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mercredi, 23 juin 2010

Doofie cherche encore quelque chose...

(Doofie et Dummie sont encore attablées, leur peur des bruits et craquements dans la maison a cessé, elles ont été rassénérées par la musique, la musicothérapie fait aussi son oeuvre et couvre les craquements et plocs ambiants.)

Doofie : Tu sais, Dummie, je viens de penser à quelque chose...

Dummie : Qui donc?

Doofie : Hier soir, j'avais mis des livres à monter dans l'escalier.

Dummie : Ah bon, ça a encore disparu.

Doofie : Je les avais mis sur l'escalier, avec sur la marche en dessous les prosperctus  à  jeter, et au dessus des papiers à jeter, j'avais placé, soit un classeur d'une certaine importance, soit un vêtement, je ne sais plus bien....

Dummie : Et tout cela a disparu...

Doofie : Non, c'était un classeur, pas un vêtement...  ou quelque chose d'assez épais. Les prospectus à jeter, que j'avais regardé et trié avant -ce sont ceux que l'on met toutes les semaines dans les boîtes aux lettres, je les ai mis dans le sachet qui est suspendu sur le mur de l'escalier de la cave et est une étape intermédiaire avec la poubelle à papiers qui est au garage. C'est à cause du tri sélectif.

(Le garage est au même niveau que la cave, pour ceux qui ne connaissent pas la maison de Doofie).

Dummie : Donc, les prospectus sont à leur place, prêts à quitter la maison.

Doofie : Si on veut, c'est Schnelly qui s'occupe des poubelles, mais il sort la poubelle à papiers, cartons et emballages, une fois par mois. Celle avec les denrées périssables, il la sort toutes les semaines.

Dummie : Bon, pour les prospectus, c'est réglé. Et le reste, les livres.

Doofie : J'ai regardé en haut, rien n'a changé depuis deux jours sauf l'aspect du lit et des objets de salle de bain, bref les deux pièces qu'on emploie tous les jours. J'ai regardé du côté de Schnelly pour le lit, et je ne les ai pas vus non plus. Et en bas non plus. C'était des affaires que j'avais trié hier, parce qu'elles étaient en bas et je voulais les monter, mais Schnelly est arrivé avant que je ne les monte.

Dummie : Alors, l'esprit farceur, c'est Schnelly.

Doofie : Je ne pense pas qu'il soit si farceur que cela, il  a paut-être monté les affaires pour m'aider, mais dans ce cas là, je devrai voir où il les a mises, car quand il fait cela, il les met au-dessus de tout.

Dummie : Schnelly les a peut-être mise à un auter endroit. Elle le gênait pour monter, alors, il les a reposé dans un coin du rez-de-chaussée.

Doofie : Si je trie des affaires que je monte, ce n'est pas pour les retrier une deuxième fois, parce qu'elles sont revenues en bas....

Dummie : Il les a peut-être mise à la cave...

Doofie : Dans ce cas, je devrais les remonter de deux étages... Tiens, j'entends justement des bruits à la cave. Je voulais aller y chercher le linge pour le pendre.

Dummie : La machine à laver est dans la cave...

Doofie : Dans le garage au niveau de la cave....

Dummie : Et les cordes à linge?

Doofie : Le séchoir est à l'étage. J'entends dub bruit à la cave, pouvu que personne ne prenne ma lessibe...

Dummie : C'est déjà arrivé?

Doofie : Oui, il y a aussi un séchoir à la cave, et parfois du linge pendu là disparaît!

Dummie : On peut y entrer de dehors?

Doofie : Il y a une soupirail avec une grille, c'est trop petit pour qu'un être humain rentre par là.

Dummie : C'est peut-être un petit animal ou une pie.

Doofie : Les pies ne prennent que ce qui brille et il n'y en a pas par ici, par contre il y en avait beucoup dans la ville où habitait ma mère.  Il  y en a aussi autour de l'université.

Dummie :  Elles volent peut-être les copies...

