'avait promis en début d'année monts et merveilles EILE (enseignement en primaire), heures de soutien en allemand, etc... mais avant que j'ai eu le temps d"arriver à l'inspection primaire, mon collègue rattaché ailleurs s'était fait octroyé toutes les heures en plus de son horaire complet et il daignait me donner ses élèves de collège seulement pour le club, et il avait même fondé un autre club parallèle dirigé par une élève (qui ne fait plus d'allemand cette année, car elle est dans un BEP où l'on en fait pas).
Donc, j'en ai été réduite à rester au CDI 18 heures par semaine, en aidant les élèves (c'était un peu domme de l'aide individualisée, mais dans toutes les matières, même celles dans lesquelles on était pas bon quand on était élève).
Finalement si j'étais restée dans l'autre lycée on ne m'aurait rien demandé. Et je n'aurais pas eu ce blâme que j'ai aujourd'hui.
Vers mai, il y a eu l'histoire du paperboard (voir ci dessous et mes notes de mai-juin 2007). A un moment j'ai fait une crise de nerf que l'on a interprétée comme étant des "accusations contre un ouvrier", un "manque de respect vis à vis de ma principale" pourtant je n'avais fait aucun écart de langage vis à vis d'elle et les soi-disant pancartes n'étaient pas de écriture.
Comme je suis allée pendant mon absence de même pas cinq jours ouvrables chez le psy que je suis "obligéé" de voir depuis mon passage à la médecine du rectorat de septembre 2002 ...
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Parenthèse sur 2002 :
(pourtant légalement je ne suis pas obligée, car je n'avais commis aucun délit, sauf celui d'être sortie du lycée où j'ai travaillé dix ans une heure AVANT le début de mon service en prévenant la concierge que je ne me sentais pas bien (j'avais été choquée par ce que m'avait dit un collègue et j'avais failli en tomber dans les pommes). donc c'était comme si je téléphonais de la maison, puisqu' on était encore loin de l'heure du début de mon service de la journée (à l'époque, je n'étais pas TZR, mais titulaire du poste). J'avais reçu deux jours plus tard une lettre écrite par le proviseur le jour même de mon début d'absence, constatant qu'il ne m'avait pas vue dans ma classe à 11 heures et demandant de justifier de mon absence ; quand j'ai voulu retourner au lycée une semaine plus tard, on ne retrouvait plus mes certificats médicaux et il fallait que j'aille au CDI pendant que ma remplaçante faisait cours. Je n'ai pas voulu (je l'avais appris la veille par mon mari qui était passé chercher dans mon casier les documents dont j'avais besoin pour faire cours dans la semaine suivante. Je n'ai pas voulu reprendre 'au CDI". Et je suis retournée chez le médecin qui m'a donné une prolongation et le jour même j'étais assaillie de coups de téléphone de la médecine du rectorat disant que je devais venir sinon j'aurais des sanctions administratives.
Quand je suis arrivée là-bas, on m'a infantilisée au maximum, dit que j'avais claqué la porte du lycée, etc.... que je devais me couper et me teindre les cheveux, bref toute l'histoire que je vous ai déjà racontée, comme j'ai de beaux cheveux longs, ça aurait été dommage! Elle m'a dicté une demande de CLM en me disant que si je n'en faisais pas j'aurais des sanctions administratives (à l'époque je me laissais encore impressionner), elle m'a dit en riant : "A que c'est drôle, pour une fois c'est un médecin qui fait la dictée à une prof! D'habitude ce sont les profs qui font la dictée aux élèves! Je prends ma revanche." Quand on voit cette mentalité....
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C'est pour toutes ces raisons que cette fois-ci je n'ai pas voulu aller à la médecine du rectorat.
Pourquoi ai-je été convoquée là-bas depuis les grandes vacances dernières?
Sans doute pour ceci :
Parce que après cinq jours ouvrables où j'ai été absente pour l'histoire du paperboard (je n'osais pas revenir au collège tant ma principale criait sur moi à chaque fois que j'arrivais), je suis allée chez le psy que j'allais voir depuis 2003 à cause de la médecine du rectorat. Je n'aurai jamais eu l'idée d'aller sans y être "contrainte" chez un psy. Mais il n'y avait pas de contrainte légale puisque je n'avais rien fait de délictuel. Le psy a fait une lettre pour ma généraliste lui demandant de faire un "certificat de reprise", celle-ci le fit mais elle a peut-être recopoé deiux ou trois mots en trop "peut reprendre le travail à condition de ne subir aucune provocation". C'est ce certificat que la médecine du rectoat a du recevoir pour me convoquer, il s'agissait de ne pas subir de provocations de la part de l'administration. Et la médecine du rectorat a compris "de la part des élèves" ce qui était faux, puisqu'ils ne m'ont jamais provoquée et aucun élève n'a su que j'avais fait une crise de nerf le lundi soir, mais c'est le vendredi que la principale a crié sur moi alors que j'étais revenue. Dans le certificat médical le "à condition de ne subir aucune provocation" était à mon avis en trop.
Car sans doute à cause de ce certificat qui laissait entendre que j'étais fragile la médecine du rectorat a voulu , alors que j'avais repris le travail depuis un mois (tout juin jusqu'au brevet des collèges) sur ce service de rattachement sans VS...
(donc puisque sans VS, je n'étais, d'après l'ancien lycée de rattachement, pas assurée pour les accidents du travail et pourtant dans le collège de l'année dernière, je suis tombée deux fois de la chaise à roulettes du bureau du CDI, parce que la chaise s'est dérobée vers l'arrière quand je me suis assise et la deuxième fois, je me suis fait bien mal, je me suis pris des bleus dans l'épaule à cause des casiers de la salle des profs qui restaient ouverts et le peu de place qu'il y avait pour passer, je me suis griffée au moins trois fois la main ou le bras gauche en sortant des toilettes, mais je ne sais pas sur quel objet, etc...)
... service de rattachement sans VS, me voir pour me protéger des provvocations de ma principale, entre autres. Et au contraire, comme pour les raisons que vous savez (2002) je n'y suis pas allée, j'ai commencé à recevoir des menaces de retrait sur salaire, de sanctions, etc...
Et maintenant c'est fait, pour ne pas avoir voulu aller là-bas chercher un congé maladie (Attention, sur mon dossier électronique il n'y a aucun congé maladie depuis 2004, donc on ne peut pas dire que je suis une fan de ces congés et je me faisais un point d'honneur à ne plus en avoir), pour ne pas avoir été là-bas chercher un congé maladie, j'ai eu non seulement 400 Euros de moins (c'est l'équivalent de l'héritage que mon mari avait eu après la mort de sa mère, autant dire qu'on lui a sucré son héritage en me prenant ces 400 Euros, et ça ne leur a pas suffit, comme je ne désirais pas aller à la médecine du rectorat chercher un congé de protection (mais de quoi m'aurait-il protégée?), on m'a blâmée.
domino
23:03 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, blâme, désespoir, médecine, administration, bassesses administratives, harcèlement moral
dimanche, 16 septembre 2007
Me réorienter... 3 ans et demi avant de pouvoir toucher ma retraite et puis quoi encore?????
Bon, je vais être encore une fois convoquée à la médecine du rectorat.... Et pour la quatrième fois en 3 mois... Je ne vais pas y aller.
C'est toujours pour l'histoire du paperboard (voir mes archives de Mai) et pour l'histoire de l'ouvrier qui s'est senti vexé par une "affiche", vulgaire feuille 21 x 29, 7, (les autres doivent avoir une vue qui agrandit les papiers!) sur laquelle était écrit d'une autre écriture que la mienne, ça je suis formelle, mon écriture est pointue quand je vais vite et ronde quand je m'applique, mais elle n'a jamais été carrée ou seulement dans ma jeunesse...quelque chose comme "pour les agents de service : prière de ne pas bouger le matériel d'exposition". Ah! Le pauvre, pour ce papier déposé là à titre préventif -il me semble que c'est la surveillante qui voulait m'aider à partir plus vite qui l'a écrit, mais je n'y ai pas trop fait attention, je sais encore qu'elle avait collé une de ces prétendues affiches avec force scotch sur une table, pour ce pauvre papier déposé là à titre préventif, il a failli aller au tribunal déposer plainte contre moi!
Et a fait un rapport ou tout comme la principale, il me traite nommément d'hystérique et de paranoïaque... une chose pour laquelle je pourrais aller aussi au tribunal déposer plainte contre lui et la prinicipale.
Hors, c'est moi que l'on sanctionne :
1) Pour deux convocations à la médecine du rectorat pendant les vacances les 6 juillet et 28 août (vacances scolaires de mon académie et de mon collège de rattachement, 4 juillet à midi au 3 septembre à 8h):
2 fois un trentième de salaire en moins.
2) Pour une convocation à la médecine du rectorat le 6 septembre : 1/30 ème de salaire en moins et une autre sanction administrative que j'ignore, je n'ai pas été chercher la lettre recomandée de peur de me mettre à hurler, de peur de tomber dans les pommes.
3) Pour une convocation à la médecine du rectorat prochainement, je n'irai pas, je n'irai pas, je n'irai pas.
J'ai écrit un jour à mon inspecteur (j'ai lu dans le BO qu'il partait en retraite pendant ces vacances), qu'en me faisant convoquer à la médecine du rectorat en septembre 2002, alors que j'avais commnencé l'année sur les chapeaux de roue, que j'avais des classes agréables et tout, qu'il avait brisé ma vie et ma carrière. Et ils continuent. Pour une vulgaire histoire de paperboard, ils ont fait d'une mouche un éléphant, ils ont monté une histoire en épingle pour me nuire.
Je ne suis qu'à trois ans et demi d'une retraite potentielle ,dans 3 ans et quelques 8 mois, je pourrai toucher une retraite partielle de fonctionnaire, j'aurai 60 ans, mais je n'aurai pas toutes mes années de cotisations, et il faudrait que je continue au moins jusqu'à 65 ans, et ils veulent me défonctionnariser, me destituer avant l'âge de la retraite, juste avant, pour faire des économies sur mon dos, économies qu'il donneront à l'état pour en faire une état policier et construire des armes. Ils font déjà des économies sur mon dos à m'enlever des trentièmes de salaire.
Voilà comment j'ai été récompensée pour tous les jumelages, les voyages en Allemagne que j'ai organisés, les jurys de BTS, les nombreux sujets que j'avais fait pour les commissions d'examen pendant 8 ans, les projets pédagogiques (trois années de littérature européenne), etc....
