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jeudi, 31 décembre 2009

A l'entée du magasin...

Dummie écrit dans son journal :

Vous vous souvenez de cet été, quand Doofie, Sottie et moi nous étions en vacances pas loin de la mer dans un paysage de collines au bord de la mer* et qu'en chantant une mélodieuse chanson rebelle, elle s'était éloignée vers la mer....  Tout le monde a cru qu'elle voulait mourir et si je n'avais pas été là pour la rappeler, elle ne serait peut-être plus de ce monde.

Elle avait été arrêtée en faisant ses courses à l'entrée d'un magasin et amenée dans une salle de contôle Heueusement que Schnelly l'y a accompagné, sinon, elle ne serait peut-être plus de ce monde non plus, mais de toute façon, la pression psychologique exercée sur elle ce jour-là à elle seule, était capable de la tuer.

Souvenez-vous, le portique sonne à l'entrée du magasin, juste entre le passage de son mari et d'elle-même, en effet, Doofie se souvient que le portique a sonné alors que ses pieds n'étaient pas encore à l'entrée du portique Elle a vu le vigile appuyer sur une sorte de télécommande juste avant qu'elle passe et elle s'est arrêtée juste avant le portique. Elle n'avait sur elle que son sac à main bourré d'objets hétéroclites à cette époque, avec deux appareils de photos dont un qui était tombé une semaine plus tôt., et l'autre, le nouveau acheté à Grande Métropole deux jours plus tôt, mais pas dans ce magasin.  Toutes les chances, quoi! L'appareil de photo préféré de Doofie, celui qui enregistrait si bien sa voix sans saturer les aigus comme son ordinateur en panne! Et ce sbire de magasin qui l'arrête à l'entrée, prétextant que ça évitera que le portique sonne de nouveau à la sortie, et que ça lui évitera des ennuis à la sortie.

Doofie, dit : "Je vais rentrer à la maison", "je ferais mes courses un autre jour", elle en avait le droit, mais le vigile insiste pour qu'elle le suive dans la salle de contrôle.

Là, il ausculte son sac à main avec un détecteur et finit -fouiller dans le sac à main des dames, quelle honte! - et finit par trouver dans une pochette extérieure contenant entre autre un petit sachet de sucre en poudre d'un café pris dans une cafétaria (Doofie prend son café toujours sans sucre, mais ramène les sucres à la maison par souci d'économie), et une petite berlingot rectangulaire contenant de la sauce de salade (ça peut toujours servir à la maison, mais gare si les sachets éclatent dans son sac, c'est pour cela qu'elle met tout ce qui est comestible dans une pochette extérieure, ce sachet là date d'au moins deux mois, la dernière fois que Doofie a pris une salade à la cafétaria de l'université). Et une petit batonnet avec un trou au milieu, c'est une cuillère à café simplifiée, dont Doofie ne s'est pas servie, mais ne sachant qu'en faire, elle l'avait mise dans son sac. Bien cher lui en a couté de garder ces objets par souci d'économie, Doofie est écologiste et n'aime pas jeter les objets en plastique, elle collectionne petites cuillètes, fourchettes et couteaux en plastique parce que ça peut toujours servir.

Alors, dans l'esprit du sbire, c'est cette cuillère en plastique qui faisait sonner le portillon, il a bien appuyé sur le bouton de son détecteur pour dire que c'était cette cuillère en forme de bâtonnet, sur le moment Doofie s'est demandée, si ça ne venait pas de l'intérieur d'un CD acheté à Grande Métropole et qu'elle avait déballé dans le train. Et ce n'était pas l'antivo d'un CD d'un autre magasin. Ceux-ci tombent des disques quand vous enlevez l'enveloppe en cellophane. MAis en fait, à cause de la sauce de salade et du sucre (d'après ses souvenirs, elle rectifie que c'était un morceau de sucre et pas du sucre en poudre..), rétrospectivement, il semblerait que ce soit plutôt une cuillère à café.

