Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 14 juin 2014

Ce qui disparaît

Bonjour,

il n'y a pas que chez Doofie que des choses disparaissent, mais chez moi aussi.

Ce qui en général "disparait" :

- Des cours de fac ou d'université, ou du CNED,

- Des livres, paticulièrment d'allemand, mais aussi d'anglais, d'espagnol...

- Du matériel scolaire (classeurs vides avant utilisation, cahiers vierges avant utilsation, stylos, feutres à bille...)

- Des CDs (récemment, des CD-Rom accompagnant des revues de guitare non classique),

- Des revues,

- Des copies d'élèves que je retrouve parfois ensuite (une partie d'un paquet seulement, la plupart du temps alors que je les avais laissée ensemble), (Mon époux qui regarde le niveau de mes élèves?)

- des exemplaires dans les polycopiés préparés pour les élèves, généralement ceux dont je vais avoir besoin dans la journée, ces polycopiés reviennent en nombre trois ou quatres fois plus nombreux une fois le cours fait : exemple il mangue 3 exemplaires au moment de la distribution, j'en retrouve quinze le lendemain dans mes affaires, alors qu'il est impossible qu'il en restait quinze. (C'était compréhensible quand mon mari n'était pas retraité, car il se peut qu'il enlevait des exemplaires pour les reproduire pour ses élèves à lui, et qu'il me remettait ensuite son surplus à lui dans le cartable, mais maintenant qu'il est retraité Il sert peut-être un ou une collègue.

- Des cahiers avec mon écriture, souvent des cahiers "d'organisation" sur lequel je fais des listes de livre que je veux lire, je maque pafosi ce que j'ai fait dans la journée, etc... (je me demande si cela disparait pour avoir des exemplaires de mon écriture, par exemple pour corriger des copies de concours ou d'examen anonymes, dans ce cas mon époux serait complice...) et aussi mes brouillons d'examen et de concours, que je garde précieusement pour pouvoir prouver ce que j'ai écrit le cas échéant en cas de confusion avec une autre personne. Tout en sachant que je nécris pas tout au brouillon..

- Il y a aussi des choses qui changent : les cours que j'avis numérotés et qui ont pedu leur numéro d'ordre chez Doofie, comme s'ils avaient été échangés, c'est chez moi. Les copies de préparation d'agrégation qui ont changé d'appréciation, c'est chez moi aussi, le rapport d'inspection de 1992 qui a perdu une phrase élogieuse, c'est chez moi aussi.

- Des affaies changent de place, mes vieilles cartes d'étudiante des années 70 qui étaient rangées en haut, je les ai retrouvées dans la cave, à moitié détruite par 'l'inondation" d'un 14 juillet, dans un endoit qui n'avait pas été inondé, avec les photos collées à la page d'en face, donc impossibles à regarder.

- Des partitions. Au début c'était le meuble à partition qui avait pedu la moité du contenu d'un tiroir : les patitions oiginales  de Brouwer et de Villa-Lobos. Dont le pélude 1 de Villa6lobos  acheté avec mon "dimanche" en 1968. L'un des auteurs est revenu ensuite (je ne sais plus lequel, ca j'ai bloqué l'entrée du meuble).

- Des parrtitions correspondants aux albums d'une chanteuse que j'avais achetés récemment (je me susi demandé si mon mari n'en avait pas fait un cadeau à sa collègue allemande qui est aussi prof de musique), ceci sans me le dire.

- Des photos et albums de famille aménés de chez ma mère après son décès. et pour celes qui sont là, on a l'impression qu'elle ont été refates car on ne distingue plus bien les visages. Par exemple celles de mon enfance dans les années 50. Pace que normalement j'étais archiviste familiale (il se peut que ce soit des gamins du quartier qui se soient amusés).

..../.....

Quand ce sont des partitions ou des livres ou des CD qui partent, cela fait une perte financièe, surtout si je dois les acheter pour les jouer de nouveau.

Je suis musicienne et mon mari ne l'est pas, donc, en principe il ne doit pas toucher à mes partitions, mes partitions m'appartiennent. D'ailleus je dois dire que dans les années 90,j'allais à de nombreux stages de guitare, dans certains stages, on était dans des dortoirs qui n'étaient pas fermés dans la journée et rien ne dispaaissait au niveau des partitions  ou des isntruments. C'éatit dans un coin de montagne où il n'y avait pas de voleurs et les gens du stage étaient honnêtes. J'ai juste perdu mon repose-pied préféé à la fin d'un stage, mais quelqu'un me l'avait emprunté et laissé appaemment sur la scène. Donc à cette époque là, le Schnelly de Doofie ne lui piquait rien.

