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dimanche, 26 juillet 2009

Harcèlement moral à l'université.

Premièrement : Il ne faut pas confondre harcèlement moral et harcèlement sexuel, cela n'a rien à voir.

Souvent ce sont les meilleurs étudiants ou candidats de ooncours qui sont harcelés, lorsqu'ils ne s'inscrivent pas d'emblée à l'université avec un binôme (être en binôme protège du harcèlement, car si une amitié très forte unit le binôme, l'autre moitié du binôme est témoin que son binôme passe bien les examens, est présent aux examens et aux devoirs, rend ses devoirs maisons, fait des exposés, qu'il ne chahute pas et ne bavarde par, a un bon niveau, etc..)

Le harcèlement moral est plus fort en concours que chez les étudiants passant des examens parce que la concurrence est très forte, en particulier dans les préparations d'agrégation.

Mais pour les étudiants passant un examen, il se peut qu'a l'affichage des résultats, certains étudiants essaient d'infuencer le jury en disant qu'on a confondut sa copie avec celle d'un copain, surtout dans le cas de QCM ou de copies anonymées utilisant peu l'écriture manuscrite. C'est ainsi que j'ai vu dans des examens de type certifications des candidats absents ^à l'examen, être reçus (sans doute à la place d'un autre).  Bon, il se peut que ce soit une erreur aussi, le jury s'étant trompé de ligne en regardant le n° d'anonymat.

D'ailleurs, même pour l'agrégation l'anonymat est levé avant la publication des résultats, si bien que certains candidats bien plus forts dans la matière que leurs camarades ne sont même jamais admissibles. Des bruits ayant courru qu'ils ne remplissaient pas les conditions, alors qu'ils les remplissaient pleinement!

Dans la salle de cours même le harcèlement moral se passe ainsi :

- Un étudiant ou candidat de concours est isolé complètement par ses camarades, il a beau être gentil et essayer de prendre contact avec tout le monde, car ce n'est au départ pas un malade, mais une personne très "public relation", peu à peu, on fait courir des bruits sur lui, tels que : "Il ne remplit pas les conditions de concours", ou "Il est nul et il fait faire les devoirs par son conjoint" (même ceux sur table faits à l'heure où son époux travaille.) Quand le candidat finit par participer (à des cours de tradution par exemple) sans préparation écrite, pous montrer qu'il a la science inffuse et que ce n'est pas son conjoint qui fait les préparations, on fait alors courir deux sortes de bruit : le premier étant qu'il ne travaille pas, et qu'il a certes la science infuse, mais que comme il ne travaille pas, son niveau allait baisser, le deuixème bruit étant que le conjoint fait les préparations, et qu'il les apprend par coeur). Dans le cas que je connais, le mari n'est même pas certifié par concours, mais par liste, car il a râté plusieurs fois son CAPES, alors que l'étudiante harcelée a son CAPES, et est bi-admissible à l'agrégation.

- On peut aussi raconter qu'il sent mauvais politiquement, c'est à dire qu'il est nationaliste ou quelque chose de ce genre, lorsque les autres étudiants ou candidats sont de gauche. Même si ce n'est pas vrai et que l'étudiant ou candidat est lui-même de gauche.  Mais non militant.

- Le candidat étant isolé des autres, séparé du groupe, séparation qui se traduit par sa place dans la salle, s'il y a peu d'étudiants, il est placé seul et dans une autre rangée, ou bien tout seul devant, et personne ne vient le rejoindre,

-Certains  professeurs, surtout des femmes,  voyant qu'il est isolé et séparé des autres participent parfois à l'ambiance générale qui consiste à ricaner quand il donne une réponse même juste, et/ou le rabroue lorsque, bon an mal an, il arrive à placer une réponse dans les réponses qui fusent de toute part, mettant alors fin au brouhaha, en rabrouant ce pauvre étudiant qui n'avait soufflé mot jusque là, alors que les autes étaient tous en train de donner des solutions plus ou moins juste et de rire avec le professeur. C'est arrivé il y quelques années à un cours d'agrégation, une étudiante placé en dehors du groupe ne disait rien alors que le professeur cherchait "dans la bonne humeur" la solution à un problème de traduction, dès que l'étudiante en question donna sa solution, (qui était bonne) on lui a dit : "Je ne veux pas vous entrendre, Madame NN. Vous voyez bien que vous nous empêchez d'avancer dans le cours" et "Bon, on travaille", puis le cours reprenait une direction sérieuse. C'était cetté année là, le cas pour plusieurs cours et pour la même étudiante... Généralement, ce qui se passe, c'est que l'étudiant harcelé se terre dans sa coquille et ne dit plus rien. Cette année là la candidate harcelée, a été la seule admissible de la formation!

