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vendredi, 03 août 2012

Des enfants peu affables...

Voci une aventure qui vient d'arrriver à ma sympathique Doofie, mon personnage de roman-théâtre qui n'a pas encore pris le chemin des vacances :

Après avoir fait qualques courses et les avoir déposées à la maison, Doofie et son mari Schnelly font le tour du pâté de maison pour jeter un coup d'oeuil sur l'arrière de leur propre jardin. Le chemin qui borde les jardins à l'arrière est public de même que tous les trottoirs de la cité.

Bon, on va derrière, on devise sur les arbres, car on voit que la municipalité a rasé les deux arbres qui avaient poussé dans leur haie et dépassait leurs feuillages rafraîchissants au dessus du chemin (aux frais de la municipalité, mais on remarquera que ailleurs de nombreux arbres très grands dépassent au dessus des chaussées où passent les voitures, bien sûr ce n'est pas une critique, car moi, la journaliste alternative, auteure de ce roman,  et Doofie, nous aimons les arbres. Elle a un drôle d'air, leur haie qu'ils ont déjà rasée à plat l'an dernier, laissant apparaître le grillege rouillé. Doofie dit a Schnelly qu'en mettant du papier de verre sur une cale de bois et en frottant méticuleusement le vieux grillage, vieux des années 60, on pourrait enlever la rouille. Bon... ceci dit, Schnelly et Doofie, après avoir devisée derrière leur propre maison, rentre par le même chemin, en contournant par les trottoirs la maison de la voisine que avait râlé sur Doofie l'an dernier en disant que ce n'était pas normal qu'elle laisse Schnelly, ah le peuvre Schnelly, quel esclave! faire les courses, et qu'elle, la paresseuse, elle ferait bien d'aller les faire elel-meêm. (Peut-être que si Doofie n'avait pas préparé l'agrégation que Schnelly ne passe pas, elle aurait autant de temps que lui, mais les voisins ne savent pas que Doofie est prof, qu'elle se lève parfois à 4 heures du matin pour aller faire cours dans des endrioits eloignés, ces voisins arrivés depuis peu, alors que Schnelly et Doofie habitent là depuis vingt ans, et qui ne savent pas que Doofie est prof.

Doofie était en train de dire à Schnelly que les fleurs là du coin était belles, quand un gosse surgit devant eux, un gosse d'environ 8 ans, et dit à son mari "T'as un problème?", alors que l'on passait sur le trottoir de sa maison. et cela d'un air méchant! Schnelly comme à son habitude marchait devant Doofie qui parlait derrière lui pour qu'il entende. Schnelly a répondu "ET toi, t'en as un? Tu veux que j'en parle à ta mère?" Bon, on sait que depusi l'histoire des arbres, tout le quartirer leur en veut et ne leur parle plus, et plus personne ne dit bonjour à la sympathique Doofie et à son mari parfois soupe au lait avec Doofie.

Bon, si Doofie appliquait le code de l'éducation, elle devrait aider Schnelly à déposer plainte contre le gosse et ses parents, pour que soit appliqué à cet enfant lle code pénal (6 mois de prison pour injurs, c'était marqué sur le sujet de Bêtie, mais elle a dit que pour un enfant de 6ème, on ne l'enverrait pas en prison, qu'il fallait doser la sanction en fonction de l'âge et des antécédents. Et les parentss devraient verser 25 000 euros d'amende. D'après le code pénal.

Il est bien visible qu'ii c'est l'enfant qui a agressé verbalement Schnelly. Moi, je pense qu'il en fait qu'imiter les adultes, peut-être un moniteur du centre aéré qui dit aux enfants agaçants "T'as un problème?" (c'est assez courant chez les jeunes professeurs qu'ils s'adressent ainsi aux élèves et même partois à leurs collègues plus âgés. Doofie quand elle fait des remplacements et que les collègues croient qu'elle est une auxililiaire et ne sanvent pas qui elle est exacetement, s'est déjà payé ce gerne de réflexion de collègues, en général des hommes. Ou le père parlant à une autre personne ou à la mère ou aux enfants et disant "T'as un problème." même si à la place de Schnelly, soit je n'aurais pas répondu, soit j'aurais plutôt parlé du directeur de l'école (mais je crois que c'est le maire qui ne les aime pas à cause des arbres, alors...) et dit, je vais le drie à ton directeur, ou alors, je vais le drie à ton principal. Généralement le principal fait plus peur. Ou carrément : "Je

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 Cet article avait été enlevé, on ne sait pourquoi... Cete note est tombée dans les brouillons...

domino

 

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