Sans compter tous les stages de formations que j'ai suivi et que je suis encore...
Sans compter l'année de documentation que j'ai faite l'année dernière contre mon gré et ma volonté...
Ils avaient créé i-prof pour qu'on puisse y vanter nos mérites. Et pour que les inspecteurs qui nous inspectent ne se trompent plus. I-prof n'est jamais consulté, sinon, on m'appelerait tout de suite pour des remplacements en lycée et en BTS. Ils ont un an de retard dans le report de l'ancienneté, ils en sont encore à septembre 2006.
On m'a dit comme à d'autres TZR de rester chez moi, en attendant qu'on ait besoin de moi. Collée au téléphone, qui est à coté de l'ordinateur, espérant le remplacement miracle. Mais prête à raccrocher tout de suite si c'est la médecine du rectorat qui appelle.
On m'a bloqué le seul i-mail où j'ai l'adresse de mon médecin, par lequel je communique avec mon médecin, pour que je ne prenne pas contact avec lui avant la fatidique visite à la médecine du rectorat où de toute façon je n'irai pas. pour qu'il ne fasse pas annuler le Rendez-Vous à la médecine du rectorat. Ils prétextent que mon e-mail est bloqué pour une rénovation des e-mails alors que j'avais reçu un e-mail il y a une semaine disant que la rénovation des e-mails était terminée. Ils choisissent toujours leur moment!
A quoi cela sert? Ils veulent me mettre en congé pour ne pas payer les ISO que je reçois en tant que TZR qui reste à la maison et qui fait des études. (l'année dernière je faisais 70 km AR 3 fois par semaine pour faire de la documentation et un club d'allemand).
Tout cela c'est une affaire de fric.
Une affiaire de fric digne d'une torture psychologique.
Est-ce que cette médecin du rectorat se rend compte de ce qu'elle fait, qu'à chaque fois qu'elle m'envoie une convocation, elle me fait souffir? Qu'à chaque fois qu'elle me fait envoyer une sanction, elle me fait souffrir. Un médecin qui envoie des sanctions à une personne qui ne fume pas, ne boit jamais de boissons alcoolisées, n'est pas droguée, vous trouvez cela normal, vous????
Un médecin qui sanctionne, vous savez à quoi cela me fait penser, à une époque reculée de déjà 60 ans, une époque toute noire de l'histoire européenne, aux médecins qui étaient dans les camps, voilà Mme ke Dr B, ce que je pense de vous, vous êtes en un peu moins physiquement cruelle, mais de cette sorte-là, et au minimum de la sorte des médecins du Goulag. Vous pouvez m'attaquer, moi je soritrai les rapports sur lesquels on m'a traitée d'hystérique et de paranoïaque et auxquels vous avez donné foi, et je contre-attaquerai.
Messieurs et Mesdames qui lisez cet i-grimoire, vous ne réagissez pas, est-ce que vous vous souvenez qu'en 1933 peu d'allemands on réagi, et que vous les Français, vous le leur avez reproché. Vous les moutons, vous les suiveurs, les Mitmacher, les Mitfolger, les Mitläufer, les collaborateurs, vous laissez faire. Pour le moment, c'est moi seule qui suis attaquée par la médecine du rectorat, peut-être aussi ma mère à laquelle on aurait donné la maladie d'Alzheimer par des médicaments qui tuent la mémoire, mais si on laisse faire, bientôt ce seront des milliers de médecins qui vous convoqueront vous et vous mettront en congé en dehors du combat social et de l'action dans la cité.
Vous savez ce qu'ils font quand ils vous convoquent là-bas, je l'ai vécu en 2002, ils vous font subir un interrogatoire sur toute votre carrière, depuis le tout début il y a plus de trente ans jusqu'à maintenant, ils vous pèsent, vous mesurent, ne vous auscultent même pas, pondent des examens pour votre médecin traitant qui n'en a rien à faire et dit qu'ils font faire des dépenses inutiles à la Sécurité Sociale, vous infantilise, en disant : il faut changer de look, vous teindre les cheveux en auburn, votre couleur d'origine (je n'ai jamais eu les cheveux auburn de ma vie, pourtant!), vous disent , tiens si vous écoutiez un peu de musique baroque, vous savez, c'est beau la musique baroque, vous irez dans tel magasin, tel endroit, acheter tel disque, vous n'écoutez jamais du Jean-Sébastien Bach? Cest sublime! Et puis, il faudrait bichonner votre mari....
Et vous avez beau essayer de lui dire que vous faites vous même de la musique baroque, que vous avez fait partie pendant trois ans d'un groupe instrumental et vocal baroque amateur, que vous avez construit une guitare baroque, que vous avez appris pendant les vacances le Prélude et Presto de la suite BWV pour luth de Bach, que vous avez appris l'année précédente "Es ist vollbracht!" de JS Bach, qui allait si bien à votre belle voix d'alto, que vous connaissez tout le début du Nisi Dominus de Vivaldi et tout le Salve Regina de Pergolère par coeur.... non, non, non, rien à faire, vous devez écouter ce disque là dirigé par Herreweghe, et que vous avez fait de la musique et justement du baroque, on s'en f... comme de votre première chemise, on vous coupe la parole à chaque fois que vous commencez à dire, "j'ai jou..., j'ai chan....". A la fin, excédée, elle a fini par me dire, bon écoutez une heure de musique par jour, et si vraiment,vous faites de la musique, faites-en une heure tous les deux jours...
Elle m'avait dit :"Ah! Vous avez déjà un CAPES, et bien passez-en un deuxième pour ne plus enseigner l'allemand", elle m'avait dit "L'agrégation d'allemand, c'est inaccessible pour vous..." Et je l'ai fait presque mentir, en devenant depuis deux fois admissible, bi-admissible, je suis fière de l'avoir fait mentir, j'aurai mon agrégation d'allemand un jour, na! Pour la faire mentir complètement.
Résultat des courses, cinq ans plus tard, j'ai sorti deux fois la guitare de son étui en deux mois, j'ai chanté dans mes t...s quatre à cinq fois, depuis longtemps je ne chante plus dans la salle de bain, depuis longtemps à cause de la médecine du rectorat, la musique s'est éteinte en moi...
Voilà comment on brise un être humain, un bon professeur (car mes élèves me le disaient que j'étais bonne!), une personnalité, une vie, une musicienne... digne du goulag ou de Nuit et Brouillard l'action de la médecine du rectorat.
Et moi, je me soigne par phytothérapie, par oligo-éléments, à la rigueur par homéopathie et ils n'ont pas le droit de m'imposer leur traitements. Dans une société démocratique, d'après la Charte des Droits de l'Homme chacun a la libre disposition de son corps et peut le soigner comme il l'entend.
domino
06:30 Publié dans i-grimoire de l'enseignement | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : enseignement, harcèlement moral, médecine du rectorat
jeudi, 05 juillet 2007
Encore DDV? Encore en juillet ?
Il y a cinq ans, on parlait peu en juillet 2002 de Dominique de Villepin (C'est lui DDV? Ou c'est moi?). Sur la page d'entrée de Yahoo, on trouve ces trois initiales.
Vous devez vous douter que ma première initiale, celle de Mme domino est D.
J'ai aussi deux autres initiales quelque par dans mon nom, D et V sont mes autres initiales les plus employées.
22 Mars 2002 : Inspection.
Juin 2002 : je reçois le rapport d'inspection, je proteste contre la façon dégradante et humiliante dont le rapport d'inspection est écrit, en mettant mon nom en entier sur la première page et les initiales DDV sur les pages 2 et 3 de la lettre.
Juillet 2002 : un hebdomadaire local paraît de façon hebdomadaire dans mon secteur, il y en a trois qui couvrent l'arrondissement, le Courrier de ..... , l'Observateur de..., et de nouveau le Courrier de.... . Ces hebdomadaires ont une rubrique judicaire à la troisième page, qui relate les audiences du tribunal de l'arrondissement.
J'avais à l'époque déjà plus de 50 ans, et après avoir entendu qu'un certain parti politique promettait l'inactivité et la retraite aux femmes de plus de cinquante ans, j'ai pu en déduire après avoir été inspectée entre les deux tours des élections que l'inspecteur devait être affilié à ce parti. Déduction de mon esprit logique à plus de 140 de QI (avoir trop d'esprit logique n'est pas bon parait-il).
1ère édition de juillet de la gazette hebdomadaire locale, page 3, rubrique tribunal, DDV, 19 ans (heureusement, même si je parais plus jeune que mon âge, j'espère que les gens auront su faire la différence, mais il paraît que Mr Je-Sais-Tout- ce-qui-se-passe-au-lycée a montré ce journal à qui voulait bien le regarder au lycée dès mon départ en congé en disant : Ce sont les mêmes initiales que celles de Mme domino...
Bon bref, qu'avait fait DDV, 19 ans ?
1) Dans l'édition de la première semaine de juillet on disait qu'on l'avait condamné pour un vol en réunion commis avec des copains TK et DK,
[Initiales qui ressemblaient fort à celles de la marque de cassettes que j'utilisais au laboratoire de langue pour enregistrer les BTS toutes les semaines au labo de langue, cassettes que je corrigeais intégralement ensuite, ce qui réclamait beaucoup de temps et faisait râler mes collègues : "Tu fais tout cela pour rien!" Nous avions conseillé cette marque de cassettes aux jurys de BTS qui enregistraient des textes pour les examens parce qu'elles contenaient des petits autocollants qui permettaient de différencier facilement les faces des cassettes pour aller plus vite pour installer les bandes pendant les interrogations. C'était moi qui avait rédigé le rapport technique de la commission d'harmonisation.]
2) Dans le deuxième semaine de juillet, c'est cette fois-ci DVD qui avait syphonné des réservoirs d'essence "en réunion" avec des copains; lui-même avait 19 ans, et ses copains aussi.
[Je dois signaler que jusque-là on ne pouvait pas me considérer comme syphonnée parce que je n'avais -malgré toute la pression négative exercée sur moi de la part de l'administration et de l'inspection pas encore craqué]. Toujours DK et TK selon mes souvenirs.
3) Dans la troisième semaine de juillet, c'est de nouveau DDV, toujours 19 ans qui avec deux autres copains de 19 ans avait fait un trafic de drogue entre un pays limitrophe et la France.
4) Dans la quatrième semaine de juillet, c'est un "monsieur domino", (nom et prénom de mon époux que je ne trahirais pas ici), du même âge que lui 54 ans à l'époque, mais adulte handicapé, ce que n'est pas mon époux (il était précisé dans le journal que tout handicapé mental qu'il était, il avait quand même à répondre se ses actes devant la justice). Cet homonyme de mon époux, du même âge que lui, mais handicapé, avait commis lui aussi, comme DDV 19 ans, un trafic de drogue entre la France et un pays voisin.
