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mercredi, 27 août 2014

Qui fait disparaître les habits? Les E.T.?

 Roman-théâtre (écrit le 27/7/2014 pendant ma panne d'internet))

 

Mes amies et personnages de roman-théâtre, Doofie, Dummie, Sottie, et leurs copines sont assises en rond autour d'une table au bord de la piscine et la conversation est très sérieuse, car Dummie ne trouve plus son livre de langue slave 2, alors qu'elle voulait commencer des révisions. Et aussi le livre n'a pas été terminé, il reste encore 2 chapitres à faire l'an prochain. Alors, la conversation tourne autour de cela : les défauts de leurs époux respectifs.

 

Dummie : C'est bizarre, car je venais juste de lire sur une revue que des gens laissent des livres sur des bancs pour que les autres les lisent... je ne ferai jamais cela avec mes livres... enfin, cela dépend,il faudrait vraiment que ce soit un livre que je n'aime pas pour m'en débarrasser, mais malheureusement, ce sont souvent des livres d'études, ou de vocabulaire de langue étrangère ou de grammaie de langue étrangère, ou des méthodes de langue étrangère, bref, des livres dont j'ai besoin qui disparaissent.

 

Sottie : On trouve quelquefois des journaux abandonnés dans les téléphériques...

 

Doofie : Et dans les trains... mais des journaux du jour ce n'est pas tout à fait la même chose si les gens ont lu tout ce qui leur plaisait.

 

Blödie : Moi, je le découpe avant de les mettre dans la poubelle à vieux journaux, je découpe les articles qui m'intéressent et les recettes et je met le reste aux vieux papiers. Mais je garde toutes les revues, absolument toutes et je les classe selon les dates.

 

Sottie : Je faisais pareil avant, mais maintenant en attendant, je les stocke en piles mélangées, car avec toutes les routes que j'ai dû faire pour mes suppléances, depuis plusieurs années, je n'ai plus le temps de faire des classements,et de classer mes livres et mes revues.

 

Dummie : Justement, c'est là que les choses disparaissent; avant, j'avais tous mes livres biens classés, par genre, par auteur, mes disques par époques et par genre, alors que depuis que je n'ai plus le temps de ranger parce qu'on nous demande de plus en plus de choses pour notre travail, des choses disparaissent de chez moi.

 

Sottie : Oui, quand on est désordonné, c'est plus facile de nous dérober quelque chose en disant si on cherche après : oh, tu vas le retrouver en faisant des rangements.

 

Dummie : Oui, c'est toujours ce que me dit Quicky. Et souvent méchamment. Quand je ne trouve pas quelque chose il me dit : tu vas les retrouver après quand tu feras tes triages et il me dit aussi méchamment : ce n'est pas moi.

 

Blödie : Moi, hier, j'ai encore fait la morale à mon mari, j'avais lu la même chose que toi à propos des livres abandonnés sur des bancs, et je me suis dit : Et s'il pleut; et puis, je ne ferai jamais cela, quand je serai très vieille, mais vraiment très vieille, au moins 85 ans,je regarderai d'abord dans ma famille si quelqu'un a besoin de mes livres et peut en faire un bon usage, neveux, petit-neveux. Et ensuite, si je ne trouve personne dans la famille qui prend le livre, je les vendrai à des bouquinistes, comme cela ma famille récupérera l'argent.

 

Dummie : Tu as fait la morale à ton mari, comment ?

 

Blödie : Et bien, je ne trouvais plus comme toi un livre important, je lui ai dit qu'il ne devait pas les mettre comme cela sur des bancs. J'avais vu cela à un moment et je lui en avais parlé, mais je n'ai pas dit qu'il devait le faire. Et j'ai eu l'impression qu'après lui avoir dit cela, des livres ont disparu chez moi, et pas des moindres : ceux dont je me servais pour l'agrégation, il y avait une partie du programme qui était la même l'année suivante et je ne trouvais plus mes livres. Apparemment, il a dû les mettre sur des bancs à Paris, pour alléger la valise du retour. J'ai dû les acheter une deuxième fois.

 

Sottie : Et qu'as- tu dit?