Parfois, actuellement il y a de ces petits antivols aussi à l'intérieur des vêtements et les caissières n'ont pas toujours le temps de les enlever aux caisses où les marchandises payées passant par le tapis, ne font pas fonctionner le signal sonore. Donc, ce sont les magasins qui oublient d'enlever les antivols à la sortie et ensuite accusent les gens d'avoir volé quand ils reviennent dans le magasin avec le même vêtement, même un an plus tard. (Il parait qu'un homme a dû se deshabiller complètement parce qu'il y avait un antivol dans son slip, à l'entrée d'un magasin.)

Bref, la cuillère à café de Doofie a été confisquée....

Et Doofie, humiliée, a quand même suivi Schnelly dans le magasin où ils ont fait leur course, puis, y repensant, en voulait au monde entier, de l'avoir fait passer pour une voleuse, elle qui est si honnête!

Arrêter comme cela une prof de presque 60 ans à une entrée de magasin, prétendre que c'est une voleuse, l'emmener dans la salle de contôle, alors que parents ou élèves l'ont peut-être vue, quelle humiliation. Ben oui, quoi  il peut y avoit des élèves en vacances dans le même bled qu'elle, ça peut arriver!

Quelques jours plus tard, je ne sais pas si c'est dû à l'émotion, où si c'est cet espèce de détecteur que le vigile tenait très près de son dos, la touchant même avec, une espèce d'uriticaire des plaques rouges sont apparues tout le long de sa colonne vertébrale, avec la peau qui pèle sans cesse. Elle s'est demandée s'il n'y avait pas quelque chose de radio actif dans son détercteur. Les plaques au bout de trois mois comemncent seulement à disparaître. Doofie, princesse de sang royal  est un peu comme son ancêtre Siegfried (Chilpéric 1er), petit fils de Clovis), tué à la chasse par un sbire de Brunnhilde, la femme de son voisin Günter (Gontran) qui lui a succédé sur le thrône de Paris, une caracpace commence à la protéger.

Bon, enfin, bref, des évènements récents rappellent à Doofie ces évènements douloureux, d'un été qui n'a pas été de tout repos.

Dummie

Bon, c'était un extrait du jounal de Dummie. Et moi, si ça m'arrivait, je ne serais pas heureuse non plus, il faut dire que Doofie a de l'embonpoint et que même si elle a maigri, on croit toujours qu'elle cache des marchandises dans son gros ventre, à cause des vestes qu'elle ne sait pas fermer (elle ne trouve pas de vestes à sa taille).

Doofie passe pour une marginale, parce qu'elle a un physique hors-norme.

domino

 

 (Voir autre article de ce blog au mois d'aout : un passge de la pièce de roman-théâtre avec Doofie, Dummie, etc...) 

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* paysage issu de mon imagination, car moi-même je suis restée à la maison cet été.

jeudi, 20 août 2009

Sbires malhonnêtes

(Doofie et Dummie sont en train de sortir pour aller à la piscine, quand tout à coup Doofie se met à pleurer)

 -Pourquoi tu pleures, Doofie, demande avec une curiosité mélée de compassion, Dummie. 

- Tu ne sais pas ce qui m'est arrivé hier soir en faisaint nos courses communes avec mon mari?

- Ah oui, c'était votre tour d'aller faire les courses?

- Et oui, mais nous ne sommes pas allés dans les petits magasins habituels, mais dans la grande surface à coté de la ville.

- Ah! dis Dummie, c'est plus impersonnel là-bas!

- Comme tu dis! Et même pire que çà!

- Ah bon, que s'est-il passé?

- Et bien, on a bien failli ne même pas entrer dans le magasin!

- Pourtant, avec les cheveux châtains clairs que tu as, tu n'as pas fait un délit de sale gueule.

-  Mais j'ai les yeux marrons, proteste Doofie en pleurnichant, et mes cheveux grisonnent, bientôt, on ne verra même plus que mes cheveux étaient châtains clairs, et avec mon bronzage d'été, je ferai quand même un délit de sale gueule.