Habituellement nous étions en vacances à cette époque-là de l'année, et on avait du croire qu'on ne le verrait pas, et qu'ensuite il serait à la rentrée facile de faire montrer le journal par quelques personnes au moment de ma mise en congé, personnes qui diraient "C'est elle!"
[Collègue JE-SAIS-TOUT m'avait déjà montré un entrefilet dans un journal sur lequel il était écrit, un professeur d'une quarantaine d'année de la région.... a commis ci et ça et a avoué une partie des faits, et de s'empresser d'ajouter "C'est tel collègue, tu sais, il est absent à cause de cela", c'était justement un collègue qu'on ne voyait plus depuis plusieurs semaines et qu'on a plus jamais revu ensuite.]
C'est grave ! Des "piliers de lycée" * peuvent disparaître comme cela brusquement sans que personne ne se préoccupe de ce qu'ils sont devenus ??!!
Peut-être qu'il serait revenu au 1er septembre 2007, si la gauche avait gagné les élections.
Revenons-en aux entrefilets de la presse locale en juillet 2002, il est encore paru un entrefilet sur l'homonyme de mon époux, puis pendant tous le mois d'août un homme du même âge que mon époux, qui lui (mon époux) ne conduit pas, avait commis des conduites en état d'ivresse et des refus d'obtempérer.
Tant d'insistance, dans les ressemblances avec nos deux identités avait de quoi m'inquiéter, nous ne sommes même pas partis en vacances, je surveillais, j'épluchais les entrefilets de journeaux, lorsque dans les premiers jours de septembre, j'ai vu que l'administration me faisait grise mine, j'ai compris, ils avaient cru que c'était moi.
Pendant tout le mois d'août, je suppliais mon époux, lui demandant d'aller voir au tribunal (je n'osais pas y aller moi-même) qui étaient ces personnes qui avaient mêmes initiales ou même noms que nous et si elles existaient réellement, si ce n'était pas une invention de journaliste qui auraient été payés (reçu un pot de vin) pour faire cela.
Ce n'est qu'en Décembre alors que j'étais en congé forcé par la médecine du rectorat depuis trois mois, que j'étais payée à demi-traitement parce que la convocation chez le médecin assermenté pour valider le congé n'arrivait pas, que le proviseur refusait que je reprenne le travail (qu'avais-je fait? J'étais passée à la loge en disant que je rentrais chez moi parce que je ne me sentais pas bien la veille d'un jour où l'inspecteur voulait revenir. C'était tout! )
Et à cause de cela, le proviseur ne voulait pas me reprendre, à cause de cela ou plutôt à cause de ma remplaçante qui auxiliaire avait besoin d'enseigner l'allemand pendant au moins 6 mois cette année là pour avoir le droit de passer un CAPES de style réservé ou un examen professionnel ou un 3ème concours. Ce qu'à l"époque, je ne savais pas. Je n'avais plus qu'un demi-salaire parce que mes collègues d'allemand et mon proviseur étaient altruistes avec ma remplaçante !
Collègue Je-sais-tout ne manquait pas d'ailleurs de dire de ma remplaçante "Celle qui t'a succédé", alors que je n'avais pas encore été mutée... Et quand je lui en faisais la remarque, il se fâchait en disant "Oh, de toute façon, je n'y connais rien aux remplacements. Il n'est plus qu'à cinq ans de la retraite, mais souhaitons lui d'être remplacé un jour, qu'avant sa retraite on puisse lui dire "Celui, ou celle qui t'a succédé..."
Mon époux a fini par aller au tribunal en Décembre, voir qui était ce DDV, car je pensais à cela jour et nuit, et il me disait goguenard "Qu'est-ce que tu t'en fais, 19 ans, c'est évident que c'est quelqu'un d'autre!" On lui a fait un bref démenti de 4 ou 5 lignes, démenti que j'ai donné au médecin assermenté chez qui j'ai enfin été convoquée au mois de Mai, alors que je n'avais plus qu'un demi-traitement depuis 4 mois, et on m'a mis un CLM rétroactif jusqu'à cette date fatidique de septembre où j'avais quitté le lycée alors que les trois premiers mois étaient couverts par les congés maladie ordinaires à plein traitement (je n'avais jusque là eu que 5 à 10 jours d'arrêt maladie dans l'année, pris en périodes d'un ou deux jours), donc pour le mois d'octobre suivant payé à demi-traitement, on m'a roulée, car on aurait du faire partir le CLM à l'expiration du congé ordinaire, c'est à dire de décembre à octobre, il n'y avait que 10 mois de CLM. Donc, j'ai été roulée d'un demi mois de salaire, car en octobre, je n'ai eu qu'un demi-traitement.
[Il veulent faire la même chose maintenant, parce que ils me convoquent pour me mettre en congé de juillet 07 à juillet 08, alors que j'ai travaillé en juin 07, et que les vacances sont commencées depuis une journée, pour ne me payer qu'à demi-traitement aux grandes vacances prochaines. Ou faire partir mon congé du 15 mai, date à laquelle la principale a signalé un "abandon de poste", alors que mon poste est une zone de remplacement, et pas un poste dans le collège MAchin Chose de Mme La principale Machin Truc, qui m'oblige à faire un service de documentation qui d'après le décret de 80 est basé sur le volontariat, Donc, elle signale un abandon de poste au lieu de signaler un abandon de travail de volontaire désignée. Dans ce cas là le congé contiendrait une période travaillée à largement plus de 18 heures par semaine, puisque c'est pendant cette période que j'ai rattrapé les journées non faites de ce service de volontaire désignée. Au début de l'année, il y avait aussi une autre TZR, une TZR d'anglais, un jour elle a disparu (remplacement) et n'est plus revenue, on ne sait pas si elle a eu un remplacement toute l'année, peut-être qu'ensuite elle est restée chez elle et que la rpincipale, qui n'a pas signalé d'abandon de poste pour elle,, n'en a jamais rien su.]
Par la suite, j'ai remarqué que pendant plusieurs mois la rubrique "tribunal" n'était plus remplie complètement dans le journal, qu'il y avait des blancs sur cette page. De véritables blancs où rien n'était écrit.
Actuellement on me convoque à la médecine du rectorat pour le 6 juillet. Pour me mettre en CLM à partir du 6 jjuillet, début des vacances scolaires alors que je n'ai pas été en congé maladie de toute l'année ! On veut encore me rouler !
Et ne pas me payer l'ISO que j'ai en tant que TZR.
J'ai effectué sans affectation particulière toute l'année un service de rattachement d'au moins 23 heures par semaine au lieu de 18 en tant que titulaire (je suis toujours titulaire), et c'est un service volontaire, que je n'étais pas obligée d'effectuer, car il n'était ni dans ma matière, ni dans ma fonction, on me faisait travailler en documentation au lieu de me faire travailler en allemand. Le recteur avait dit que les TZR affectés par lui-même en documentation ne devait effectuer finalement que 18 heures, ce que faisait ma collègue TZR de français affectée chez nous en documentation, donc la principale a décidé d'elle même que pour ne pas faire de différence pour moi le régime serait le même bien que je n'étais pas officiellement affectée en documentation. Je suis aussi TZR, mais j'étais seulement rattachée en attente de suppléance. Elle a menacé de ne pas faire payer mon salaire, si je n'effectuais pas le service de documentation avec ma collègue, j'ai fait des clubs d'allemand en plus des 18 heures qu'elle m'imposait en documentation pour garder l'habitude d'enseigner l'allemand, plus cinq heures d'enseignement bénévole de l'allemand le samedi après-midi dans une association de jumelage, j'ai suivi les cours de préparation universitaire et en didactique au CRDP, pour l'agrégation interne (stage de PAF) à 100 km de chez moi, et j'ai rattrapé les heures de documentation du Vendredi quand le stage tombait un Vendredi (ma collègue n'a pas rattapé les heures qui tombaient sur un stage, mais à moi on condifère que le fait que j'ai rattrapé les quelques jours où j'ai été absente en Mai à cause des colères de ma principale dues à l'histoire du rouleau de paperboard, que le fait que j'ai travaillé tout le mois de juin, jusqu'à ce que la principale nous fait remettre une lettre par laquelle elle dispensait ses TZR de service à partir de la fermeture du collège pendant le brevet jusqu'au 4 juillet parce qu'il n'y aurait plus assez d'élèves (à l'heure qu'il est ma collège TZR de français est peut-être déjà en vacances), tout cela, le fait que j'ai travaillé plus que mon quota d'heures dans l'année et avec ma formation universitaire peut-être le double de mon quota d'heure, tout cela fera que
si je vais demain à la médecine du rectorat (en dehors de l'année scolaire, dans mon académie les collèges -et j'étais cette année en collège - sont en vacances depuis hier à midi, on me mettra en congé pendant les grandes vacances et même en ce mois de juin écoulé alors que j'ai travaillé certaines semaines juqu'à cinq jours complets dans la semaine.
- pourquoi en dehors de l'année scolaire ? Pour que ma "disparitions passe inaperçue", mais j'espère que ce harcèlement moral dont je suis victime, cette torture psycholoquique qui empoisonne mon début de vacances pendant que ma principale et l'ouvrier qui s'était senti visé par les papiers demandant de ne rien bouger au CDI s'en battent les flancs et dorment sur leurs deux oreilles,
- pour que les syndicarts n'interviennent pas quand je me plaindrais que l'on m'aura mise en CLM à partir du 14 Mai 2007, alors que j'ai rattrapé les cours du 15 mai 11h au 15 mei 15h30 (J'ai suivi ma formation universitaire les 16 Mai, normalement et avec le sourire, sans parler de ces évènements à mes profs,le 17 Mai était férié (étonnamment ma principale m'a fait un rapport sur ma manière de servir le 17 mai, alors que jusqu'à preuve du contraire ce jour-là était férié, et de plus j'ai toujours travaillé le vendredi dans son collège et pas le jeudi), sauf en juin où j'ai rattrappé le jeudi, mes quelques jours d'absence, je suis retournée au collège le 18 mai,
- la principale m'a encore attaquée de plein front ce jour là, m'obligeant à passer par son bureau, elle m'a obligée à faire sortir les élèves et est arrivée courroucée dans le CDI, l'infirmière, accourue aux cris de la principale, m'a fait sortir du collège pleurante et gémissante sous ses cris de fureur (je ne supporte pas les gens en colère), j'ai encore manqué les trois jours de la semaine suivante que j'ai rattrapés par des jeudis en juin et des heures supplémentaires le soir (comme il ne s'agissait pas d'un service d'enseignement, mais de documentation, et que ma principale avait écrit que je ne faisais pas d'enseignement sur ma note administrative (tout ce que nous enseignons aux élèves au CDI, n'étant pour elle pas de l'enseignement, je n'ai pas géné le service en rattrapant les heures un autre jour. On aurait même dit que la collègue n'était pas contente de me revoir parce que je lui imposais du travail qu'elle n'aurait pas fait d'elle-même. J'ai suivi ma formation d'agrégation le mercredi et le jeudi de cette semaine-là.
