vendredi, 06 septembre 2013
L'étudiante éternelle
Du journal de Gwupie
J'ai rencontré récemment une ancienne élève qui a eu son bac en 2001. On était en 2013 et elle passait sa deuxième année de master. Comment se fait-il que cette excellente élève a mis douze ans pour aller jusque là.
Elle faisait ma langue en troisième langue et avait obtenu la note honorable de 16 sur 20 dans chacune de ses langues. Par contre, elle n'avait eu qu'une mention AB, car un malheureux 7/20 en français obtenu en premièer alors qu'elle excellait dans cette matière, l'avait empêché d'avoir une mention plus élevée.
Musicienne et chanteuse, ele était aussi dans la section musical, mais a abandonné complètement cette voix, bien qu'elle était dotée d'une voix de soptrano merveilleuse qui bien que montant jusqu'au contre fa, avait une tonalité grave et chaude.
Comme je lui ai dit : Il faudrait peu-être entrer dans la vie professionelle ... et penser à la retraite... elle a d^se demander ce que je voulais dire par "penser à la retraite", alors qu'elle n'a que trente et un ans...
J'ai tout simplement pensé que étant entrée dans la vie professionelle à l'âge de 22 ans, licence et C2 de maîtrise en poche, ce qui n'était pas si mal pour l'époque (jai eu le CAPES à 25 ans), et ayant pris durant ma carrière quelques années de disponibilité, je n'ai pas encore toutes mes années de cotisations pour prendre ma retraite. Et je suis maintenant en train de payer cher mes quelques années de disponibilité, en devant travailler plus tardivament que mes collègues pour avoir le même nombre d'années d'ancienneté.
Voilà ce qu'est devenue mon élève après le bac : cette élève, dite brillante, et qui avait eu son bac à 18 ans, admise en classe préparatoire litttéraire, a abanconné au bout de deux mois de cours, parce que, par rapport à ses amies entrées directement à l'université, elle avait moins de liberté et elel étouffait dans le systême lycée.
Elle a réussi à prendre une inscription tardive en philosophie à l'université et arrivée tradivement dans son année, elle a râté son année.
Je lui avais conseillé de faire des études d'alemand. En Terminale au bout de trois ans d'étude de la langue elle écrivait un allemand quasiment parfait, sans faire de fautes de grammaire, avec des phrases complexese et avait un accent et une prononciation impeccable, sans jamasi avoir été en Allemagne. Je pense que si elle avait fait des études d'allemand, elle aurait fini ses études depuis longtemps, car les étudiants d'allemand sont généralement beaucoup plus sérieux que dans les autres matières. Et font des études, même s'ils mettent plus longtemps qu'avant pour arriver aux concours, plus rectilignes que ceux des autes matières.
L'année suivante, comme elle aimait l'expagnol et y était bonne, elle s'est inscrite en espagnol. Je l'ai rencontrée par hasard à la fin de l'année universitaire, elle venait d'avoir passé quelques mois en Amérique du Sud, parlait un espagnol teinté de guarani et ne savait presque plus parler français, elle disait "si" au lieu de "oui", et répondait souvent en espagnol au lieu de répondre en français, elle m'a raconté qu'elle allait faire un travail de recherche avec une poétesse qu'elle avait rencontré là-bas, elle avait été piquée par un insecte tropical et était venue se farie soigner en France où elle avait la sécurité sociale.
Elle a râté sa première année d'espagnol en France et le diplôme d'Amérique du Sud n'a pas été reconnu.
L'année suivante, elle est restée un an dans mon université préférée, et a réussi sa première année d'espagnol.
Elle es repartie en Amérique du Sud, où elle avait un petit ami, elle est restée là-bas apparemment quelques années et le pays où elle était a dû beaucoup lui plaire, parce qu'elel se destine maintenant à l'import-export vers l'Amérique du sud ou de l'Amérique du Sud vers la France.