Doofie : Non, elles ne volent que ce qui brillent, elles ne volent ni les papiers, ni les habits.  MAis elles sont belles, ce sont de grands oiseaux au ventre blanc et à la queue bleutée.

Dummie : Oh, ça sonne, Schnelly est là...

Doofie : Déjà, vite, vite, il n'y a pas de choses qui traînent dans l'escalier?

Dummie : Bon, je vais aller rejoindre Quicky chez moi, il doit être rentré aussi...

Doofie : Pour les affaires qui ne sont plus là, je ne dirai rien à Schnelly,sinon  il va hurler : Ce n'est pas moi!  Alors, je préfère ne pas le véxer.

domino

(Toute ressemblance avec la réalité est totalement fortuite)

 

 

 

dimanche, 13 septembre 2009

Le rêve de Schnelly

Le rêve de Schnelly

Doofie raconte ceci à son amie Foolie :

Hier dans la voiture, Schnelly m'a raconté un rêve qu'il a fait la nuit précédente.

Ah!, dit Foolie.

Doofie : Tu veux que je te le raconte?

Foolie : Si tu veux, pourquoi pas?

Doofie : Il m'a dit avoir rêvé de ses ancêtres.

Foolie : Ah! Il sait comment ils étaient...

Doofie : Et bien, c'est-à-dire, qu'il ne s'agit que de son père, de sa mère et de sa grand-mère maternelle.

Foolie : Ah! Et ils sont vieux?

Doofie : Non, ils sont tous morts.

Foolie : Condoléances!

Doofie : Mais, ils sont morts depuis longtemps!

Foolie : Ah bon, et ils lui apparaissent en rêve?

Doofie : Oui! D'abord il a rêvé de son père.

Foolie : Ah!

Doofie : Schnelly était dans notre lit. D'un seul coup son père est monté de la cave. Il est monté quatre à quatre les escaliers et il a jeté un immmense tas de linge qui était suspendu au séchoir de la cave sur Schnelly et il a dit  en français : "Tu ne vas pas assez vite pour monter le linge!"

Foolie : Ah! Et qu'est-ce que tu as dit?

Doofie : Que son père, c'était moi, en effet il y a plein de linge qui sèche à la cave, j'ai demandé de le remonter et il ne l'a pas encore fait!

Foolie : C'est vraiment qu'il se fait un complexe de culpabilité, s'il en rêve!

Doofie : Ensuite il a rêvé de sa mère. sa mère était au rez-de-chaussée dans la maison, et Schnelly rentrait des courses. Sa mère lui a ouvert la porte et a dit  en allemand : "Tu n'as pas encore amené ce qu'il fallait!"

Foolie : Et c'est vrai qu'il ne ramène pas ce qu'il faut?

Doofie : Oui, en fait on mange toujours la même chose parce qu'il amène  toujours les mêmes aliments.

Foolie : Ah bon! C'est vrai que ce n'est pas bon!

Doofie : Puis,  il a rêvé de sa grand-mère maternelle, sa grand-mère allemande et sarroise. Elle lui a parlé en sarrois et dit qu'il était "ein langsamer Bub".

Foolie  : Un garçon lent! Comme cela ressemble à mon Langsamer Mann!

Doofie : En tout cas, c'est marrant ce rêve. On dirait que je lui ai parlé en me cachant sous les traits de ses ancêtres.

Foolie  Et tu étais éveillée?

Doofie : Bien sûr que non, je dormais! Mais ce qui est marrant est que ses ancêtres lui faisaient des reproches que je lui fais en ce moment!

Foolie : En effet, c'est drôle, mais il devait avoir un complexe de culpabilité pour tout ce qui touche au ménage.

Doofie : C'est bien possible, mais ils sont drôles, ses rêves.... Ils collent vraiment à la réalité. ... Mais en fait, c'est mieux que ce soit ses ancêtres qui lui disent plutôt que moi, parce que ses ancêtres ont plus de poids que moi...

Foolie : A trois, ils sont plus lourds que toi?

Doofie : Non, je parle au sens figuré bien sûr, ils sont plus écoutés que moi!