- L'étudiant harcelé choisit une date d'exposé et un exposé , le prof "oublie" sa date, et donne le même exposé à un autre étudiant, le jour J, les deux étudiants arrivent avec leur exposé et celui qui a eu le sujet une semaine après l'autre insiste tellement que c''est lui qui fait l'exposé.

- Lorsque l'étudiant fait son insciption annuelle, on lui fait un tas de tracasseries, par exemple on lui renvoie trois fois son dossier d'inscription, en lui demandant de refaire le chèque pour les droits d'inscription, car le montant ne correspond pas à la préparation et en lui indiquant trois fois un montant différent, de façon à ce que la date limite soit passée et qu'il ne puisse plus s'inscrire ou qu'il se décourage et ne renvoie plus le dossier. Ensuite ils diront : Bon, si l'étudiante candidate d'agrégation s'est découragée devant l'adversité, elle ne pourra pas être prof, car elle sera trop faible, etc... Or, cette même personne est prof avec succès dans le secondaire depuis 30 ans...

- L'étudiant harcelé est un professeur du secondaire en activité, des étudiants plus jeunes et qui ne travaillent pas lui font des remarques (tout en le tutoyant), parce qu'il n'a pas fait (il n'a pas eu le temps) un devoir, ou n'a pas préparé suffisamment son exposé.

- Des professeurs donnent des devoir toutes les semaines et ne veulent plus les corriger lorsque le professeur du secondaire en activité rend ses devoir la semaine suivante, même si le corrigé n'a pas encore été fait en cours, ni donné aux étudiants.

 - Alors que jusqu'ici, l'étudiant était le seul de son nom ou de son prénom dans sa formation, on en inscrit un autre qui porte le même nom, mais est moins bon que lui, et deux autres qui portent le même prénom, passent le concours d'en dessous (CAPEs au lieu d'agrégation ) ou est retraité. Ainsi quand l'étudiant passe le concours, on dit "Ce n'est pas possible qu'il ait si bien réussi, ça ne doit pas être sa copie, ça doit être la copie d'un tel", car on le confond avec l'autre moins bon de même nom, ou alors le candidat qui porte comme patronyme votre nom marital ne se présente pas au concours, si bien que quand on demande "Est ce Mme NN s'est bien présentée", on répond, non, elle était absente, alors qu'elle s'est présentée sous son patronyme (c'est obligatoire!). En ce qui concerne le prénom et la personne inscrite dans l'année d'en dessous : "Et bien non, Dummie Doofie ne remplit pas les conditions pour l'agrégation interne, puisque Dummie (Sottie, mais on ne cite pas le nom de famille) a passé le CAPES externe)!

- On inscrit à la préparation de CAPES§Agrégation, une mère de trois enfants qui n'a besoin d'aucun diplôme pour passer le concours, et qui porte le même prénom que l'étudiante harcelée. Et ensuite on dit de l'étudante harcelée qui a eu des mentiosn au bac, et dans ses études univesitaires qu'elle a fait très rapidement jadis (elle n'avait redoublé que sa première année, car ayant de l'avance, elle n'avait pas l'âge pour entrer en deuxième année). il fallait 18 ans révolus pour s'inscrire à l'université, mais elle avait été inscrite en première année, parce qu'elle était venue s'inscrier avec sa mère à ses côtés, ce qui était considéré comme permission parentale. Or, elle n'a eu 18 ans que juste  avant de passer son examen de fin de première année. Peu à peu,on la confond avec la mère de trois enfants qui n'a aucune diplôme et a le même prénom qu'elle et on lui dit : "Oh! De toute façon, tu n'es pas bonne, car tu n'as aucun diplôme!", alors que la pauvre a Licence, Maîtrise et CAPES. Alors que l'étudiante maintenant harcelée mais qui ne l'était pas trois ans auparavant, était alors très aimée, sous son prénom et son nom de famille des autres étudians, on a fait venir à l'université cette autre personne portant le même prénom, en la rendant très populaire, pour qu'on ne se souvienne plus de la première, et quand celle-ci et revenue en préparation d'agrégation l'année suivante, tout le monde appelait l'autre par son prénom et ignorait celle qui était populaire par ce prénom trois ans avant.