 

Blödie : Je lui ai dit qu'il ne devait pas faire cela, car je venais comme toi de le lire dans une revue. Et il a râlé, il a dit : « Je ne fais jamais ce que tu mes dis. » Alors, j'ai interprété qu'il faisait le contraire de ce que je dis. Et il a dit non : « Je ne fais jamais ce que tu me dis de faire ». Alors, je n'y comprends plus rien, il veut dire : « Je fais toujours ce que tu me dis » et au lieu d'employer le positif, il emploie le négatif à double sens d'un air hargneux « Je ne fais jamais ce que tu me dis ». sans dire « ce que tu me dis-là ».

 

Dummie : Et qu'a-t-il répondu?

 

Blödie : Il s'est fâché, a grogné, et il est rentré dans le chalet, s'est couché et a fait semblant de dormir.

 

Dummie : Mais il pourrait être plus gentil. Et dire cela calmement ou dire avec des phrases entières : « Je n'ai jamais laissé et je ne laisse jamais de livres sur les bancs. »

 

Blödie : Non, il est fâché, je lui ai reproché l'histoire des lotteries. Pour son ancien établissement (heureusement qu'il est retraité), quand on organisait une lotterie, par exemple pour organiser des voyages, il fallait donner des lots avec des objets auxquels on ne tenait pas. Il prenait les objets dans mes affaires (des choses que j'aimais bien) ou dans mes livres qui disparaissaient et que je cherchais après pendant des heures. Mais sans me le dire.

 Dummie : En fait, on lui demandait des choses qu'il ne pouvait pas donner. Et pour faire plaisir, il prenait en cachette tes affaires pour donner quelque chose quand même.

Doofie : Moi, je cherche toujours après ma collection de « Die Deutschen » édition blanche que j'avais achetée en 1973. Et j'avais aussi les tomes 5 et 6/7 pour le lycée avec des exercices structuraux très intéressants, ils ont disparu lorsque nous avons emménagé ici en 1989. En même temps que la petite fontaine dans laquelle buvait trois oiseaux. C'était le dernier cadeau de mes parents ensemble avant que mon père meurt en 1981. En fait, c'était le dernier cadeau de mon père. J'y tenais beaucoup. Je me suis toujours demandé s'il ne l'avait pas donné aux amis qui nous avait aidé à déménager. Parce qu'il est à moitié d'origine allemande et parfois les allemands,quand tu leur dit que tu aimes bien quelque chose, ils te le donnent. Alors, moi, quand je vais quelque part, je ne dit plus jamais si j'aime un objet ou un livre qui se trouve-là. On avait aussi loué un camion qui a été conduit par un ami et à un moment, c'était leur neveu de quatre ans, qui le gardait. Peut-être qu'il l'a mal gardé et qu'il s'est fait voler quelqeu chose par un passant. Schnelly me dit toujours, ta fontaine, tu finiras par la retrouver... et je ne la retrouve toujours pas.

 

Blödie : Tiens à propos de Die Deutschen, j'ai lu que M. Chassard, du Chassard et Weil est mort.

 

Doofie : J'ai revu l'autre jour ma « Grammaire en 50 tableaux » dans les affaires que Schnelly a amené avant de partir en retraite et qui étaient souvent mes affaires que je ne trouvais plus, mais elle a de nouveau  disparu En fait, j'ai dû en avoir une deuxième de grand format, mais cela fait belle lurette que je ne l'ai plus vue non plus; elle a disparu en même temps que mes livres de « Die Deutschen ».

 

Blödie : Tu sais ce que je pense moi, que mon mari donne parfois mes affaires à ses anciens élèves, parce qu'ils en auraient soi-disant besoin, en particulier mes livres de langue vivante ou mes cours de fac, mes anciens cours d'agrégation que je gardais précieusement, il fait cela en se disant qu'ils peuvent servir plus à eux qu'à moi. Mais après je cherche ces lvres  pendant des heures, et si je ne les retrouve pas et s'ils sont encore publiés je les rachète. C'est vraiment frustrant quand ce sont des livres ou des revues qui ne sont plus publiées. Ou des cours que je ne peux plus remplacer. Il est toujours là à rencontrer ses anciens élèves et à vouloir les aider alors qu'il est retraité.