Parmi les choses qui dispaaisent encore : des vêtements.

La semaine d'avant mon époux  a acheté une dizaine de T-shirts unis pour moi, j'en ai utilisé quatre, ils étaient dans deux sachets,e et d'un seul coup : plus de T-shirts neuf...

Des chaussettes : pendant 10 ans régulièrement, si j'avais des socquettes à motifs, une chaussette sur 2 disparaissait. Les unies ne dispariaissaient pas. Actuellement, je retrouve assez souvent dans mes socquettes récentes des soquettes qui vont à deux au sortir de la lessive.

Mes pantalons noirs qui partaient et revenaient avec une odeur nauséabonde qui n'est ni la mienne, ni celle de mon mari (apparemment des gens empruntaient mes pantalons).

Il ne faut pas dire à mon époux qui je soupçonne, car même sans dire que ça pourrait être lui, en me demandant si quelqu'un a le double de nos clefs par exemple, il se sent tout de suite visé et se fâche.

Moi, je pense aussi à d'anciens élèves ou a des élèves de mon mari qui auraient fait cela. Comme mes chaussettes ne disparaisent plus ou moins souvent depuis que mon mari est retraitité il se peut que ce serait des élèves à lui qui auraient le moyen de rentrer dans la maison et auraient fait des farces..

C'est d'autant plus curieux que jusqu'en 2002 environ, je ne me suis jamais plainte de "disparitions".

Lui, donne peut-être aussi mes cours du CNED ou de fac à des anciennes élèves à lui pour leur donner des idées pour leurs études.

domino

 ............/..............

Roman-théâtre

Doofie et Schnelly arrivent à destination. Doofie cherche après la feuille où sont notées ses heures d'examen et les salles où elle doit aller, elle ne la trouve pas. Elle cherche dans le sac à dos de Schnelly et tombe sur son sac à main. Doofie n'a pas l'habitude de regarder dans les affaires de Schnelly, pas comme lui qui est sans cesse en train d'enlever ou d'ajouter de la monnaie de son porte-monnaie, de mettre les billets de train dans son sac, de lui emprunter ses clefs. Doofie tombe dans ce sac à main, sur une seule adresse, une adresse écrite avec une écriture d'élève sur un morceau de carton. Une ancienne élève à lui,maintenant adulte et étudiante. Elle habite dans la ville où ils sont maintenant... pour ses examens à elle. Il n'y a qu'une seule adresse dans ses affaies, celle-là. Doofie pense à ses cours disparus, à ses cours de linguistique disparus, à ces cours du CNED qui ont perdu leur numérotatio, il les auait "prêté"à cette ancienne élève?

Discrètement, ensuite, elle le questionne sur l'élève en question... Tiens, une telle, elle ne faisait pas partie du groupe avec lequel tu es parti en Allemagne (à un salon commercial).

Et bien, tu sais bien, ce sont ses parents que j'ai guidé au marché de Noël, tu as vu aussi son frère, masi elle n'était pas là.

Ah! C'est pour sa famille que tu m'as laissé choir toute seule à Cologne pendant une jounée? J'ai dû passer a moitié de la journée avec un de mes élèves retraité et sa copine dans un restaurant. Tu es marié avec eux?

Bon, moi, je dois die que j'ai passé une bonne jounée avec mes retraités. Sans devoir couri derrière Schnelly et sans courir après l'heure, se dt Doofie, même si je n'ai pas fait le musée romain-germanqiue comme je l'avais prévu, ni été dans une librairie compléter mon arsenal d'agrégation.

C'est son ancienne élève qui a une partie de mes cous, la série numérotée par moi-même que Schnelly auait remplacé par des cours neufs qu'il auait racheté pour 500 €? Pourquoi avait-il son adresse, Qu'auait-il été faire chez elle, si je n'avais pris l'adresse? Bon, je lui ai piqué quelque chose aussi, cette adresse... c'est la première fois que je lui pique quelque chose, je ne l'ai même plus, je ne sais pas s'il ne me l'a pas reprise, pense Doofie

Pour Doofie, domino

Les commentaires sont fermés.