- L'étudiante d'agrégation avait payé un droit supplémentaire pour les polycopiés, régulièrement un professeur donnait un document supplémentaire en disant "C'est pour Dummie!", mais le document atterisait dans les mains de l'autre Dummie, et quand la première Dummie  à laquelle revenait officiellement le document demandait à la seconde Dummie : "Qu'est ce que c'est? Est-ce que tu pourras me le montrer", l'autre Dumm ie cachait le document dans ses bras en disant "Cela ne te regarde pas, de toute façon, on le mettra après à  la bibilothèque", elle a fait pareil avec un document donné une semaine avant l'agrégation interne, sur un auteur qui est tombé (c'était le compte rendu d'une conférence de l'auteur), alors que la seconde Dummie qui n'a pas voulu préter le document à la première Dummie ne passait son CAPES qu'un mois plus tard.

- On fait  des RV avec des professeurs pour des cours supplémentaires pour un certain groupe d'étudiants (par exemple un cours supplémentaire pour l'agrégation interne), mais on ne prévient pas Dummie, l'étudiante harcelée qui a payé des droits plus chers pour l'agrégation externe, tout en préparant les deux agrégations.

- L'étudiante plus âgée marchant moins rapidement que les autres, on fixe en ha^te une salle pour un cours qui ne peut avoir lieu dans la salle habituelle, dans une salle très éloignée située dans un autre bâtiment, on donne un numéro de salle érooné à l'étudiante qui n'arrive pas à suivre le groupe parti au pas de course, et  elle ne trouve jamais la salle et râte le cours... car essayent de suivre les autres tant bien que mal, d'un seul coup au détour d'un couloir, elle ne voit plus le groupe, et ne sait pas où a lieu le cours....

- On fait disparaître le dossier de l'étudiant, ou on le cacher en partie, en particulier ses plus hauts diplômes lorsqu'un professeur veut le consulter.

- Lorsqu'un étudiant  professeur du secondaire manque une semaine ou deux, parce qu'il a des conseils de classe, des réunions de parents, des moyenne à faire, etc...; un professeur le considère comme démissionaire de sa formation et de son concours, et s'exclame quand il revient (même si vous avez envoyé des  mails pour vous excuser) "Tiens, vous n'aviez pas abandonnée?"....

- Un étudiant découragé par le harcèlement ou l'attitude de certains professeurs vis à vis de lui, dit à un autre étudiant en sortant des cours "Tiens, je crois que je vais abandonner". L'autre étudiatn s'empresse de le drie au professeur et quand l'étudiant arrive le jour de cours suivant, un professeur le chasse en disant "Vous n'avez plus le droit d'être ici, vous avez abandonné vos études!" L'étudiant rentre chez lui en pleurs et interloqué trouve une lettre à son retour formulant son renvoir en des termes qui laissent supposer de graves choses sur lui, et sans jugement elors qu'il est inscrit et a payé dans les 200 ou 300 Euros de droits d'inscription. La lettre stipule 1) Qu'il n'est pas incrit, alors qu'il est inscrit, 2) Qu'il se livre à des "interventions" bruyantes dans l'université (alors qu'il n'a jamais participé aux blocages et aux mouvements de grève...), 3) Qu'il s'y livre à des activités répréhensibles, alors que ses seules activités sont d'écouter les cours, de prendre des notes, de faire des exposée (parfois qualifiés d'intervention par les professeurs), et de rendre des devoirs.... de passer des examens et des concours... Comme il s'agissait d'une étudiante, l'étudiante était inscrite sous son patronyme (nom de naissance), mais la lettre était adressée à son nom marital, sans mention du patronyme.

 Tout ceci est arrivée à une même étudiante, professeur du secondaire de son état, qui avait fait des études initiales sans problème à un âge très jeune, avait eu son bac avec mention avec un an d'avance, à une dame gentille comme tout... on se demande vraiment pourquoi...

Elle me l'a raconté.

domino

 

 

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