Le lundi de Pentecôte était fermé parce que nous avions rattrapé cette journée à l'avance, comme mon époux travaille dans cette ville, il avait été lui-même contater que le collège était bien fermé.
Je suis revenue le Mardi, la principale n'a rien voulu entendre lorsque je lui ai dit que d'après le décret de 1980 réglant les obligations des TZR, le service en documentation ne peut être donné que si le TZR est d'accord. Des bulletins syndicaux précisent '"Si le chef d'établissement n'a pas de service à vous donner, vous n'êtes pas obligé de rester dans l'établissement". D'ailleurs beaucoup de chefs d'établissement hésitent à donner un service de rattachement en documentation aux TZR de peur d'âtre attaqués par les syndicats et les TZR au tribunal administratif.
Ce n'est pas que je n'avais plus envie de faire ce service, même si ce n'est pas mon métier, je le faisais pour les élèves que j'aimais bien.
Il y a deux ans des TZR d'électronique nommés en électrotechnique (ou vice-versa, je ne m'en souviens plus bien) ont eu gain de cause au tribunal administratif parce qu'ils n'enseignaient pas leur matière. Or, il y a plus de différence entre l'allemand et la documentation qu'entre l'électronique et l'électrotechnique. Et on ne m'a même pas demandé en début d'année si je savais me servir d'un ordinateur, la principale n'avait pas encore regardé mon dossier avant de m'envoyer au CDI. Or, actuellement au moins la moitié du travail de doumentaliste se passe soit à son ordinateur de bureau, soit à aider les élèves sur les ordinateurs, pas seulement pour les orienter lors de recherches sur Internet, ce qui est relativement facile, mais aussi pour leur expliquer quelles touches il faut taper pour certaines fonctions de traitement de texte (ce n'est pas de l'enseignement, d'après elle), leur faire faire la préparation au brevet informatique B2i, etc...
Ma collègue de français connaissait elle, la littérature de jeunesse parce que c'est dans les programmes de français de collège, mais moi, mis à part Peter Härtling et Michael Ende qui n'était même pas dans la bibliothèque (Peter Härtling y était en français), les Enyd Blyton de ma jeunesse, les Alice et les Clans des Sept, que j'avais lu quand ma soeur plus jeune était peitte, je n'y connaissais rien, mais rien !!! Je découvrais les livres en même temps que les élèves.
De deux choses l'une :
- Ou ma principale a voulu me faire craquer, en hurlant sur moi, pour que je n'ai pas en mutation le poste de la prof en CDM qui va bientôt passer en CLD et qui était remplacé par un collègue rattaché ailleurs.
- Ou, plus aucun poste d'allemand n'étant vacant dans la zone, pas même les postes en zone de remplacement comme le mien accordé à titre "définitif" quelqu'un qui a eu une mesure de carte scolaire dans ma zone, cherche peut-être à se faire mettre sur un poste de TZR dans la même zone. Et essaie de me faire perdre mon poste en zone de remplacement accordé depuis 4 ans à titre définitif et sur lequel je commence à avoir des points d'avance pour une mutation (je suis la deuxième ou la trosième arrivée sur les postes ZR, alors que nous sommes six TZR d'allemand dans la zone, donc si on supprime un poste de TZR dans la zone (cela ne s'est encore jamais vu, mais qui sait; au contraire on a créé ces dernières années des postes de TZR pour mettre les collègues qui avaient des mesures de carte scolaire en grosse partie due à la baisse démographique due au départ des étrangers dans Moyenne Ville de la zone (34 OOO habitants, plus sa banlieue), car il y avait au minimum 50% d'étrangers dans les 2 lycées de cette ville qui est passé pour les deux lycées de huit professeurs d'allemand en 1992, à 2 professeurs d'allemand actuellement. L'un des lycées est passé entre 2002-2003 et 2005-2006 de 1700 à 1100 élèves.
Et c'est à cause du renvoi des étrangers chez eux que les profs d'allemand qui formaient il y a encore 7 ou 8 ans un groupe soudé, s'étripent pour garder leurs postes. Des français sont malheureux dans leur profession à cause du départ des étrangers, et pas seulement les commerçants. Et de plus ils étaient souvent bon en allemand, parce qu'ils savaient ce que sont deux systèmes de langue différents et participaient bien. Mieux que les français qui eux sont souvent surtout en lycée, relativement amorphes. Nos élèves locaux ne sont pas non plus des tempéraments du Sud, ni des latins.
"Diviser pour régner", telle est la devise des autorités vis à vis des professeurs d'allemand.
A propos de mon affaire d'initiales, que j'ai évoquée plus haut (c'était en 2002) :
Bon, je voulais aussi dire qu'en été 2002, il y a eu le début de l'affaire d'Outreau. Une affaire à mon avis montée de toutes pièces. Je ne suis pas journaliste, mais (je m'excuse par avance auprès des adultes victimes de cette affaire, si ce n'est pas le cas) je ma suis souvent demandée si ce n'était pas un canular, comme l'affaire de mes initiales aurait été un canular des hebdomadaires locaux. Après tout je n'ai pas été vérifié de mes propres yeux si le procès avait vraiment lieu dans les tribunaux indiqués. Vous savez je suis méfiante, je suis un peu comme Judas qui ne croyais que ce qu'il voyait.
Je voulais dire qu'à la même époque dans le quotidien local de même que dans les hebdomadaires locaux débutait une affaire analogue dans une petite ville que j'ai fréquentée lors de mes loisirs (bals folks, théâtre). Cette affaire n'a qui touchait quatre couples de condition modeste dont on avait photographié les maisons, n'étaient évoquées que tous les mois de juillet, durant trois ans, et jamais entre deux. Un an plus tard nous avons appris que un couple et une femme avaient été relâchés sur les quatre couples, car ils étaient innocents, juste avant que je reprenne le travail, mais comme TZR; un an plus tard (donc deux étés plus tard), encore un couple était relâché. On parlait toujours de ces affaires là au moment des mutations de profs (pour faire croire que c'est eux).
Deux profs qui avaient beaucoup travaillé sur des projets, un au lycée où j'ai travaillé dix ans et sa femme au collège, sont partis cette année là parce qu'ils étaient harcelés. Ils étaient là depuis toujours, mais vivaient heureusement en location (je veux dire qu'ils n'ont pas du revendre leur maison pour en acheter une autre dans une grande ville où c'est plus cher). Ils étaient peut-être visés par l'évocation de cette affaire, qui comme on en a pas beaucoup parlé devait être un canular pour remplir des journeaux qui n'avaient pas assez de matière en juillet.
On n'a plus jamais entendu parler de cette affaire calquée sur l'affaire d'Outreau.
En juillet 2002, on parlait dans un département voisin d'un président d'une association qui s'occupait des chômeurs qui avait été mis en examen. C'est bizarre, parce que dans la petite ville où il y avait la seconde affaire d'Outreau, nous avions un amis qui était (et est toujours, nous n'avons plus de novelles de lui) président d'une association qui s'occupe des chômeurs.
Dans une ville où je paritcipais à un stage de musique en juillet 2001, j'avais rencontré deux ressortissants de cette ville que nous connaissions par la danse folk, comme ils me reconnaissaient à ma voiture, ils cherchaient après nous. J'avais dit en riant que dans cette petite ville et la moyenne ville à coté, et de façon quelque peu erronée, que j'y étais aussi connue que "le loup blanc". Bien sûr, j'y étais plutôt connue en bien, mais on a voulu m'y faire connaître en mal..; et me transformer en "loup blanc"; l'un des professeur avait le bras long dans l'enseignement de mon académie, connaissait mon inspecteur, deux de ses élèves qui habitaient dans mon coin avaient déjà eu des revers professionnels, une sage-femme qui était devenue secrétaire médicale, et une institutrice qui était partie travailler comme secrétaire dans une entreprise. Je me suis demandée s'il n'en était pas à la source. Car juste après mon inspection, il m'avait téléphoné, voulait que je prenne une de ses amies comme avocate, et quand il a appris le nom de l'inspecteur qui m'avait inspecté il a raccroché brusquement le téléphone et je n'ai plus jamais eu de nouvelles de lui.
Dans l'inspection, l'inspecteur demandait une 'réorientation" (je vous rappelle que j'étais jury de BTS, que je suivais de nombreuses formations, etc...), devant mon refus de me réorienter, il avait préconisé une tutelle pédagogique, comme pour une stagiaire; comme un an plus tard, j'ai donné le rapport d'inspection au médecin assermenté qui visiblement ne comprenait rien à ma situation, il m'a certainement fait passer devant le juge des tutelles, et c'est sûrement pour cela que mon congé maladie a duré si longtemps; je n'ai jamais réussi non plus à avoir mon dossier émanant du comité médical, alors que j'avais le droit d'en avoir communication.
L'inspecteur a dit plus tard à mon époux (lors d'une réunion de pré-rentrée pour l'agrégation) que comme j'avais suivi sa formation pour l'agrégation interne, et que j'ai été à nouveau à la page en didactique (sa didactique) je pouvais à nouveau enseigner l'allemand sans tutelle pédagogique, mais cela n'a jamais été écrit dans mon dossier en regard du rapport d'inspection.
Toujours est-il que dans mon dossier électronique ne figure aucune allusion à un service de documentation, ni à aucun service de rattachement, sauf ce que j'ai ajouté moi-même dans la partie réservée au professeur.
A cette époque là (2002/2003) je ne savais pas que les blogs existaient. Mais s'ils existaient, qui les lisaient alors ? Sinon, je n'aurais pas envoyé des appels au secours en grosses lettres dans ma poubelle de maison, suppliant qu'on me fasse reprendre le travail en espérant vainement que quelqu'un qui trie les ordures trouve mes appels à l'aide, et me fasse reprendre le travail ! Je ne savais plus à quel saint me vouer !
