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dimanche, 18 janvier 2015

Un copain pas gentil

Roman-théâtre

Décidément, la petite fille de Doofie n'a pas plus de chance que Doofie qui avait rencontré Schnelly à 18 ans et demi. Sa petite fille vit avec son copain. Mais ele est comme Doofie, elle ne trouve plus ses affaires.

Doofie : Tu sais, Dummie, ma petite fille s'est encore disputée avec son copain aujoud'hui. A cause d'une rame de papier. Ou plutôt de deux rames de papier.

Dummie : C'est idiot!

Doofie : Non, ce n'est pas idiot. Car les choses dont elle va avoir besoin disparaissent tout le temps!

Dummie : Elle tient de sa mère-grand!

Doofie : Oui, c'est normal, mais ce qui me fait peur, c'est qu'elle commence déjà à se faire harceler.

Dummie : La pauvre! Il faut qu'elle se débarasse vite de ce copain.

Doofie : Oui, mais il risque de garder ses livres et ses affaires d'études, et alors, ele sera roulée et n'aura plus rien à elle et devra tout racheter.

Dummie : Oui, tu crois vraiment.

Doofie : Tiens.. ce matin elle se fait d'abord la réflexion. Elle a besoin de papier et elle avait il y a deux jours une rame pleine et une rame à peine entamée par -dessus. Posées sur sa valise dans l'entrée. Et aujourd'hui, elle en a besoin et ne les voit plus.

Dummie : Ah bon, son copain les a peut-êtrre mis dans une autre pièce.

Doofie : Elle cherche dans les autres pièces et ne trouve pas...

Dummie : Il était à lui ou à elle le papier ?

Doofie : A elle, mais s'il s'en est servi, il aurait dû le lui dire.

Dummie : Et elle est restée là sans papier, bloquée dans son travail ou elle a dit quelque chose.

Doofie : Elle a dit : c'est bizarre, j'étais sûre d'avoir vue du papier là, deux rames dont une un peu entamée, et elles ne sont plus là.

Dummie : Elle  a dû attendre ?

Doofie : C'est dimanche, s'il a utilisé le papier, ele devra attendre lundi après-midi pour en racheter, s'est-elle dit. Mais il a dit qu'il en avait des rames à la cave. Il n'a pas été les chercher tout de suite, il afait le repas de midi et la vaisselle, avant d'aller chercher du papier.

Dummie : Il a le temps de faire tout cela?

Doofie : Il est au chomâge. Ma petite fille est étudiante, en pleins examens, elle a du travail.

Dummie : Trois heures plus tard, il est revenu de la cave avec des victuailles, ma petite fille lui a demandé s'il avait l'intention de lui remonter son papier. Il est redecendu et a monté deux rames de papier qui n'étaient pas entamée, d'une autre marque, et elle a dit : et la rame de papier entamée, celle qui était là.

Dummie : Pourquoi elle insiste? Puisqu'il lui a donné deux autres rames.

Doofie :Ce sont aussi les siennes.  Ma petite fille est étudiante salariée. Et elle est comme moi, elle n'aime pas que les choses disparaissent!

Dummie : Oui, et alors, qu'est ce qu'il a dit.

Doofie : Qu'elle s'en était déjà servie. Et elle, est persuadée que c'est faut. Elle n'a pas touché à ce type de papiers depuis 15 jours. Elle lui a dit que ce n'était pas vrai et qu'il voulait faire croire qu'elle était folle et ne savait pas ce qu'elle faisait. Avant de descendre, il avait dit que le papier était dans son coin travail, qu'ele  vient d'avoir bien rangé et il a voulu regarder lui-même et s'apprêtait déjà à tirer sur les livres au hasard. Et à les mélanger!

Dummie : Encore un comme Schnelly.

Doofie : Elle a ressenti cela comme une violation de territoire. Et comme s'il allait voler les livres dont elle se sert en ce moment, pour les donner à une copine qui fait les mêmes études qu'elle. Elle lui a dit : J'allais ranger un livre, mais je ne peux plus bouger de mon coin si tu commences à y toucher, il faut que je surveille si tu ne prends rien.

Dummie : Et qu'a-t-il dit?

Doofie : Il s'est fâché. Il a dit qu'elle faisait encore des accusations contre lui, qu'elle était méchante, il est parti en maugréant dans sa chambre. Et en pleurant des larmes de crocrodile. Et en se frappant la figure comme s'il était au mur des lamentations. Alors, elle a dit : Maintenant tu te frappes toi-même et tu veux faire croire que c'est moi, si jamais tu en meurs, moi j'irais en prsion, alors que je suis innocente.