Doofie : J'ai aussi la nouvelle édition des cours sur le système scolaire qui a disparu, enfin, la dernière que j'ai acheté, celle de 2013. Et aussi « Agir en fonctionnaire de l'état », ma dernière édition a disparu. Pourtant cela peut encore me servir. J'ai aussi sur des cours de linguistiques que j'avais classé avec des numéros dessus,les numéros qui ont disparu. Je me suis demandés,s'il ne les a pas donné à une autre personne, puis comme j'ai fait la réflexion « C'est bizarre, ce tas de courr a baissé », il me les aurait rachetée pour plus de 500 €, il exagère! Et après je me trouve à cours d'argent et je ne pourrai pas acheter les polycopiés pour l'année prochaine, puisqu'il faut tout payer en même temps.

 (NB :Doofie a retrouvé deux tomes du cours sur le systême scolaire depuis).

Foolie : Moi, j'avais mes crayons et stylos, quand ils n'étaient pas rangés dans une boîte non transparente, qui disparaissaient, pas seulement en classe, mais même ceux de la maison.

 

Doofie : Il s'en servait peut-être.

 

Foolie : Oui, mais tous à la fois, tous mes beaux Pilot V5. J'en avais fait une provision pour l'agrégation et d'un seul coup je n'en avais plus qu'un ou deux; et presque vides.

 

Dummie : Speedy les a peut-être donnés à une loterie, ou aux enfants du quartier. Ou à ses élèves qui travaillaient bien.

 

Foolie : Oui, enfin,quand on ne vit pas seule,on ne sait jamais ce que deviennent nos affaires, à un moment ce sont des partitions qui ont disparu. L'an dernier Speedy qui chante faux, s'est mis en tête de chanter pour ses élèves, il a une belle voix, mais il chante faux, et pire que ça, ses élèves lui ont dit qu'il chantait bien, les fayots, et il les a cru! C'était sa dernière année d'enseignement, mais il voulait être admiré par ses élèves. Alors il leur faisait des chansons modernes avec des nanas olé-olé, qui chantent des chansons sur des CD (il prenait souvent les miens qu'il ne m'a rendu que longtemps après), mais la lolita olé olé qui était sur le CD il l'avait eu a prêter à une élève et le lui a rendu), et en plus il était en admiration devant ces lolitas allemandes. L'une d'entre elle qui ne chantait qu'en anglais d'ailleurs est devenue jury de The Voice Kids en Allemagne.

Doofie : J'avais une élève qui s'appelait Jennifer et avait des longs cheveux bruns comme elle... L'inpecteur qui m'avait inspectée cette année là, en 2002, quand Jennifer faisait la Star-Académy, a dit que Jennifer avait bien participé et il prononçait Jennifeur, cela me semblait amusant, surtou le ton avec lequel il disait Jennifeur. Quelques cours plus tard, elel avait coupé ses cheveux court,mais la Jennifeur de la télé avait toujours ses cheveux longs... La Jennifer de ma classe, n'était pas la Jennifeur de la télé, qui elle, est corse.

Foolie : Mais revenons à nos moutons : En même temp Speedy avait tellement « fortifié » physiquement qu'il faisait peur aux élèves. Une fois il a parlé devant moi à une de ses anciennes élèves, et elle tremblait en lui parlant. Bref, je disais, il prenait mes petits livrets de chansons allemandes et je ne les ai plus trouvés. Je n'ai plus trouvé la Fanfare qu'il m'avait offerte quand on était fiancés.

 

Doofie : Il a repris son cadeau?

 

Foolie : Il y avait dedans le trèfle à quatre feuilles qui venait de la pelouse de mes parents, avec une feuille un peu sectionnée, mais on voit quand même la base de la quatrième feuille. C'était mon porte-bonheur. C'est très rare de trouver un trèfle à quatre feuilles comme celui-là, il y avait des trèfles à quatre feuille cultivés, dans une plate-bande de la terrasse, mais c'était des grands trèfles, celui là il était de la même taille que les trèfles à trois feuilles qui poussaient dans la pelouse. C'était un vrai; c'est vrai que quand j'étais jeune, avec mon trèfle à quatre feuille, j'avais plus de chance que maintenant.