Je n'irai pas à la médecine du rectorat demain, s'ils veulent me destituer parce que J'AI TRAVAILLE BEAUCOUP PLUS QUE LE QUOTA D'HEURE QUE JE DEVAIS DANS L'ANNEE, QU'ILS ME DESTITUENT, j'adore enseigner, mais j'en ai assez de me battre contre les moulins à vent des administrations scolaires qui ne sont là que pour vous sabrer et vous sanctionner et ne veulent jamais voir le positif de que vous faites.
J'ai remarqué ausii une chose, c'est que tous les profs que j'ai vu disparaître ainsi sans tambours ni trompettes avaient tous des noms flamands. Moi, aussi, mon nom de jeune fille est flamand. Un certain racisme contre les noms "étrangers"? Je pleure, je hurle presque rien qu'à l'idée d'aller à la médecine du rectorat, je ne veux plus revoir cette femme infantilisante et humiliante que j'ai vu il y a cinq ans. Je n'irai pas, même si mon mari me tarabuste pour que j'y aille, je n'irai pas. Ils nous gâchent tout notre début de vacances, j'en ai ras-le-bol de l'administration du rectorat, des principales et de tout ce tin-ttouin.
Moi, tout ce que je demande c'est qu'on enlève la convocation à la médecine du rectorat, qu'on me laisse dans ma zone de remplacement en allemand (puisque c'est une zone que j'ai à titre "définitif"), et qu'on me change mon rattachement. Mais qu'on me laisse tranquille avec cette médecine préventive (du rectorat préventive de quoi, il y a cinq ans, elle m'a rendue malade et a fait empirer ma situation) infantilisante et humiliante.
domino
*Des "piliers de lycée" ne sont pas forcément des buveurs, ce ne sont pas des piliers de bistrot, ce sont des professeurs qui sont depuis longtemps dans un lycée et en constituent pratiquement l'ossature du corps professoral.
Je veux aussi signaler que le médecin assermenté que j'ai vu pour ma "reprise de travail", fumait dans son cabinet un gros cigare, alors que je suis non fumeuse et que j'étais incommodée par la fumée, je n'ai pas osé lui dire d'éteindre son cigare parce qu'il le prenait de haut avec moi.
20:40 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, harcèlement moral, affaires d'initiales, affaires juridiques
mardi, 03 juillet 2007
Rapports mensongers faits sur moi....
JE SAIS QUE CETTE NOTE EST LONGUE, MAIS JE VOUS EN PRIE, PRENEZ LA PATIENCE DE LA LIRE ENTIEREMENT ET DE RELIRE TOUT CE QUE J'AI ECRIT DEPUIS LE 15 MAI SUR CETTE AFFAIRE :
Je n'ai moi-même en tant que professeur jamais fait de rapport sur des collègues, du moins nommément, ou alors si je les nommais, c'était pour en faire les éloges.
Les rares "rapports" que j'ai fait était faits en légitime défense par rapport à mon inspection du 22 mars 2002, et sauf pour faire les éloges de collègues, je n'ai cité aucun nom. J'ai voulu à l'époque seulement dénoncer des pratiques courantes dans l'enseignement, comme la délation (et je viens encore d'en recevoir une preuve), mais le médecin assermenté qhez lequel j'avais été convoquée plus d'un an plus tard (car l'administration est ce qu'elle est, d'une lenteur extrême, nous devons corriger même en lycée nos copies du jour au lendemain (c'est ce qui m'a été dit), même si de ce fait, les corrections sont bâclées, mais par contre, lorsqu'il s'agit de nous faire pleurer, de nous ennuyer pour ne pas dire de nous pousser au suicide ou à la démission, l'administration scolaire, rectorale et médicale emploie des moyens de torture psychologique d'une lenteur extrême.
Exemple :
Je viens de recevoir par la poste, en lettre recommandée, comme il s'agissait d'un gros paquet, j'ai cru que c'était peut-être une affectation pour l'an prochain et j'ai signé l'accusé de reception, bien mal m' a pris de signer cet accusé de réception, avec un mois et demi de retard sur les "incidents" qu'il déplore, mon collège m'envoie des rapports qui ont été fait sur moi, à mon inspecteur d'allemand, alors qu'on me faisait travailler en documentation, rapports on ne peut plus mensongers.
N'oubliez cependant pas que lorsque j'ai repris le travail, j'ai donné un certificat médical demandant à ce que je ne subisse plus ni stress ni provocation (de la part de l'administration) et je viens de recevoir ce paquet provocateur, entorse à l'ordonnance médicale !!!! J'ai donné ce certificat en main propre à la principale et c'est elle qui a signé il y a deux jours le bordereau accompagnant ce paquet provocateur !!!
Ma principale se prend pour un médecin du 19ème siècle, pour Freud ou Jung, qui ont émis des théories et des descriptions de maladies mentales complètement dépassées par la science médicale actuelle (vous savez qu'avec mes 140 de QI et mes plus de 145 en sens logique, je m'interesse à la médecine), bref, ma principale se prend dans ses deux rapports pour un médecin du 19ème siècle ou à la rigueur du début du 20ème siècle (de toute façon, elle retarde d'un siècle....) pour m'insulter comme étant selon elle une paranoïaque, et une hystérique. Avec le rapport qu'elle a fait sur moi, je peux aller au tribunal déposer plainte contre elle pour insultes écrites nommément, alors que les papiers demandant aux agents de ne pas bouger mes papiers et mon exposition, papiers A4 que j'avais collé sur la table (de façon à ce qu'ils s'enlèvent facilement, avec du scotch, ce qui ne laisse pas de traces sur le vernis) , n'étaient pas écrits nommément, l'agent qui a fait un rapport sur moi, n'étant d'ailleurs pas un "nouvel agent" comme je l'ai écrit, donc il n'était pas concerné par mon papier et s'est senti quand même visé.
Ma principale devrait savoir que je considère comme insultes, ce que plusieurs fois un sinistre individu est venu écrire ci-dessous dans les commentaires de ce blog, me traitant de paranoïaque et d'hystérique au même titre que ma principale me traite par écrit des mêmes noms d'oiseaux et envoie les noms d'oiseaux dont elle m'affuble au rectorat. [J'aurais déjà pu maintes fois déposer plainte contre ce commentateur qui emploie vis à vis de moi les mêmes insultes que ma principale.... J
Je n'en tirerais pas la conclusion hâtive que ce serait quelqu'un à sa solde, qui aurait découvert mon blog. Je n'en tire pas de conclusion concernant un rapport entre l'insulteur de mes commentaires et les insultes de ma principale vis à vis de moi, insultes qui dans les deux cas emploient les mêmes termes de paranoïa et d'hystérie. Mme ma principale aurait mieux fait de tourner sa plume cinquante fois dans son encrier avant d'écrire ces rapports, , elle qui crie beaucoup et hurle souvent, interrompt sans cesse les personnes qui essaient de se défendre, coupe tout dialogue, elle qui oblige les gens à parler fort pour se faire entendre d'elle. Ma principale peut être considérée comme quelqu'un :
- qui insulte son personnel en le traitant de paranoïaque et d'hystérique, et ceci par écrit et nommément,
- qui exerce illégalement la médecine en portant des diagnostics qui sont faux et datent d'un autre âge.
Autres contradictions :
1) Première contradiction : J'aidais beaucoup une surveillante qui surveillait la permanence pendant quelques heures le Vendredi matin ou après-midi ou d'autres heures lorsque ma collègue était en stage ou en grève, cette surveillante, dont j'ignorais la présence à cette heure, de même que celle des élèves, et qui est intervenue pour soit-disant "me raisonner", moi qui suis trente ans plus âgée qu'elle. Je prenais une grosse partie de ses élèves et la totalité de ses élèves au CDI quand j'étais seule à surveiller et à m'occuper du CDI le Vendredi, si bien qu'elle n'avait plus qu'à descendre bouquiner au bureau des surveillants ou prépare ses examens, alors que je préparer aussi l'agrégation.... mais je n'avais pas le temps de la préparer pendant mes non pas 18 heures (c'était 18 heures AVEC les élèves) mais quelques 24 heures (sur 3 jours, pause pas pause de midi comprise, je ne prenais que 5 à 10 minutes pour manger) par semaine au CDI, alors que ma collègue qui a le même statut que moi, TZR à 18 heures, ne restait strictement que 18 heures, et me reprochait de rester plus longtemps qu'elle.
Même quand je restais en plus de 16h30 à 17 heures 30, cette surveillante m'envoyait des élèves et devant mon refus de prendre des élèves hors des heures de service que j'avais données à ma principale (le rectorat lui-même ne m'ayant imposé aucun service de rattachement, car c'était ma collègue TZR de français qui était nommée là), elle insistait et trouvait moyen de m'envoyer en plus des élèves qui préparaient l'exposition (qui n'a pas eu lieu en raison du retard pris la semaine où j'ai été absente), que je prenais en heures supplémentaires non payées, plusieurs élèves qui ne participaient pas au projet pour se libérer elle-même ou pour que son collègue soit libre. Et si vraiment elle finissait par comprendre que j'avais besoin de cette heure-là, que je faisais en plus, sans qu'elle ne me soit payée, pour faire le travail administratif du CDI (ma collègue ne faisait rien d'autre en plus que ses 18 heures), travail que je n'avais pas eu le temps de faire à cause des questions des élèves, elle envoyait des élèves tous les 1/4 d'heures chercher des livres ou des dictionnaires qu'ils ramenaient ensuite.
(Bref, pourquoi cette surveillante que j'aidais en prenant ses élèves a-t-elle fait un rapport sur moi?)
J'aidais donc beaucoup cette surveillante, et elle me l'a bien rendu en faisant un rapport PEU élogieux sur moi, qui bien qu'étant écrit en des termes moins acérés et acerbes que ceux de la principale, n'en laisse pas moins supposer que cette surveillante n'a acquis depuis le temps ou elle était élève aucun respect supllémentaire pour les professeurs qui sont pourtant plus haut placés qu'elle.
Si je dois supporter les COLERES de ma principale PARCE QU' ELLE est supérieure hiérarchique, ce qu'elle n'a pas manqué de me répéter cinquante fois, j'exagère à peine, ceci pour affermir son autorité sur moi,
autorité qu'elle n'affermit pas du tout ainsi, au contraire dire à un "subordonné" que l'on est son supérieur hiérarchique, et insister là-dessus, frise le ridicule.
Si je dois supporter ses colères sans répliquer et sans avoir le droit de me défendre, alors la surveillante aurait du supporter mes appels à l'aide.