(Doofie, Foolie et Schnelly sont des personnages de théâtre, toute ressemblance avec la réalité.... Mais non, c'est le mari de domino qui a vraiment fait ces rêves là!)

domino

 

lundi, 27 juillet 2009

Le marchand de sable

Hier soir, Dummie s'endormait sur son ordinateur. Quand Dummie dort debout, quand le marchand de sable passe, le soir vers 11 heures par exemple, Dummie pique du nez, et commence à rêver, ce qui ne dure pas bien longtemps, car le nez de Dummie piquant vers le bas de plus en plus, il finit par y avoir un moment, ou la tête ensomeillée devenant plus lourde que la partie du corps située au dessus de la chaise, Dummie atteint un point de déséquilibre des forces physiques qui par le phénomène d'attraction terrestre la relie au sol, que la tête ensommeillée, attirée au niveau du front par cette attraction, tombe lourdement et par un mouvement de survie, Dummie se réveille en sursaut et les bras écartés, rétablit son équilibre, évitant que la tête n'enter en contact avec l'ordinateur, faisant valser celui-ci.

Bon, Dummie s'endormant sur son ordinateur a rêvé de ceci :

Elle était dans une espèce de jardin labyrinthe avec des haies externes qui formaient un carré ou un rectangle et des haies internes qui délimitaient des carrés, des trous se trouvant dans les haies internes  permettant de passer d'un carré à l'autre. Dummie se trouvait dans un coin du grand carré, donc, les haies, n'étaient trouées qu'à deux endroits, pour laisser la place pour passer dans les petits carrés adjacents. Elle était debout, au milieu, et des tombes étaient placés le long des côtés troués et les deux rangées formaient un coin, c'était des tombes avec  de l'herbe et des fleurs, un peu comme les tombes allemandes, sans pierres tombales. Dummie se dirigea vers ces tombes, ou plutôt ces tombes se dirigeaient vers elle. Soudain elle eut l'impression que quelqu'un la prenait dans ses bras et la posa de l'autre côté du carré, ou deux rangées herbeuses dont la largeur faisait la longueur d'une tombe s'étaient formées le long de la haie, séparées du reste de l'herbe par une ligne blanche. On pris Dummie, comme on prend un enfant dans ses bras, mais Dummie n'est pas une enfant, et la personne qui la portait était invisible, et on la posa sur une des tombes pas enore creusée.

A ce moment Dummie se réveilla en sursaut, car elle piquait du nez, et sa tête ensoméillait atteignait le point critique où le corps perd l'équilibre, en se disant "Non, je ne veux pas mourir!" Puis elle bailla, chassa le sommeil, monta l'escalier et alla se coucher.

Ce matin, elle se réveilla, et se rendormit, deux fois... La troisième fois, elle rêva avant de se réveiller définitivement, pour la journée, et alors elle fit un cauchemar, elle se vit elle même en train d'écrire, à une table, il y avait derrière elle un géant gigantesque, horrible, qui faisait bien 3 mêtres de haut, ce n'était pas le géant sympa et souriant de sa ville, il était derrière elle, et avait un air menaçant, tout en la regardant, il était vêtu d'une redingote de style ancien, bleu foncée, ou noire, avec deux rangées de boutons dorés. Un peu comme on en portait au XIXème siècle!

Il parait que Dummie voudrait qu'on la fasse en géante, et qu'on la marie avec le géant sympa de sa ville, mais Dummie ne veut absolument pas être mariée à Reuze Papa, d'ailleurs, Reuze Papa doit déjà avoir une femme et des enfants. Mais ça, c'est une élucubration de domino, l'auteur du roman, il faut dire que Dummie au moment où elle s'est vue écrire (ou jouer de la guitare, elle ne sait plus trop), a ressenti ce géant comme menaçant, et se réveillant en sursaut et pensant au rêve d'hier, a pensé que c'était l'Ankou.

