lundi, 03 janvier 2011
la pétition
Doofie, mon personnage de roman-théâtre, s'est souvenu d'une chose, et elle se demande si cela n'influence pas les collègues qui ont l'air -sauf son collègue d'allemand e un ou deux autres - de llui faire grise mine.
En fait, elle pense à une chose qui s'est passée il y a une dizaine d'années dalns ce lycée-collège, avec les professeurs d'allemand précédents, tous maintenant en retraite. En fait, il y avait une collègue au collège qui avait passé et réussi le CAPES la même anée que Doofie et elles avait fait une partie de leur stage ensemble (le deuxième trimestre en collège, et les mercredi après-midi de pédagogie). Doofie et elle s'entendaient bien. Si la collègue est maintenant en retraite, et pas Doofie, c'est qu'elle était plus âgée que Doofie. En fait la collègue avait encore une particularité par rapport à Doofie et à Schnelly et cela est important pour comprendre la suite de cette note. Son nom de famille à deux lettres prês était fort semblable à celui de Doofie et Schnelly, donc au nom marital de Doofie, qui est son nom d'usage dans l'éducation nationale. Les deux noms ne sonnent pas du tout pareil, mais s'ils sont écrits en écriture manuscrite on peut les confondre.
La collègue voyant les effectifs de ses classes d'allemand diminuer - et il se passait la même chose chez ses collègues des autres collèges de la ville et dans les collèges des environ - elle reprocha à ses collègues du lycée, un couple qui comme elle était sur ce poste depuis le début de leur carrière - de noter trop sec en lycée et de provoquer ainsi une diminuation des effectifs d'allemand.
Elle ne trouve rien de meiux que de lancer une pétition contre eux, qu'elle alla présener même à Schnelly qui enseigne dans la même ville, masi Schenlly refusa de signer une pétition contre ses collègues.
Quant à Doofie, elle n'avait rien à voir dans l'histoire, pusique qu'à l'époque, elle enseignait dans un lycée à 20 km de là. Mais elle faisait aussi campagne auprès de ses collègues pour une notation plus souple, car ses deux collègues femme surtout notaient très sec. Ceci également pour ne pas décourager les élève et garder des élèves en allemand. Bien que les options du lycée en question étant tellement diversifiée, on était obligé de garder plus de postes pour pouvoir faire toutes les options. la politique du proviseur était d'ailleurs dans un premier temps de multiplier les options - sections hôetellerie, théâtre et musique - pour garder le plus de postes possibles dans toutes les matières.
Bon, bref, Doofie qui avait un nom d'usage proche de la collègue du collège en question, n'avait vraimen rien à voir dans l'hsitoire. Cependant un jour, elle alla surveiller le baccalauréat au lycée où elle est maintenant, et se retrouva dans la même salle que l'un des deux collègues de ce lycée, en fait le mari du couple. C'est pendant cete surveillance, ou avant ou après, car vous savez qu'on ne doit pas bavarder en surveillant le bac pour ne pas gêner les élèves, mais tous les professeurs le font, en chuchotant bien sûr, et pas à voix haute, que le collègue lui a expliqué outre ses déboires à l'agrégation -jeune prof, il avait été 35ème de l'agrégation alors qu'il y avait 40 postes, et soudain, cette année-là, le jury a décidé que le niveau n'était pas assez élevé pour octroyer l'agrégation au-delà de la 30ème place, et notre collègue avait été déclaré d'abord reçu, puis recalé! Il n'a plus jamais repassé l'agrégation... Si un jury d'agrégation faisait cela maintenant, il est sûr qu'il se heurterait à la colère des syndicats...
Ensuite il lui a raconté que lui et sa femme venait d'être inspectés. Doofie aussi d'ailleurs, c'était je crois la dernière fois qu'ella a surveillé le bac en tant que non TZR. Ensuite, elle l'a surveillé encore comme rattachée dans un lycée. Il lui a dit que l'inspecteur leur avait montré une letre écrite par leurs collègues et il liui a dit que l'instigatrice de cette lettre avait un nom qui ressemblait au mien d'après la signature manuscrite qui s'y trouvait. Or, je lui ai dit que non, qu'elle n'avait rien à voir là-dedans, que la lettre avait été montrée aussi à son mari Schnelly qui travaille dans la même ville et qu'il avait refusé de la signer. Il paraît qu'après la dame a dû noter plus large, mais ils n'ont pas été inquiétés davantage. Alros que Doofie elel, a eu des remarques de l'inspecteur du style "Vos collègues ne vous aiment pas", "Vos élèves ne vous aiment pas..." alors que ses élèves l'adoraient. Cette remarque avait particulièrement blessé Doofie. Et un rapport d'inspection qui n'avait rien avoir avec la réalité. Doofie s'est dit qu'on était juste avant un deuxième tout d'élection droite contre extrême-droite et que c'était sûrement pour celà qu'on lui avait joué ce tour-là.
A moins que l'inscpecteur ait cru que la signature sur la pétition était la sienne, alors que c'était celle de la collègue de collège au nom semblable au sien, la preuve en étant que la collègue en question avait présenté la pétition à Schnelly.
Alors, c'est peut-être à case de cette pétition soit disant signée par Doofie, mais en réalité signée par sa co-stagiaier de 20 ans avant, que Doofie semble être mal vue par les collègues de ce lycée et de ce collège. Doofie pesne que c'est l'inspecteur qui s'est trompé et qui a confondu Doofie avec son ancienne co-stagiaire du collège de la ville à 20 km, et qu'il a cru que c'était elle qui avait été l'instigatrice de cette pétition et que c'est pour cela qu'il lui a fait un rapport d' inspection bizarre.
C'est peut-être pour cela que maintenant les collègues du même lycée font des rapprots et des pétitions contre Doofie, pour venger leurs deux anciens collègues, maintenant en retraite, alors que Doofie n'y est vraiment pour rien, il n'y a eu que confustion de signatures avec sa collègue ayant un nom proche du sien.
Cette histoire qui vous raconte ce qui peut se passer dans les corps professoral des petites villes, n'a évidemment rien à voir avec la réalité.
domino
02:00 Publié dans enseignement (3) | Lien permanent | Commentaires (0)
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