Les persiennes

Du journal de Doofie

Tiens, à propos des pesiennes des collèges, j'ai remarqué ceci :

Au début de notre carrière, il n'y avait pas de persiennes aux collèges : il y avait des rideaux, qui étaient souvent de couleur jaune. Pourquoi jaune, mystère.... C'était l'époque des méthodes audio-visuelles et il fallait tirer les rideaux et plonger la classe dans une demi pénombre pour que l'on puisse bien distinguer les images projetées par le projecteur ancien, sur lequel on mettait des "films fixes".

Ces  grands rideaux étaient très longs, dépassaient largement des fenêtres, les bas des rideaux traînaient parfois un peu sur les tables.

Parfois quand on tirait trop fort sur le rideau, il se décrochait du haut, et un ou deux anneaux manquaient parfois. quand personne ne passait remettre les anneaux, au bout d'un moment, les anneaux étaient tous partis et le rideau rangé et plié sur une table, alors il faisait trop clair dans la classe quand on passait les films fixes avec les belles têtes de Dieter et d'Ursula et de leurs parents Herr und Frau Schmitt et Herr und Frau Neumann (ce nom de Neumann qui fait un peu noveau riche était d'ailleurs un brin satirique).

A l'épqoue certains de nos collègues n'aimaient pas cette méthode à cause des Neumann précisément; Ils disaient : Tu ne te rends pas compte, dans nos milieux défavorisés, montrer des personnages qui ont une Mercedes! Mais c'était méconnaître totalement la psychologie de nos chérubins qui peuvent être en admiration devant une Mercedes, même si leurs parents n'ont pas les moyens d'en acheter une (et moi non plus d'ailleurs!!).

Bon, revenons à nos moutons, le rideau-persienne-volet de classe...

Les anciens rideaux servaient aussi à protéger du soleil dans les yeux des élèves quand ils travaillent (à ce prppos-là, j'ai fait il y a quelques années un remplacement où le tableau était situé entre deux fenêtres qui étaient sur le même mur et donnaient sur le soleil matinal. Quand le soleil était bas (c'était 'octobre à décembre).. les élèves étaient bien éblouis et on devait fermer les volets. De deux fenêtres sur quatre, il s'agissait non de volets extérieurs, mais de jalousies intérieures. Comme la classe avait quatre fenêtre sur deux murs en angle droit et que un troisième volet était coincé dans la position fermée, le matin quand le soleil était derrière le tableau et le bureau du professeur, il faisait pratiquement noir dans la classe et on devait par grand soleil allumer la lumière. Sinon les élèves étaient éblouis et ne voyaient rien au tabeau!)

Bon, continuons avec les persiennes-volets-jalousies-rideaux!

Depuis deux ans, j'ai remarqué que les jalousies qui se coincent de biais sont de plus en plus rares dans les collèges, les grands rideaux n'existent pratiquement plus, mais par contre, presque tous les collèges sont munis de persiennes.

Dans certains collèges, comme dans les deux collèges précédents, femer les persiennes est obligatoire pour la nuit et il faut fermer non seulement les fenêtres, mais aussi les persiennes avant de quitter la classe

Je me suis demandée pourquoi il fallait aussi fermer les persiennes dans les étages, et on m'a dit : pour des raisons de sécurité... Pourtant dans les collèges rectilignes à deux étages, il faudrait déjà être alpiniste pour escalader les murs et fixer desccrampons dans les murs pour grimper à moins de voler la grand échelle des pompiers!

Ben sûr, on peut encore attérrir en ULM sur le toit souvent en terrasse des collèges...

Mais bon, alors je me suis posée des questions... Mais je ne vous répondrais pas... J'ai une autre idée là-dessus. Une protection contre.... des regards indiscrets venus du ciel...  dans des salles vides...

J'aime ben quand devant ma classe, il y a un rideau.... d'arbres... qui cache ma classe et me cache aussi de l'extérieur.

En plus cela donne de l'oxygène...

Un conseil de Doofie (de moi, hi hi, 232 de QI selon mes copines...)...

Laisser tous les arbres et haies en place autour des cités et autour des maisons... Les laisser pousser si possible plus haut que le toit des maisons pour les arbres et les haies aussi hautes que les rez-de-chaussée. Ce seraient de beaux rideaux naturels, par mesure de proterction...

Quand j'étais enfant j'habitais dans une rue sans arbres, mais assez étroite, aux maisons mitoyennes. Derrière une cour qui était étroite et fermée par un mur d'un côté et le mur de la cuisine de l'autre, donnait sur le jardin à un bout et sur la fennêtre de la salle à manger à 'autre bout. De la fenêtre de la salle à manger, on ne voyait pratiquement pas le ciel et quand il y avait de l'orage, on ne voyait presque pas les éclairs. Moi, je me sentais plus en sécurité dans cette maison que dans les maisons aux fenâtres plus nombreuses et ouvertes sur l'extérieur qu'on a contruites ensuite.