Dummie : Il est bizarre, se frapper soi-même?

Doofie : Schnelly fait aussi quelquefois cela. Quand il monte avec ses larmes de crocrodile, il redecend en souriant et retreouve quelquefois soudain la chose disparue, exactement comme le copain de ma petite fille vient de la faire. Tiens un SMS : il est redescendu et a rigolé car ils étaient dans la salle de séjour.

Dummie : Il est bizarre son copain, moi j'en changerais avant qu'il ne soit trop tard.

Doofie : Et ses affaires ?

Dummie : Elle n'a qu'à les ramener dans son ancienne chambre, chez ses parents, petit à petit.

Doofie : Pas ici! Schnelly serait cpapble de les changer de place.... en même temps que les miennes!

Dummie : Oui, telle grand-père, tel beau petit-fils!

Doofie : Entre temps, il voulait chercher ses rames de papier dans sa valise à elle. Elle s'y est farouchement opposé, elle avait peur qu'il fasse encore disparaitre les cours qu'elle doit étudier pour demain, elle a caché plein de choses utiles à elle-même et inutiles à lui dans sa valise...

Dummie : Oui, elle a peur comme toi, qu'il chantge tout de place, ou qu'il prête ses affaire à qulqu'un d'autre. Encore un qui ne sait pas refuser aux autres ce qu'on lui demande. Au détriment de sa future femme.

Doofie : Il ne l'aura pas comme femme. Il ne faut pas qu'elle se fasse avoir comme moi. Elle n'a qu'à ramener ses livres précieux chez ses parents en disant que c'est à eux. Et ne plus rien acheter de nouveau tant qu'elle n'est pas rentrée chez elle.

Dummie : Oui, petit à petit elle a qu'à tout "rendre" à ses parents. Comme cela, il ne pourra rien prendre de ses affaires à elle, tant qu'il est encore temps. Mais elle est peut-être amoureuse de lui ç ce moment là, il faudra qu'ele renonce à son amour, sinon, elle ne sera amais heureuse.

Doofie : Et puis, s'il commence comme cela, c'est embêtant. Parce que moi, au début du mariage (cela fait quarante ans que l'on est mariés), je n'ai pas eu de problèmes de ce genre. Ce genre de problème n'est apparu que vers 2002. C'est a dire il y a environ 12 ans. Avant, je n'avais eu que quelques problèmes de livres que 'j'avais prêté moi-même et que l'on ne m'a pas rendus, comme mon livre d'anglais de Terminale avec le texte de Langston Hughes, un texte que j'adorais et que je n'ai plus retrouvé ailleurrs. Et la petite fontaine qui a disparu lors du déménagemetn d'il y a 22 ans. Puis un jour, je n'ai plus trouvé ce qui servait à un mémoire que j'écrivais et qui avait été déposé sur un fauteuil dnas l'un des bureau du haut. Le placard derrière qui était pleine des livres de mes études et de mes débuts de professeur a été à moitié vidé sans que je m'en aperçoive. Le travail de mon C2 de 1973, 70 pages d'analyse linguistique ont disparu de même que les fiches qu'avaient écrites mon conseiller pédagogique pendant mon stage de CAPES, je sais pourtant exactement l'endroit où  c'était dans l'armoier, de même que ma collection de "Die Deutschen". Le livre sur lequel je faisais un deuxième mémoire, très rare et épuisé a disparu aussi.

Dummie : En fait, tout ce qui disparaissait, c'était les preuves que tu avais fait ce stage, les preuves de ton C2 de linguistique, ce dont tu avais besoin pour faire un nouveau mémoire, bref, queqlu'un en a voulu à ta carrière...

Doofie : Mais qui? Peu de temps auparava de la fenêtre ouverte à taper son mémoire, un collègue qui faisait une thèse, s'était fait voler l'ordinateur sur laquelle il la tapait d'une façon rocambolesque. C'était en mai, il louait un rez-de-chaussée dans une grande maison d'une grande ville. Le salon donne sur la rue. Il était installé près de la fenêtre à taper à l'ordinateur et à un moment il s'est absenté pour se faire du café dans la cuisine derrière. Quand il est revenu, deux gamins qui étaient passé par la fenêtre était en train de voler l'ordintateur, il s'est précipité, les gamins ont enjambé la fenêtre qui était au-dessus d'un radiateur brûlant, car il faisait encore froid, avec l'ordinateur, il a attrapé l'odinateur et a tiré dessus tout en se collant au radiateur car il était penché par la fenêtre. Il tirait d'un côté sur l'ordintateur et les gamins de l'autre. Il est resté là un moment à essayer d'empêcher qu'ils emmènet l'ordianteur, n'y est pas arrivé et il s'était brulé les cuisses sur le radiateur.

