mardi, 22 avril 2008
Les courageux sont blâmés, pas les paresseux
Les courageux sont blâmés, pas les paresseux (remake avec paragraphes)
Les courageux sont blâmés, pas les paresseux. J
J'aurai 60 ans dans un peu plus de trois ans,
Si j'étais paresseuse, j'aurais été à la médecine préventive du rectorat, on m'aurait donné tous les congés que j'aurais voulu, eu égard à mon âge, à mon poids, etc... et au fait que je ne supporte plus les chefs d'établissement colériques : Si j'étais paresseuse, j'aurais eu droit à un congé longue maladie à temps complet et payé avec totalité du salaire pendant un an, puisque je 'n'ai pas eu de CLM depuis largement plus d'un an. Un an aux frais de la princesse. j'ai eu un CLD d'un an environ (en fait deux de 8 mois et de 3 mois à des moments différents de ma carrière), donc j'ai droit à encore deux ans de CLD payés à temps complet, donc deux ans de farniente aux frais de la princesse. De quoi attendre paisiblement une petite retraite à 60 ans.
Mais je ne suis pas paresseuse, je suis courageuse et je veux réussir l'agrégation c'est pourquoi je suis toujours TZR actuellement, je veux réussir l'agrégation, ensuite faire de la recherche en linguistique allemande jusqu'à 65 ans minimum, je refuse d'aller à la médecine du rectorat pour éviter les congés qui m'empêcheraient d'avoir,l'agrégation j'ai demandé ma mutation pour des bons lycées (et moins bons, mais des lycées) de la région, pour redevenir ce que j'étais avant, une prof de lycée, en plus je suis devenue bi-admissible depuis que je suis TZR après avoir fait des centaines de kilomètres par semaine pour suivre des cours à l'université, une chance supplémentaire pour moi d'avoir un lycée.
Mais voilà parce que j'ai rattrapé les cinq jours ouvrables de mi-mai pendant lesquels j'avais été absente l'an dernier sur un service qui n'était même pas le mien, puisque pas dans ma matière.... Puisqu'on m'avait convoquée pour la médecine du rectorat pour cette absence, pour laquelle j'avais donné un certificat médical de reprise à ma principale. J'ai un blâme (pour la période des vacances de février, apparemment j'avais reeçu une convocation à la médecine du rectorat pendant les vacances de février, ils m'envoient une de ces convocations à chaque période de vacances, mais je ne le savais pas... je n'ai même pas vu d'avis de recommandé dans ma boîte, et on me reproche essentiellement de ne pas avoir été chercher les recommandés, combien de firmes commerciales auxquelles on fait des réclamations, ne voient jamais nos recommandés? Mais je ne vis pas seule. Auparavant j'avais déjà perdu plus de 400 Euros. Parce que je n'ai pas répondu aux convocations de la médecine préventive du rectorat. Dont certaines étaient pendant les grandes vacances. (Ils me convoquent toujours pendant les vacances, c'est vraiment bizarre : du harcèlement moral professionnel?
Et ils m'envoent ces convocations pour un truc qui s'est passé il y aura un an dans trois semaines! L'histoire du paperboard.
Pimpon, quand la maison vient d'être reconstruite, on la démolit.
On me dit qu'il suffirait que je me syndique pour faire enlever le blâme et remettre tout cela en place, mais je ne fait pas confiance à des syndicats qui tous plus ou moins affiliés à un parti politique. Alors, que faire? Et moi, je veux rester libre de mes idées.
Un blâme n'empêche pas d'enseigner, car je n'ai pas de suspension. Mais il faudrait que les sanctions soient mieux échelonnées tout d'abord un avertissement, ensuite un blâme, etc.... Allez directement au blâme parce que je n'ai pas voulu que le signalement que j'ai fait d'un rouleau de paperboard disparu et réapparu soit médicalisé, c'est un peu fort!
S'ils m'envoient à la médecine préventive du rectorat c'est sûrement parce que j'avis écrit ces "artcvles" dutant l'été 2007.
* Cette affaire n'a rien à voir avec la "giffle de Berlaimont". Je n'ai jamais enseigné dans ce collège. Ce collègue n'a eu aucune sanction jusqu'ici. Il continue à travailler et n'a pas eu de suspension et par ailleurs aura certainement un non lieu en septembre.
Ici, on pourrait dire : 2 poids et deux mesures. Une TZR blâmée sur un service hors de sa matière pour avoir signalé une disparition qu'elle croyait être un changement de place de l'objet par une tierce personne. Et qui est accusée à tort d'avoir accusé un ouvrier et accusée d'avoir répondu en criant à sa principale qui hurlait sur elle. Et d'avoir manqué pas tout à fait cinq jours ouvrables rattappés en juin 07 (les évènements s'étaient passés en mai 07), et accusée de n'avoir pas répondu à la médecine du rectorat et de n'avoir pas été cherché les lettres recommandées de celle-ci
-convocations qui tombent systématiquement au milieu des périodes de vacances, pour empêcher les professeurs de partir en vacances ou pour faire venir une ambulance à la médecine préventive du rectorat fermée sinon, pour venir enlever domino, et l'amener dans un hôpital psy comme Soljenitsine, parce que domino avec plus de 140 de QI fait partie de l'intelligentsia française; remarquez au passage que tous les psys que domino a du voir dans sa vie à cause des médecins du rectorat et des médecins assermentés qui étaient chargés de vérifier ses aptitudes mentales à enseigner-
(et comme elle a toujours eu le feu vert pour reprendre l'enseignement, c'est que toutes ces tracasseries étaient inutiles)
bref tous ces psys n'ont pas réussi à entamer le QI de presque Einstein de domino avec leurs petites pilules.
Quand ils m'auront "défonctionnarisée" à l'âge de 57 ans., - pour ne pas me donner ma retraite de fonctionnaire, que me restera-t-il à faire? Partir travailler à l'étranger. C'est ce qu'on appelle la fuite des cerveaux, car la France ne sait pas garder ces cerveaux. (Les Chinois avaient même envoyé une petite chinoise draguer le cerveau de mon neveu major de promotion d'une école d'ingénieurs, mais il ne l'a pas suivie en Chine, où ils vivaient à 36 personnes dans un même appartement, moi avec mes 140 de QI, je ne suis que la honte de la famille, mes neveux doivent tous être entre 160 et 200, mais le summum du QI étant atteint à l'âge de 35 ans et diminuant ensuite avec l'âge, j'ai peut-être eu plus auparavant).
Revenon à nos moutons :
Voilà un autre collègue contre lequel un parent d'élève, gendarme, a déposé plainte parce qu'il a donné une giffle à son fils après avoir fait tomber ses affaires parce qu'il ne changeait sa table de place assez vite (ils étaient en train de changer la disposition de la salle), (personellement, je ne ferais jamais tomber les affaires d'un élève, j'ai beaucoup de patience avec eux), puis l'élève lui ayant dit d'un air penaud "Pourquoi vous faites ça, monsieur?", il s'est encore plus énervé, l'a plaqué contre le mur et la gifflé. C'est la version du journal et celle d'une de mes élèves adultes qui connait cette personne. Mais elle m'a dit que son époux le défendait parce qu'il était syndiqué, mais n'était pas pour autant foncièrement d'accord avec lui.
domino
23:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
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