Revenue en Fance, je l'ai rencotrée il y a quelques années, alors qu'elle était en première année de LEA. Dans une université plus proche de chez elle. Elle avait de bonnes notes en espagnol, mais en LEA, on fait deux langues, et elle m'a dit qu'elle avait du mal en anglais.
Mon mari l'a rencotntrée entre deux, elle était en première année de master de LEA.
Je l'ai rencontrée en juin, elle était en deuxième année de master de LEA eme t avait décidé de s'inscrire dans une aure université pour faire un deuxième master d'import-export.
Cela veut dire qu'elle va encore étudier pendant deux ans et elle va arriver à l'âge de 32/33 ans, sans être entrée dans la vie professionnelle.
Elle n'a plus de petit ami et vit dans sa chambre universitaire et chez ses parents.
Elle a certainement mené jusqu'ici une vie très intéresante avec un séjour en Amérique du Sud qui a dû contituer un excellent vécu pour elle et sera un beau souvenir de jeunesse quand elle aura 60 ans, comme le sont par exemple, mes séjours en RDA pendant la préparation du CAPES., durant les vacances soclaiers, car je travaillais déjà. Ou nos randonnées en Sisse et en Autriche, où j'ai découvert la haute montagne que je connaissais très peu jusque là.
Voilà où cela mène, d'être une excellente élève littéraiere...
Pour Gwupie..
domino
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Durant ses études de langue slave Doofie a rencontré des jeunes femmes qui semblent être des étudiantes éternelles : Une mère de famille nombreuse qui veut se lancer dans la traduction littéraire, elle a envion 40 ans, deux jeunes femmes qui sont en langue ouralo-altaïque, l'une fait une année sans être inscrite, bien qu'elle réussisse l'examen, mais il n'est pas validé, elle était appraemment en même temps dans une année inférieure de licence et faisait l'UV 5, ayant eu son UV 5 et pas les autres UV, elle a continué l'UV 5 sans y être inscrite et alors qu'elle l'a réussie sans qu'elle soit validée, elle l'a refaite l'année suivante, en la passant en diplôme de langue initiation. Apprarmment c'était une fille qui avait râté sa permière année et s'est fait passer l'année précédente pour une étudiante de master aurpès de la professeure. Elle a dit avoir son master et avoir recommencé une autre matière en première année. Moi, je trouve ce parcours bizarre.
En fait, j'étais seule l'année précédente sur la liste des lauréates de ce diplôme. La professeure avait toujours favorisé les deux autres étudiantes, alors que l'une d'entre elles n'était même pas inscrite, parfois, elle changeait même de salle sans prévenir, quand j'arrivais en retard à cause de mon travail. Elle passait souvent mon tour, et ne s'occupait pas de moi quand j'avançais moins vite, alors que l'autre étudiante semblait ne faire que cette langue qu' à l'ongueur de journée.
Alors que nous étions trois en cours, la troisième étudiante qui disait être aussi en master est revenue deux mois l'année suivante, puis a abandonné. Je me suis dit qu'elle devait être réellement en master et qu'elle a dû postuler pour un Master 2 et ne pas être prise. PArce que ceux qui abandonnent en master au bout de deux mois, sont souvent des personnes qui sont en attente d'isncription en Master 2 et essueint un refus. Ces deux étudaintes faisaient appremment de la langue ouralo-altaïque à longueur de journée pour tenir la dragée haute à Bêtie, car quand Bêtie a eu des remplacements avec des cour le mercredi matin à des kilomètres de distance de l'université (plus de 100 km), la professeur a avancé son cours qui avait lieu le soit à l'après-midi et Bêtie n'a pas pu continuer, et les deux autres filles n'étaient plus là. Mais la prof allait dans sa salle attendre ses étudiantes.
Quand les secrtéaires de l'établissemetn de Bêtie avaient dit : "Il faut qu'ele travaile cinq jourss par semaine, parce que nous travaillons cinq jours par cemaine (en réalté six jours avec son bénévolat du samedi)... eles n'ont ps pensé aux professeurs de l'université qui se sont retrouvées sans étudiantes ou presque.
10:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
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