Bon, je ne dis pas qu'il faut faire des rues sans arbre... La même étroitesse de rue, mais en sens unique, pourrait accueillir des arbres le long des trottoirs, comme devant la deuxième maison où nous avons habité. Mes parents avaient laissé pousser les sapins de Noël au bout de la pelouse, et le jardin était limité par deux grandes haies, des murs de séparation séparaient des terrasses des voisins. Devant la maison il y avait des cerisiers du japon le long des trotoirs qui fleurissaient en rose au printemps, puis ils ont été remplacés par d'autres arbres verts de la même taille. En face un petit square planté d'arbres nous séparaient de la rue en face.

Devant chez moi actuellement, il y a une place macadamisée, pratique oour les manoeuvres des voitures, jouxtée d'une grande pelouse; je préfèrerais que la pelouse en question soit plantée d'arbres. De l'autre côté de la pelouse, les maisons de la rue parallèle nous tournent le dos. J'ai remarqué avec satisfaction que cete année, la plupart des riverains n'ont pas taillé leur haie. Qui montent jusqu'au premier étage des maisons. Durant tout l'hiver, on pouvait pratiquement regarder leur télé de ma cuisine par dessus les haies...

Je continuerai à vous donner mes idées en matièe d'urbanisme une autre fois, mais voici d'ores et déjà mes grandes idées d'urbanisme :

- les modifications ne doivent pas affecter l'aspect extérieur des anciennes constructions.

- Construire de nouveaux quartiers "aux normes Doofie" ne veut pas dire qu'il faille démolir les anciens. Doofie aime les vieilles pierres, même XXème siècle.

- évitrer les rues rectilignes dans le tracé des nouvelles rues.

- éviter les grands espaces vides qui favorisent le vent, les rafales, et les tourbillons.

- boiser les alentours immédiats des maisons et mettre des haies, boiser les alentours des quartiers et des villes, mais d'une façon disséminée (pas de grands bois qui attirent les intempéries, pas de champs ouverts non plus qui augmentent la vitesse du vent, pas de lisières de forêts qui sont dangereuses en été). Par contre les haies autour des maisons font monter le vent au dessus d'elle et protègent les jardins du gel. Une haie fait passer le vent au double de sa hauteur et protège le jardin du vent sur une distance équivalente à tois fois sa hauteur. Si vous mettez une haite de deux mètres sur le bord de votre jardin, votre jardin est protégé du vent sur six mètres au sol.

-Eviter les abords des rivières à cause des inondations. Concstruire en hauteur, ou surélever les terres aux abords des rivières.

- Faire des rues relativements étroites aux maisons mitoyennes; Priviléger pour les intersections les angles inférieurs à l'angle droit, concaves. Par exemple un plan en escargot.

- Les maisons ne doivent pas se dépasser les unes les autres au niveau des toits, faire des toits à hauteur égale sur un ^pâté de maion, car les pignons plus élevés sont trop exposés aux vents.  Eviter ls toits en terrasse, les toits doivent pouvoir chasser l'eau de pluie! Mettre des toits pointus sur les lycées et collèges. Permet de gagner un étage pour les rangements et archives.

- Eviter les parites mansardées descendants en forme "mur" sur les premiers étages des maisons, ils sont moins solides que les vrais murs.

- Prvilégier les sous-sols (secs!), je vais vous expliquer plus tard comment.

- Les maisons avec sous sol double et un seul étage, semblent  être l'idéal. Mais pour la France il faudrait les faire plus grandes que les maisons actuelles, surtout faire des pièes assez grandes et des chambres assez grandes, car l'homme devenant de plus en plus cultivé, il amase davantage de biens culturels comme les lives qui prennent de la place. Prévoir des maisons assez grandes pour acceuillir des bibliothèques et de grands dressings. (En fait faire des maisons plus larges et longues , moins hautes, mais pas de plein pied, avec des pièces intérieurs, penser aux vieilels maisons des quarties cossus des villes du Nord, ou une double salle de séjour salon a des séparations sous forme de portes vitrées (avec souvent de jolis vitraux), qui est elle-même séparée d'une cuisine-véranda (seul une partie du toit est en verre teinté), qui donne encore sur une autre pièce donnant sur le jardin. Ces pièces en gigogne, qui s'enfilent en longueur dans des maisons mitoyennes faisaient l'admiration de mes yeux d'enfants.

- A l'intérieur des maisosn faire plus de recoins cachés comme des alcôves pour les lits, des petits salons de lecture, des niches...

- ..../..... etc..; etc..;

Doofie

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Pour Doofie (sans garantie d'approbation), domino