Dummie maintenant a peur, elle mesure chacun de ses pas, pour ne pas tomber, fait attention dans les escaliers, marche doucement en regardant où elle met les pieds, a décidé de ne pas sortir pendant trois jours, car généralement ses rêves prémonitoires, comme celui où elle a rêvé d'un sujet d'examen, se réalisent dans les trois jours.

Dummie s'est dit qu'il valait mieux le drie à domino qui fait sa biographie pour que ceci ne se réalise pas.

domino

samedi, 30 août 2008

Pédanterie ou préciosité... (1)

Je viens d'une grande métropole régionale, voire une mégalopole, et j'habitais dans une ville satellite de cette grande métropole.

Quand on parlait de pédanterie ou de préciosité, on parlait d'une part de la ville voisine et jumelle par le même nombre d'habitants, située à un bout de la mégalopole, et de la capitale de la mégalopole située à l'autre bout.

En 1968, cela faisait belle lurette que les jeunes filles de ma ville industrieuse étaient en pantalon, voire même en jeans, pendant leurs loisirs, bien que la jupe restait obligatoire dans les écoles, et que les dames commençaient aussi à porter le pantalon quand elles allaient faire leurs courses.

C'est alors que je mis mon nez pour la première fois dans la capitale de la mégalopole régionale dont la largeur n'égale que la hauteur de la ville de Mexico (hauteur sur la carte, pas l'altitude).

La première fois pour acheter ma première guitare, la deuxième fois pour passer mon bac.

Quand je suis allée passer mon bac, pas de problème, j'étais habillée (jétais très mince à l'époque) dans un petit tailleur gris, que l'on m'avait acheté trois mois plus tôt pour mon séjour de Pâques en Allemagne.

Par contre, lorsque j'étais allée acheter ma guitare avec ma mère, j'avais un pantalon de velours cotelé de couleur jean, avec la veste assortie, un costume que m'avait taillé la mère de ma meilleure amie (aujourd'hui décédée), parce que nous voulions être habillées pareillement, et le pull de laine mélangée jaune peut-être, à moins que nous ne l'ayons tricoté que l'année suivante quand j'étais en fac à Capitale de Grrande Métropole Régiionale, et elle à l'école d'infirmières, en tout cas, comme nous avions toutes les deux des soeurs qui étaient encore des marmots (des marmottes, ça ne se dit pas!), on voulait être soeurs, et on avait trouvé la soeur de notre âge ou presque, elle était onze mois plus jeune que moi. Les pulls identiques, on se les tricotait nous-mêmes. Pendant le mois où on avait le même âge, on disait à tout le monde qu'on était jumelles.

Bon, à cette époque là, je ne vivais plus dans la grande villes industrieuses dont les clochers chantaient avec les cloches de Rhymney* :

"Is there hope for the future?"

Mais dans Ville Moyenne, qui ne faisait qu'un avec elle, car elles étaient réunies par leur Beau Jardin.

Bref, tout ça pour vous dire, que quand je suis arrivée à Capitale de la Métropole Régionale, toutes les dames et jeunes filles étaient en jupe, et j'étais la seule à des kilomètres à la ronde à être en pantalon, je me sentais honteuse, mais honteuse, mais petite, mais petite.... vraiment une campagnarde d'une grande ville, arrivée dans une grande ville.... snob.

Bon, l'achat de la guitare, ce sera pour une autre fois, j'y ai laissé toutes mes économies, tous mes "dimanches" accumulés pendant deux ans... mais ça m'a rendu heureuse.

Tout ça pour vous dire que même dans les villes, il y avait  des différences, même entre la classe moyenne d'une ville et celle d'une autre ville, il y avait des différences, des villes travailleuses et des villes snobs, dont les clochers chantaient avec ceux de Wye de leurs cloches d'argent:

"Why so weary, sisters, why?"

Là-bas tout était différent.

Durant mon adolescence, je suis allée très rarement à Capitale de Grande Métropole Régionale...  Parfois on passait en revenant de la mer, le jour de ¨Noël, car le jour de Noël mon père voulaitt toujours aller manger des moules au bord de la mer, c'était devenu une tradition familiale, on mangeait des moules et pas des huîtres, réservées au Nouvel An. Et on revenait en passant en voiture par la Grand'Pkace de la Capitale Régionale pour se mettre plein de lumières féériques de Noël dans les yeux.