(Car quand on crie au voleur, c'est dire qu'il y a eu un vol, mais ce n'est pas dénoncer un voleur particulier, on doit venir en aide à la personne volée, en cherchant qui a pu commettre le vol, ou en recherchant l'objet avec elle, si on pense qu'elle n'a pas été volée, ce que fit d'ailleurs cette surveillante, qui chercha avec moi et ne trouva rien, mais pas en disant à la personne volée de partir rapidement, car on pourrait être considéré comme étant complice du voleur : on dit à la personne de partir rapidement pour cacher le vol. Ceci dit je n'accuse pas la surveillante d'avoir voulu cacher un vol, ni d'être complice de qui que ce soit, je dis seulement que cela pourrait donner, dans d'autres circonstances, cette impression-là).
La surveillante a d'abord pris le contrepied du rapport de la principale en écrivant :
"Je l'ai aidé (sans -e, elle me prend pour un homme à cheveux longs, parce que je m'appelle "domino"), à mettre ses affiches".
Il s'agit des demandes de ne pas toucher au matériel que j'allais poser sur les tables, au moment où elle est arrivée.
[Je ne hurlais d'ailleurs pas quand elle est arrivée, comme elle l'a écrit sur son rapport mensonger, car trouvant soudain de l'aide pour retrouver les objets disparus, j'ai arrété d'appeler au secours, et ce n'est pas elle qui m'a "raisonné", mais sa venue qui m'a fait croire qu'elle venait m'aider à chercher le matériel. J'avais seulement des larmes dans les yeux, parce que j'étais décontenancée par cette disparition. Seulement au moment où elle est entrée, j'ai dit que je cherchais des objets disparus.]
Mais elle s'empresse d'ajouter "pour qu'elle parte".
Elle ajoute (mensonge) :
"Mr NN. (l'agent) attendait dans le hall."
Hors si Mr NN. est bien l'agent qui avait fait le tour du collège, il était reparti au bâtiment de l'administration, situé bien loin de l'autre coté de la cour, je l'avais vu repartir en regardant par la fenêtre.
Pourquoi a-t-elle ajouté "pour qu'elle parte" :
Pour ne pas être accusée de "complicité" avec moi, en effet la principale a écrit dans son rapport (selon les dires de la surveillante) :
"Mme domino a confectionné trois affiches qu'elle a collées sur la table du CDI",
je signale que je ne les ai pas collées toute seule, et que, si la surveillante avait vu quelques objections à ce que j'avais écrit sur ces affiches, elle aurait du me le dire, et ne pas m'aider à les coller, or elle m'a aidée à les coller,
et ne pas faire comme a écrit l'agent (celui qui était passé dans le CDI ou un autre?) :
"Mlle NN (la surveillante) me fit constater que Mme domino a posé des affiches discriminatoires à mon égard sur les tables du CDI", or, son nom n'est cité nulle part et le terme de "nouvel agent" employé sur ces papiers de format A4 (peut-on appeler cela des affiches?), montre qu'il ne peut s'agir de lui, puisque l'agent qui avait passé sa tête dans l'entrée du CDI dans ce que je suppose être sa ronde (il remplaçait l'agente d'accueil habituelle avec laquelle je n'ai jamais eu de problèmes), puisque cet agent dont j'ignore le nom, figure sur la photo du personnel faite en début d'année. Donc, il n'est pas nouveau, donc, il n'est pas visé par le contenu de la feuille (parler d'affiches pour un format A4 est un bien grand mot). Donc il s'est senti visé inutilement, et le terme de "discriminatoire" qu'il emploie est hors de propos.
Et est ce discriminatoire d'écrire :"Nouvel agent d'accueil, vous n'avez pas à prendre quoi que ce soit dans le CDI?" Comment ces soi-disant affiches, qui ne sont que des feuilles A4, peuvent-elles être discirminatoires ? J'ai écrit "Nouvel Agent d'accueil, vous n'avez pas à prendre quoi que ce soit dans le CDI." J'avais dans mon souvenir avoir écrit ceci : "Pour le service : Ne pas déplacer les objets et le matériel se trouvant sur les tables dans le CDI". Il n'y a pas beaucoup de différences. Je ne suis même pas sûre d'y reconnaître mon écriture, c'est peut-être une imitation.
La principale qui m'a traitée nommément dans ses écrits - en écrivant au rectorat de paranoïaque et d'hystérique a commis un crime bien plus grand ! Ce sont de pures insultes produites à l'égard de quelqu'un qui sur le moment était désemparée. Ce que ma principale a fait 'à mon égard est presque un assassinat.
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Si j'étais le recteur,
1) Je n'accepterais pas le rapport que la principale a fait sur moi, en employant les termes de paranoïa et d'hystérique vis à vis d'une professeure. Je lui demanderais de réviser sa copie.
2) Je ferais passer ma principale pour insultes proférées par écrit vis à vis d'une professeure devant une commission médicale.
Soi-dit en passant, au début de l'année je mangeais à la cantine, je n'y suis plus allée, parce que ces repas faits pour des adolescents en croissance, me faisaient beacoup grossir, mais j'ai pu constater durant ces trois mois-là que ma principale est assez médisante, elle médit particulièrement sur une mère d'élève qui porte le même nom de famille que moi, et sur les voisins du collège.
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Pourquoi la surveillante, si elle n'avait pas été mal intentionnée à mon égard, aurait montré les affiches à l'agent pour qu'il les enlève lui-même et les amène à ses supérieurs? Cet agent est un personnel de la Fonction Territoriale et non un agent ATOSS. recruté par l'Education Nationale. Il fait généralement des travaux de jardinage.
Pourquoi la surveillante donc aurait-elle montré ces feuilles aux agents de service, alors que je lui rendais service tous les Vendredi et à chaque fois que ma collègue était absente, en prenant presque tous ses élèves ou tous ses élèves (si je n'avais pas été rattachée dans ce collège - c'est un rattachement que j'avais eu en rapprochement de conjoints - je n'aurais jamais allégé son service), pourquoi cette surveillante aurait-elle été si mal intentionnée vis à vis de moi qui lui rendait service, qu'elle m'aurait aidé à faire quelque chose qui pouvait me nuire pour ensuite le dénoncer? C'est de sa part un non-sens complet.
La semaine suivante, je n'étais pas là le Vendredi et elle a du sentir la différence de confort dans son service.
Durant les premières semaines de juin -avant que la principale ne nous libère toutes les deux ma collègue TZR et moi pour collège fermé en raison du Brevet,
[mais vous savez qu'en échange j'ai eu des activités de jumelage dans la même ville, et ma collègue n'a aucune autre activité],
cette même surveillante qui a fait un rapport sur moi, s'est empressée régulièrement de me téléphoner de la permanence qui est à dix mètres du CDI, disant "Je vous envoie 8 élèves",
alors que j'en avais déjà 8 aux ordinateurs, et de les accompagner en repartant ensuite seule en direction du bureau et non plus en direction de la permanence vide,
ou bien, "Je vous envoie 15 élèves" et dans la premanence il n'y en avait plus que 2 alors que l'on m'avait envoyé les quatrième SEGPA... les plus terribles du collège qui étaient sages avec moi, tous ceux qui sont passés devant le CDI le Vendredi ont du remarquer qu'il y avait moins de bruit lorsque j'étais seule avec les élèves que lorsque nous étions à deux, parce que je ne pouvais aller à l'encontre de la TZR nommée par le recteur en matière de discipline (elle leur interdisait de venir aux récréations emprunter des livres sauf le Mardi matin, mais elle n'était pas assez sévère pendant les heures de CDI, parfois elle bavardait avec une de ses collègues de français et ne faisait même plus attention aux élèves, et c'était moi qui devait m'en occuper alors que c'était "ses" heures),
et la surveillante de les accompagner et de repartir seule vers le bureau.
Après que j'eus dit à ma collègue que je savais que les surveillants me donnaient tous leurs élèves, je le savais parce que je les voyais continuer leur chemin en direction du bureau des surveillants après avoir déposé les élèves au lieu de retourner en permanence,
les surveillants sont repartis par la suite vers la permanence et sont repassés par la cour et l'escalier extérieur pour retourner au bureau pour me donner l'impression qu'ils avaient encore des élèves en permanence.
Bref, ils me prenaient pour une surveillante bis, et pas pour une prof titulaire d'allemand pas nommée par le recteur en documentation, mais seulement rattachée au collège. Théoriquement, je n'aurais même pas du être là pour prendre leurs élèves, ou alors les surveillants aurait du me donner uniquement les élèves qui avaient besoin d'aide en allemand.
2) 2ème contradiction : L'agent de service qui a fait un rapport sur moi m'a dit personnellement ne rien avoir entendu des appels que j'avais fait le lundi soir (peut-être voulait-il éviter d'être accusé de non assistance à personne en danger), quand j'ai constaté la disparition du rouleau de paperboard avec une partie de mes feuilles d'exposition, il m'a dit ne pas avoir entendu de cris, cris décrits par la principale comme ayant été entendus par l'agent, qui aurait eu peur de remonter, ou plutôt mes appels (je lui ai parlé le 17 mai , alors pourquoi aurait-il deux discours) :
Voici en substance ce que ce monsieur,
qui n'a rien vu ni entendu d'après ses propres dires (c'est ce qu'il m'a dit le 17 mai au matin), et n'a jamais levé les yeux vers le CDI alors que je l'appelais en le voyant dans la cour du bas, et n'a pas regardé une seule fois dans ma direction quand j'étais à la fenêtre, il avait la tête baissée,
(je l'appelais pour constater la disparition du paperboard en criant fort pour qu'il m'entende et d'après ses écrits, il aurait cru que je l'invectivais et il m'aurait vue à la fenêtre, sans avoir regardé une seule fois dans ma direction, je crois qu'il a du faire son rapport d'après mon blog et pas d'après ce qu'il a vu, car j'avais vraiment l'impression qu'il n'entendait rien, et n'avait pas le visage de quelqu'un qui a peur, ou entend quelque chose et cherche d'où ça vient, mais un visage inexpressif)
voici ce que ce monsieur qui n'a rien entendu, a écrit :
"J'ai continué ma tournée et alors que je revenais vers le hall d'entrée principal, vers 18h10",
[ bizarre j'ai du partir vers 18 heures au plus tard], mais peu importe...,
"j'ai entendu des hurlements provenant du niveau supérieur (CDI)".... "Mlle ... (la surveillante) est allée voir ce qui se passait et de mon coté je suis allé à l'administation pour trouver un responsable. En traversant la cour, j'ai vu Mme domino qui continuait à hurler..;"
(ma traduction ou version : à crier suffisamment fort pour qu'il entende mes appels en détachant bien mes mots -donc, je savais bien ce que je faisais et je n'étais pas "hystérique", je ne pouvais quitter le CDI et rentrer chez moi, s'il y manquait du matériel, et c'est ce que je disais, qu'il fallait constater que ce n'était pas moi qui l'emmenais, je détachais bien mes mots pour qu'il comprenne que je lui demandais de revenir, )
"... par la fenêtre et dans ma direction..."