Dummie : Mais, ces gamins étaient au courant qu'il avait sa thèse dans l'ordinateur?

Doofie : On ne sait pas, ce genre de gamins éssayent toujours d'avoir un peu d'argent quelque soient les moyens employés. Peut-être qu'on leur avait promis un peu d'argent s'ils arrivaient à prendre l'ordinateur?

Dummie : Tu crois vraiment? Ils sont peut-être tout simplement passés devant cette fenêtre ouverte et ont saisi l'occasion -l'occasion fait le larron -,  et ont volé l'ordintateur pour le revendre ou pour leur usage personnel.

Doofie : Oui, le collègue n'a jamais dit qu'on ait essayé de voler sa thèse. Il a pensé aussi que c'était de la délinquance juvénile. Mais il ne se serait certainement pas brûlé les cusses à essayer d'empêcher son ordinateur de s'envoler, s'il n'y avait pas eu sa thèse - qui était presque finie et qu'il allait bientôt présenter- dedans.

Dummie : Peut-être qu'on a essayé de l'empêcher de présenter sa thèse! Sans vaiment lui la voler. Peut-être qu'il avait un concurrent pour un poste de maître de conférence à l'université...

Doofie : Cette histoire a défrayé la chronique en salle des profs, d'autant plus qu'il avait été en congé maladie pour soigner ses bruûlure. Mais il n'était pas très gentil. Un jour, j'avais cours dans une sale avant lui. A l'heure d'après, il n'avait plus qu'une élève de BTS, en première année tertaire, une LV1, j'avais eu cette section pendant deux ans, les premières, puis les deuxièmes années et j'avais encore onze étudiantes  en deuxième année. Dont un qui a trouvé une bonne place dans une banque à Paris grâce à son 15 en allemand, je l'avais eu en secodne en T STT, et en 1ère et 2ème année de BTS. Lui, au bout de deux semaines, il n'avait plus qu'une étudiante au bout d'une semaine, les LV2 étaient toutes reparties. Cette étudiante atendait dans le couloir pendant que je rangeais mes affaires, alors j'ai continué mon travail, car il arrivait toujours en retard. Quand il est revenu j'ai laissé mon cartable au bord de la salle, il faisait cours la porte ouverte, de façon à ce qu'on le voit de la salle, car j'avais une course à faire dans ce secteur du lycée et j'ai dit que j'allais le reprendre en passant. (discrètement, il était juste au bord). Quand je suis revenue, il était plus loin, sur le palier au bord de l'escalier, sans surveillance.  Mes affaires ont eu chaud. Il n'étais pas gentil avec moi, car je n'étais pas agrégée. Je suis devenue bi-admissible depuis, avec certainement un niveau anologue au sien.

Dummie : Oui, en fait, on voit quand même que certains empêche les  autres de faire leurs études. Mais pour ta petite fille, on ne comprend pas, elle est agrégée et a repris d'autres études en L1 et est en L2. On ine voit pas pourquoi on l'empêcherait de faire des études plus basses, il n'y a d'enjeu pour presonne.

Doofie : Non, il n'y a pas d'enjeu, sauf qu'avec plusieurs matières, ele pourrait avoir une section européenne, c'est peut-être un  enjeu pour quelqu'un du coin. parfois pour une  collègue "locale" en mal de notoriété ou pour une collègue qui veut arrondir ses fins de moi, une section européenne peut être un enjeu suffisant pour empêcher ma petite fille de faire d'autres matières qu'une langue, mais de toutes façons, ce n'est pas ce qu'elle vise.

Dummie : Oui, lui voler les livres dont ele a besoin, c'est et permettre à l'autre d'être nommée sur un poste proche d'ici, mais inconnu de nous et qu'elle ne bique même pas. a peut retarder son succès.

Doofie : Oui, les gens ont tous l'esprit de compétition, mais faire la course avec la petite fille de Doofie qui a 180 de QI, c'est difficile!

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Pour Doofie et Dummie

 

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