Dans mon adolescence on a rendu quelques visites familiales à une lointaine cousine de mon père. Ce furent mes seules incursions dans Capitale Régionale avant que je devienne étudiante.

Ma grand-mère maternelle avait des cousins qui habitaient dans la Wye régionale... : ils étaient d'une autre société que nous, je crois même que c'était des cousins de son premier mari, celui qui avait été tué en 1916 et était le père de mon père :

On disait que ce grand-père que nous n'avions pas connu était d'un milieu plus aisé que ma grand-mère, qui était, à l'époque de ma naissance, ouvrière du textile.

On allait chez ces cousins quand j'étais adolescente parfois, trop rarement, dans les visites d'étrennes du dimanche après-midi, souvent en janvier.

Ils habitaient dans une longue rue rectiligne au bout de notre Wye, une rue avec de hautes maisons altières, toutes différentes les unes des autres, avec des pignons sculptés, et des mosaïques entre les étages. Ce qu'on appelait une maiosn de maîtres. J'étais en admiration devant les deux cousins un peu plus agés que nous, leur langage, leur classe, j'étais secrètement amoureuse de ce cousin éloigné qui avait des sourcis en accent circonflexe comme les miens, et quand la cousine est partie en Allemagne, se marier avec un bavarois, j'étais toute en admiration pour cette cousine qui habitait en Allemagne, et dont on parlait si élogieusement.

Quant à la cousine qui était entre l'âge de mes parents et celui de mes grands-parents , elle était veuve, son mari avait apparemment fait partie d'une armée coloniale, parce que sa maison était emplie de trophées exotiques, amenés de continents lointains, tels l'Afrique ou  l'Asie. Elle parlait plus de ses enfants que de son passé, ses enfants qui venaient faire une apparition dans le salon, pendant qu'on écoutait sagement.

De cette grande maison, on ne connaissait que le couloir et le salon, car on y entrait tout de suite par une porte sur le coté du couloir, dans ce salon aux placards de bois sculpté, où trônaient quelques objets exotiques enfermés dans des vitrines qui ressemblaient à celles des musées.

On y parlait avec un accent épuré des consonances régionales que le français avait dans grande ville industrieuse où je suis née.

C'est cela que j'appelle la préciosité que j'ai retrouvée en milieu semi-rural et qui n'a rien à voir avec de la pédanterie. Car ces chez gens-là, la préciosité n'est jamais affectée.

 Mon père quand on allait là-bas , lorsqu'il parlait, ouvrait bien ses "a"  prenant l'intonation précieuce des gens de Ville Industrieuse, une intonation qu'il n'avait pas lorsqu'il discutait avec le reste de la famille, ou quand nous étions seuls à la maison, mais le même accent qu'il avait quand j'étais petite, et que des collègues venaient dans le petit salon de notre maison ouvrière, toute pareille aux autres, collée à la voie ferrée dans ville industrieuse, pour parler travail.

On sentait, que soudain, il manquait de naturel, quant à ma mère qui bien que d'un père local de ville industrieuse avait vécu jusqu'à l'âge de 13 ans à Paris et dans la région parisienne, elle n'avait aucun mal à adapter son accent, juste qu'elle ne parlait pas beaucoup et se sentait aussi mal à l'aise que nous qui écoutions bouche bée, dans ce salon de musée, les hisoires de la cousine qui pleurait la mort de son défunt mari et racontait ses aventures, dont je ne me souviens pas plus que d'un roman lu trop rapidement...

(pour collecter mes mémoires, il va falloir piocher dans plusieurs blogs)

 Voir le 2 pour la préciosité rurale....

domino

* Bells of Rhymney : chansons sur les cités minnières du pays de Galles, dont les cloches des villes d'industrie reçoivent les moqueries des cloches de Wye, la ville riche.