- Il ne s'est pas retourné une seule fois, il a des yeux derrière la tête ou il s'est servi de mon blog (mes écrits du mois de mai) pour faire le rapport? -Ne le voyant pas se retourner, je me disais même que je ne criais pas assez fort pour qu'il m'entende, et par conséquent je criais plus fort,.... (en effet, en cours d'agrégation, on me dit toujours de parler plus fort, et en cours de chant, on me disait toujours de chanter plus fort, que ma voix n'était pas assez puissante)...
"Il était 18h 15, il n'y avait plus personne à l'administration et je suis donc retourné à l'externat..."
[Bizzarre, il n'y a jamais eu d'internat dans ce collège, pourquoi parle-t-il d'externat???]
"où j'ai recroisé"
[ "recroiser", c'est dans le dictionnaire, ce mot-là??? Comme "licence poétique", cela pourrait passer, mais dans un rapport circonstancié envoyé au rectorat, quand même!]
"...Mlle (la surveillante)" qui m'a informé..."
(donc c'est elle qui se coupe l'herbe sous le pied - en m'empêchant de prendre les élèves qui sont de trop pour elle le Vendredi suivant- en utilisant la délation à mon égard...)
".. m'accusait d'avoir dérobé des documents concernant son exposition lors de mon passage lui signalant la fermeture de l'établissement,"
(lors de son passage on avait discuté d'une façon sympathique entre nous; quant à la fermeture de l'établissement, il n'avait pas besoin de me la signaler, car je partais tous les jours à cete heure là, et j'éteignais le dernier ordinateur lorsqu'il est pssé.. je me souviens d'ailleurs qu'il a dit : ah! c'est le CDI, alors qu'il avait vu la salle de lecture du CDI juste avant, dont la porte était invisible à mes yeux et où se trouvait l'exposition juste avant et pendant son passage).
"Mlle (la surveillante) m'a fait constater que Mme domino avait mis des affiches discriminatoires...",
pour moi, pas discriminatoires, mais préventives, car j'ai seulement pensé qu'on avait pu déplacer quelque chose ou prendre le rouleau parce qu'on en avait besoin ailleurs et le rendre ensuite,
"... à mon égard..."
Pourquoi s'est-il senti visé, alors que son nom ne figurait pas sur ces feuilles? C'est là que je parle de rapport mensonger... et en plus on dit souvent que les personnes qui se sentent visées sont les coupables, c'est souvent valable pour les élèves, quand un élève s'exclame "C'est pas moi!", c'est souvent lui; je ne dis pas que cet homme est coupable, je dis qu'en se sentant visé, il peut donner peut-être de façon erronnée l'apparence de la culpabilité.
"... sur les tables du CDI. C'est là que j'ai décidé (sans accent sur le premier é) de décoller (sans accent sur le premier e) ses affiches (qui ne sont pas des affiches et qui ne sont pas "ses affiches", parce qu'elles ne m'appartiennent pas, mais "ces affiches"), afin de les remettre à mes supérieurs, ...
"Ce Mardi 15 Mai 2007, j'ai donc avisé M. NN..."
[son chef immédiat, qui lui, le Vendredi matin (j'étais à l'université les mercredi et jeudi) n'était au courant de rien, lorsque je lui en ai parlé, et qui dès mon retour le mardi après la Pentecôte (le lundi a été rattrapé avant et j'ai rattrapé toutes mes autres journées, même si je n'avais officiellement aucun service en provenance du rectorat), s'est mis à me sourire constamment et à me serrer la main (il souriait déjà avant, mais ne me serrait pas la main), je ne sais pas si je dois interpréter cela à la manière des baisers de Judas (cacher qu'il avait fait quelque chose contre moi) ou comme un remerciement parce qu'il n'aurait pas aimé cet agent...???? On ne connait pas les rapports qu'ils ont entre eux.]
"... agent de maîtrise qui m'a conseillé d'en référer à la principale à qui j'ai remis les affiches".
Illégal : Tout rapport ou toute réclamation effectué par un agent de service doit passer par son supérieur hiérarchique, qui est ici la gestionnaire
(On nous oblige bien à faire des demandes écrites sur papier spécial pour réparer une ampoule qui a sauté et ceci passe par la gestionnaire, avant d'être remis aux ouvriers).
Et c'est la gestionnaire qui doit en informer la principale. M. NN, agent de maîtrise aurait du prendre la réclamation de l'agent, et aurait du en référer à la gestionnaire. Qui aurait du elle-même en parler ensuite à la principale.
C'est le proviseur de mon ancien lycée lui même (celui où j'ai travaillé dix ans) qui me l'a dit, parce que à l'époque des agents trouvaient que je restais trop longtemps le soir, et ils devaient en informer l'intendant, et non pas le proviseur directement... Le proviseur m'avait dit oralement, j'ai une information à vous faire passer de la part de l'intendant.... et il mettait quand même des gants pour me parler.
Et la principale n'avait pas à envoyer le rapport d'un agent au rectorat sans qu'il soit visé par la gestionnaire.
Et on se demande pourquoi l'agent de maîtrise m'a serré la main en souriant durant tout le reste de l'année, et en faisant la bise à ma collègue TZR de français, s'il a donné un conseil pareil à son collègue et soit-disant subordonné. Est-ce qu'il voulait marquer une différence en lui faisant la bise alors qu'il ne me serrait que la main.... ????
L'attitude qui consiste à donner le conseil à son agent d'en référer (de ma soi-disant attitude vis à vis de lui) à la principale tout en me faisant par ailleurs des salamalechs, me semble aussi bizzarre et contradictoire.
3) En effet, ma collègue, TZR de français, aurait, d'après le rapport de la principale, joué un certain rôle nocif pour moi, dans cette histoire....
Voici ce que la principale a écrit à son propos :
(A 10h20, le mardi...)
"Mme domino a quitté son poste et l'établissement..."
Déjà mensonger, je n'ai jamais été "postée" en CDI, je ne suis pas auxiliaire et je vous recopierai tout à l'heure, ce que dit à ce propos le décret de 1980 réglant les services des TZR, et ce qu'en disent les syndicats, le recteur a nommé ma collègue TZR de français en CDI, dans le CDI de l'établissement où j'étais rattachée, mais il ne m'a pas nommée moi dans ce CDI, ni en documentation, ma principale m'employant en quelque sorte d'une façon quasiment illégale, en effet sur le statut des TZR (décret de 1980), il est écrit qu'un service en documentation peut être donné par le principal d'un établissement où le TZR est affecté (mais il n'est pas écrit "rattaché") à condition que le professeur certifié ou agrégé (ou bi-admissible, on nous oublie toujours, mais c'est entre les deux) soit volontaire.
Or, je n'ai jamais signé d'affectation en service de documentation. Et pourtant, j'y ai travaillé toute l'année, en attente de remplacements. Ce service n'étant d'ailleurs pas officiel, je ne pourrais -mais je ne le désire de toute façon pas- le faire valider en acquis professionel à l'université. A mon âge, je n'en ai pas besoin, mais c'est par principe que je le signale ici.
J'ai un poste : Mon poste est la zone de remplacement et pas le CDI de son collège, le collège de rattachement a juste à gérer ma carrière, c'est à dire mes papiers administratifs, du mieux qu'il peut, et c'est par lui que je reçois mes bulletins de salaire, mais c'est tout... c'est normalement le seul but du rattachement administratif. Dans TZR, T. veut dire titulaire. Les services de rattachement ne sont jusqu'à ce jour obligatoires que pour les auxiliaires et pas pour les titulaires comme moi, par conséquent la principale a fait une erreur fondamentale en écrivaant "Mme domino a quitté son poste..., car je n'étais pas en poste dans ce collège"
[Mon proviseur de rattachement de l'an dernier avait fait le contraire, il m'a dit :"Je ne vais quand même pas vous écrire une lettre, qui serait mise dans votre dossier, pour vous dire de ne plus venir. travailler ici.. Je ne sais plus sur quel pied danser... Vous comprenez, on me cherche des noises quand je travaille, quand je ne travaile pas on est content. Ma principale de cette année n'arrête pas de me chercher des noises alors que je fais un service volontaire ou bénévole chez elle, donc pas obligatoire... Sans faire de service, et sans avoir de remplacement, je recevrais mon salaire intégral quand-même.]
Suite : "Mlle NN, ..."
(TZR de français affectée au CDI de l'établissement (contrairement à moi, qui ne suis sensée qu'y attendre des suppléances et qui y ai travaillé plus qu'elle au CDI, par exemple je répertoriais les articles des revues qui arrivaient dans l'ordinateur, ce que ma collègue trouvait inutile)
"TZR de lettres sur poste de documentation.."
Ah! Elle ! La TZR de lettres, elle était affectée et "postée", contrairement à moi... par ailleurs, je ne commettais pas de faute professionnelle en quittant le CDI dans la mesure où ce jour de la semaine, nous étions deux, et où j'étais aussi sensée attendre chez moi des remplacements en allemand,
"... m'a confié que Mme domino accusait Mr NN (l'agent)..."
(En fait, c'était elle qui lorsque j'ai dit que c'était le jardinier qui avait fait la fermeture du collège à la place de la concierge, m'a dit que c'était sûrement lui qui avait pris le paperboard et mes feuilles, et ce n'est pas moi, qui évoquait seulement le fait que c'est lui qui était passé faire la fermeture, sans rien insinuer...)
"...d'avoir volé ses documents d'exposition sur mon ordre.."
Invention de l'une et de l'autre, : je n'ai jamais dit que la principale aurait dit à l'agent de voler les documents... où ont-elles été chercher cela ?
"En fait de vol, Mlle NN (TZR de français) a retrouvé l'ensemble des documents dans une armoire au CDI".