 

Dummie : J'avais une amie qui faisait un herbier, elle mettait des plantes, des feuilles et des fleurs dans des livres pour les sécher et les colle ensuite sur des feuilles. Un jour un odieux personnage qui avait regardé un livre chez elle a insinué que c'était illicite; la police est venue chez elle, et ont pris tous ses livres. Cette amie a disparu, je ne sais pas si elle vit encore.

 

Doofie : Des herbiers, ce sont des choses que l'on faisait avant, mais on ne sait plus trop ben si on a le droit d'en faire encore. On apprenait même à l'école à en faire et pour la fête des mères, on faisait des cartes de voeux avec des fleurs séchées. C'étaient des belles cartes qui faisaient plaisir à nos mamans. On écrivait un compliment à l'intérieur, on écrivait aussi des compliments pour la Nouvelle Année que je récitais devant mes grand-parents.

Dummie : A propos de livres que les gens laissent sur les bancs, moi, je ne suis pas d'accord; par contre, j'ai entendu dire qu'à Paris, dans certains jardins publics, des bibliothèques de prêt, installent des petites armoires que les gens peuvent ouvrir avec une carte à puce pour lire dans le jardin et il remettent le livre avant de partir.

 

Doofie : Oui, mais il faut que les gens soient honnêtes, sinon, les bibliothèques vont perdre leurs livres.

 

Foolie : Un jour, quand on habitait dans l'académie de Bêtie, j'ai vu en sortant de chez moi plusieurs montagnes de vêtements d'enfants et de peluches. J'adore les peluches, et je me demande ce qu'elle faisaient là et je n'en ai pas pris (j'en aurais peut-être sauvées quelques unes, car je ne connaissais pas leur destination). C'était peut-être pour un ramassage de charité, mais il y en avait vraiment beaucoup et je me suis demandés pourquoi les enfants ne gardaient pas leurs peluches, il y en avait des tas énormes. Ils sont restés là quelque jours (il faisait beau, c'était en septembre), puis je ne les ai plus vus.

 

Bêtie : C' était peut-être pour une action de protestation, pour une fermeture de classe par exemple.

 

Dummie : Ce n'est pas à l'époque où Doofie a vu quelque chose de bizarre passer au fond de la rue, c'était peut-être pour eux.

 

Doofie (qui cache sa tête dans le duvet): Surtout ne prononce pas le mot... Celui qui commence par O...

Dummie : Oh! N'aie pas peur Doofie, il y a une élève adulte de Bêtie qui a vu un OVNI dans les années 80 et elle va toujours bien, 30 ans après... Elle, son mari et son fils avaient vu des lumièes clignotantes au travers de la persienne, ils ont regardé par les fentes, et ils ont vu un cercle posé sur la pelouse. le cercle tournait en rond et avait des lumières clignotantes tout autour.

 Doofie : Brr...

Foolie : Pour les habits d'enfants, les ET sont petits, ils ont peut-être besoin de vêtements d'enfants pour visiter notre planète en hiver.

 

Blödie : Et les peluches, c'était pour leur ménagerie... ils veulent montrer sur leur planète les animaux qu'on a sur la terre, alors comme on ne voulait pas leur donner de vrais animaux. On leur a donné des animaux en peluche!

 

(On entend un chat miauler comme s'il avait peur dans le bois derrière les filles).

 

Blödie : Un chat qui se fait enlever par un ET!

 

Doofie : Vite, allons voir... (elle fouille les buissons...) Il n'y a pas de chat...

 

Dummie : Plus de chat, le chat du propriétaire du camping a été enlevé!

 

(Un peu plus haut, dans le bois, elles voient un léger éclair et une grande lumière décoller et rejoindre le ciel.)

 

.........../................