En fait, et je vous l'ai déjà dit, ma collègue les a retrouvés l'après-midi du lundi, alors que les nous avions cherché ensemble et avions regardé sans rien trouver dans l'armoire où elle me les a montré deux semaines plus tard, j'avais repris le travail un mardi où elle était en stage et j'ai travaillé ensuite le jeudi pour rattraper les journées non faites que selon mon statut je n'avais pas à faire, je n'avais aucune journée à faire dans ce collète de toute l'année,
Les documents, comme je vous l'ai déjà dit dans d'autres notes, ont pu être remis entre midi, tous les surveillants, professeurs et agents possédant la clef qui ouvre trois portes sur les quatre du CDI et en particulier celles de la salle de lecture.
De deux choses l'une, ou la principale ment en disant que ma collègue aurait dit que j'aurais accusé le jardinier, alors que c'était ma collègue elle-même qui penchait dans ce sens, ou alors ma collègue joue un drôle de rôle dans cette histoire : "Me faire débarasser le plancher de ce collège où l'on trouvait que je restais trop longtemps le soir" et dans ce cas elle serait de connivence avec l'agent de maîtrise qui lui fait la bise depuis ces évènements. Elle-même m'ayant dit qu'elle lui fait la bise depuis le début de l'année, alors que j'ai remarqué que ce n'était pas vrai, encore lorsque les ouvrier ont installé les grilles pour l'exposition sur un pays d'Afrique vers février, il ne lui fasait pas la bise.
Par ailleurs, j'avais justement téléphoné aux ouvriers l'après-midi juste avant la "disparition" pour qu'ils installent les charnières des grilles pour qu'elles tiennent ensemble pour l'expostion. C'était peut-être trop de travail pour eux. Ou alors l'ouvrier ne faisait pas le tour du collège, mais avait regardé les grilles et dans ce cas il aurait peut-être changé de place les papiers qui étaient sur la table juste devant et le gênait pour installer les charnières. Je me demande s'il était pas plutôt venu installer les charnières des grilles d'exposition.
Mon exposition était sur l'allemand et l'Europe et nous savons que beaucoup d'habitants de Petite Ville sont anti-européens des deux bords. Comme je fais partie d'association de jumelage à tendance européenne, voilà peut-être où le bât blesse, mais comment faire autrement lorsqu'on est professeur d'allemand ? Bien que j'ai des collègues d'allemand qui sont anti-européens je me demande comment on peut ne pas être pro-européen quand on est prof d'allemand, et je me demande comment on peut passer outre le fait que l'Europe a été faire au lendemain de la guerre pour éviter une nouvelle guerre entre la France et l'Allemagne (guerres que les américains appellent "European wars"), et ignorer la phrase de Jean Monnet que je venais d'installer sur les grilles quand les évènements se sont passés : "Faire l'Europe, c'est faire la Paix".
domino
13:20 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : harcèlement moral, enseignement, politique
jeudi, 21 juin 2007
Du harcèlement de la médecine (suite)...
Vous avez tous lu dans mon i-grimoire, l'hstoire de mes convocations à la médecine du rectorat qui m'avait mise abusivement en congé (congé maladie dans le sens de congédier, mettre à pieds), alors que j'avais rendu d'immenses services au lycée où j'étais alors, le proviseur de ce lycée et l'inspecteur m'avaient fait mettre en congé par l'intremédiaire de la médecine du rectorat.
Vous avez tous lu récemment dans mon i-grimoire, l'histoire de la disparition du paper-board du CDI et la réaction de la principale qui m'a dit que ce serait moi qui ne saurait plus où je mettrais les affaires.
Vous lirez ici aujourd'hui l'histoire de la nouvelle convocation à la médecine du rectorat pour mise en congé suite à l'histoire du paperboard, soi disant que j'éprouverais des problèmes 'de santé". Il n'est heureusement pas précisé "dans l'exercice de vos fonctions'. Comment le dire puisque j'ai exercé toute l'année des fonctions qui ne sont pas les miennes...
A ce propos :
- Je n'étais pas nommée par le recteur en documentation, comme ma collègue également TZR, mais j'étais nommée par ma principale de mon collège de rattachement en documentation dans son CDI, en attendant des suppléances, Donc sans obligation de service, car je n'avais pas de V.S. (= emploi du temps déclaré au rectorat en début d'année scolaire).
- Cependant ma collègue nommée à son horaire statutaire de 18 heures par semaine, a apprécié ma présence, et quand je lui ai dit : "J'espère que je ne t'ai pas trop ennuyée tout au long de cette année", elle m'a répondu.. que finalement si je n'avais pas été là, elle aurait quand même eu du mal à s'en sortir avec 18 heures par semaine, et qu'elle n'aurait pas réussi à tout faire, si je n'avais pas été là, et que finalement ma présence lui a été utile. C'est vrai que en plus de l'accueil des élèves, j'ai abattu beaucoup de boulot dans ce CDI (traduisez médiathèque scolaire). Quand j'étais seule comme presque tous les Vendredi, j'avais des élèves toute le journée, ce qui m'empêchait de faire le reste du travail (rangement, classements, etc...), car il fallait toujorus répondre à leurs besoins, il n'y avait que les troisième qui étaient suffisamment indépendants pour travailler seuls. Ce soir, alors que nous partions toutes les deux "en vacances", un élève est encore venu me demander si je les prenais de 16h30 à 17h30 pour préparer l'exposition, qu'il avait encore des documents sur la Pologne. Je lui ai dit d'amener ses documents à la CPE et qu'elle le mettra dans l'exposition qui ne sera qu'un cahier. Il se faisait aider par sa mère et à cause de cette principale qui ne peut plus me voir, tout cela va tourner court.
Avec l'histoire du paper-board et avec cette convocation (hors année scolaire, pour que les autres ne puissent pas réagir, mais ils sont déjà au courant), on a cassé quelque chose dans le bon déroulement des activités du collège.
Encore cette après-midi beaucoup d'élèves sont venus mandatés par leur profs taper des affiches d'exposition. Ils auraient bien aimé encore travailler une heure de plus, mais ma collègue rendait notre clef commune (nous n'avions qu'une clef pour deux) à 16h 30.
Finalement malgré les quelques critiques que j'ai eu à formuler sur son esprit trop fonctionnaire (ne pas faire une minute de plus que l'horaire demandé), nous avons fait bon ménage, un peu comme mère et fille, quand même et notre CDI (= médiathèque scoaire) a toujours été tenu d'une façon impeccable, joli avec ses chaises d'un bleu vert, ses jolis meubles, mes dessins d'animaux (que j'ai repris) et sa joli vue sur les jardins du collège, et les arbres des maisons environnantes avec les pins parasols qui font penser au Sud. Quelle différence avec le désordre qui règne dans la salle des profs !
Si je suis rattachée là l'année prochaine, je me retrouverai peut-être avec une personne méchante, irascible. Pour le moment le mouvement des documentaistes ayant eu lieu hier, personne n'a encore été nommé alors j'y serai peut-être seule.
Ma collègue a en effet obtenu un vrai poste de français, pas un poste de TZR, à 4 km de chez elle. A l'âge de 26 ans, et moi à 56 ans, je suis depuis 5 ans TZR, elle avait 33 points pour sa mutation et j'en avais quelques 240 points, mais en allemand les postes sont plus difficiles à obtenir. Les mesures de carte scolaire ont automatiquement 1500 poinrs d'avance sur nous. Cela fait 5 ans que je demande un poste (choisi bien sûr) dans ma zone (où se situe mon domicile conjugal et le travail de mon époux), 5 ans que c'est niet.
Vous vous souvenez de la médecine du rectorat en septembre 2002 ?
- Vous allez couper vos cheveux !
- Vous allez vous teindre les cheveux en roux !
(Atteinte à l'intégrité physique de la personne humaine, même couper une mêche de cheveux à quelqu'un sans son consentement est répréhensible par la loi.)
- Tenez je vous fais un plan pour aller chez tel disquaire acheté tel disque (Bach, Herreweghe, je ne sais plus quelle chanteuse...), cela vous fera du bien, vous connaissez la musique baroque (à l'époque je faisais du chant baroque amateur! La médecine du rectorat m'a fait abandonner involontairement la musique. Quand j'ai entendu dire que le chant baroque, c'était uniquement tel chef d'orchestre, aussi grands que soient ses mérites, j'ai été dégoûtée !
Bref, vous voyez comment le harcèlement moral de la médecine du rectorat continue. Ce harcèlement dont je vous avais fait part il y a déjà un an en racontant les déboires que j'ai eu avec elle il y a cinq ans. Mais personne n'a essayé de faire quelque chose contre. Et tant que personne ne s'insurgera contre ce que l'on fait subir à une personne isolée comme moi, alors que même les syndicats ne comprennent rien au film, ces interdictions professionelles contre les gens dits de gauche, telles que celles que l'on trouvait en Allemagne lors de la chasse aux sorcières des années 60/70, continueront, ces exactions contre des professeurs aimés des élèves, des professeurs qui font pas de politique en classe (nous vivons en Union Européenne, c'est un fait, alors pourquoi vouloir empêcher une exposition sur l'Europe? D'ailleurs l'Europe est dans les programmes d'histoire et d'intruction civique).
Autre chose :
Je me demande pourquoi la prof d'allemand titulaire du poste de ce collège est en congé maladie : pour soigner son mari malade comme on le raconte en ville, ou parce qu'elle s'était disputée avec la principale ?????
domino
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Formes de lutte (que n'emploieront jamais des collègues couards) :
- grève du pot de fin d'année,
- grève de la distribution des prix (pour les élèves les plus méritants),
- grève de la journée Portes Ouvertes.
- zèle : rester ensemble dans les collèges et lycée systématiquement une heure après l'heure de fermeture.
- zèle : donner un devoir assez long aux élèves dans chaque matière tous les jours.
domino
23:15 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, société, médecine du rectorat, harcèlement moral, TZR en documentation
jeudi, 07 juin 2007
Vite... Vite....
Dans l'enseignement l'efficacité se mesure à la vitesse du travail : au moins vous restez dans l'établissement, au plus vous êtes considérés comme efficaces. Au plus vos élèves travaillent vite et ingurgitent vite les programmes, au plus vous êtes efficaces, même s'ils n'ont rien compris. Du moment que le programme est fait, en le moins de temps possible, vous même travaillant très vite, et sortant de l'établissement dans la minute qui suit votre heure de cours, dans la minute, que dis-je, dans les trente secondes, vous êtes efficaces !
C'est pas moi qui l'ai dit, mais c'est la médecine du rectorat, et mon proviseur d'il y a cinq ans.
domino
06:20 Publié dans enseignement (3), Pensées et Aphorismes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, harcèlement moral