 

Dummie : En tout cas, je ne sais toujours pas où est parti mon livre de langue slave 2, pourtant, j'ai déjà travaillé plusieurs fois dessus depuis que je suis ici. Enfin, c'est difficile de persuader Quicky qu'il ne doit pas donner mes livres à d'autres personnes.

 

Foolie : Quant-à moi, l'an dernier,quand j'achetais des revues avec des paroles de chansons, elles disparaissaient aussi. Alors, j'ai dû enlever les paroles juste après l'achat et les cacher. Et alors, les revues ont encore disparu une ou deux fois. Puis, elles n'ont plus disparu.

 

Dummie : Et où allaient ces revues ?

Foolie : Je crois que Speedy les donnait à ses élèves.

 

Dummie : Et alors, si tu veux récupérer les chansons...

 

Foolie : Je ne pourrai plus les avoir... ils ne revendent plus les anciens numéros.

 

Dummie : Et moi, j'avais mis un paquet de Zeit que je n'avais pas fini de lire sur l'escalier de la maison, à l'intérieur bien sûr, et je ne les ai plus retrouver, alors maintenant, mes nouveaux numéros, je les cache aussi.

 

Blödie : Mais qu'en fait Quicky?

 

Dummie : Il doit les donner à mes élèves adultes ou à des élèves qui sont devenus étudiants ou à d'anciens collègues...

 

Blödie : Moi, j'ai l'impression que mon époux envoie mes idées à une autre personne, il le fait pour montrer qu'il est cultivé aussi, je lis un livre, et je dis « Tiens, j'ai lu cela » et l'instant d'après, il disparaît,soit à la cave, soit dans la chambre et alors si je vais assez vite et sans bruit, je l'ai déjà surpris à taper un SMS. Apparemment il écrit ce que je fais ou ce que je dis à quelqu'un.

 

Dummie : Un jour j'étais dans le train, j'ai dit à Quicky, tiens, je voudrais acheter des intercalaires pour mes classeurs dans tel magasin. On est allé à la papeterie du magasin et tout le rayon des intercalaires était vide, cela faisait comme une bibliothèque complète vide. On a demandé au vendeur où ils étaient, et il a dit : On est en train de les changer de place, on ne peut pas les acheter maintenant!

 

Blödie : Ce n'était sûrement pas un hasard.

 

Dummie : Alors, il ne faut pas dire à l'avance ce que l'on va acheter. Mais si je le dis à Quicky, il a la parole facile et le répète facilement. Soit directement à quelqu'un, soit par SMS. Si je veux acheter un livre que j'ai vu en plusieurs exemplaires la veille dans un magasin, si je le dis à Schnelly, le dernier exemplaire s'en va devant moi quand j'arrive.

 

Blödie : Parfois, la personne le prend, fait le tour du magasin et revient le poser après... il faut avoir de la patience, tu vas faire un tour dans le magasin et tu reviens au même endroit et il y a de nouveau quelques exemplaires.

 

Doofie : Oui, il faudra éduquer nos chers et tendres à être plus discrets sur nos projets.

 

(Un peu plus tard... alors, que la nuit tombant... les filles replient leurs chaises et sont sur le point de se diriger vers leur chalet, la femme du propriétaire du camping, arrive en regardant à droite et à gauche..)

 

Vous n'avez pas vu mon chat? demande-t-elle aux filles...

 

Doofie, qui a l'air embêtée... tout en mettant son duvet en travers sur son dos... « On a entendu un chat dans le buisson là derrière, mais il n'est plus là... » La dame poursuit son chemin en scrutant la pénombre des yeux.

 

Doofie : Tu crois qu'ils vont le rendre?

 

Foolie : Qui?

 

Dummie : Les E.T.s.... (prononcez i-ti)

 

.................

 

Bon, n'allez pas demander au mari de notre auteure domino de vous prêter ou de vous donner les choses dont on a parlé ici, qui appartiennent à domino, et s'il les vous a donné ces choses, rendez-lui en disant de les rendre à sa femme et surtout n'acceptez plus de « cadeaux » de lui, qui sont les affaires qui disparaissent de chez « domino », notre auteure. Quand ce ne sont pas carrément ses vêtements qui disparaissent!

 

domino

 

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