- C'est vrai que ta peau est devenue toute dorée.

- Mais, dans ce cas précis c'est improssible de dire cela, car les sbires qui gardaient l'entrée du magasin avaient un look très méditéranéen.

- Et alors, que s'est-il passé.

- Mon mari est passé devant moi dans le portique, juste quand il est sorti du portique (en entrant dans le magasin) et avant même que je n'entre moi-même dans le portique, celui-ci s'est mis à sonner.

- Vous avez quelque choses sur vous qui fait sonner le portique, Madame!

- Mais, monisieur, je suisi en train d'entrer dans le magasin, pas en train d'en sortir, je n'ai pas encore mis les pieds dans votre magasin, vous ne pouvez quand même pas m'accuser de vol.

- Non, mais il faut savoir ce qui fait sonner le portique, j'avais bien vu qu'il avait dans les mains une espèce de télécommande, sur laquelle il appuyait aux moments opportuns pour faire sonner le portique. Tu sais, ils font cela aussi à l'entrée des grandes librairies et disquaires de grande métropole régionale et les sbires font sonner les portiques à chaque fois que je suis avec mon mari!

- C'est lui qui fait un délit de sale gu..... ?

- Oui, en quelque sorte  il est barbu et les barbus sont mal acceptés en ce moment. Il parait même qu'à une certaine époque le parti au gouvernement en France actuellement voulait interdire les barbes. Enfin, je ne sais pas si elles sont vraiment interdites ou pas, mais toujours est-il que mon mari ne porte plus sa barbe aussi longue!

- S'il ne porte plus sa barbe aussi longue à cause de cette soi-disant interdiction, c'est un béni oui-oui. ton mari. Moi, si j'étais un homme, je dirais qu'en protestation contre de telles interdictions on porterait tous la barbe rien que pour embêter le gouvernement.

- Il paraît que les barbus sont réputés être de gauche, c'est pour cela que le gouvernement ne les aime pas, ce sont des baba cool, mais en fait, c'est une image de la droite de dire que la barbe est un signe extérieur d'idées écologistes ou socialistes.

- Mais tu sais, les hommes qui portent la barbe depuis longtemps, se sentent nus quand ils doivent la couper...

- C'est comme moi, si je devais couper mes cheveux. Je me souviens de quand j'étais petites, je touchais sans cesse ma nuque à la recherche des cheveux, quand ma mère m'obligeait à les couper.

- Bon, ceci dit, ce n'est pas à lui qu'ils en voulaient, mais à moi.

- Mais pourquoi, t'es quand même B.C.B.G*?

- Ben, si on veut, je suis quand même en tenue de vacances! Disons que j'avais un beau tee-shirt avec des petites choses qui brillent, mais un pantalon de jogging et des chaussures mi-sport qui restent ouvertes sur le dessus, tellement mes pieds sont gonflés.

- Tes pieds sont gonflés?

- Ben, oui, depuis quelques années, enfin, depuis la ménopause, mes pieds gonflent beaucoup, surtout en été, et je n'arrive plus à fermer aucune chaussure, même en faisant tous les magasins de la région, je ne trouve aucune paire de chaussure que je peux fermer sur le dessus. En été, passe encore, mais en hiver, c'est vraiment embêtant. Tu sais, c'est à cause du diktat de la mode sportive que prône le gouvernement populiste, les femmes fortes ne trouvent plus rien à leur taille, et j'ai beau faire régime sur régime, marcher beaucoup, bref, plus rien n'y fait, même en ne mangeant rien je ne maigris plus ou très peu.

- Bon qu'ont-ils fait, qu'ont-ils dit?

- Ils m'ont dit : "Il faut trouver la cause qui fait sonner le portique, sinon, le portique va sonner en sortant, et vous pourriez être accusée de vol".

- Je n'avais sur moi que mes habits et mon sac à main,  dans lequel il yavait deux appareils de photos dans mon sac, dont un qui ne marche plus (il est tombé en panne la semaine dernière d'une drôle de façon -quand je te raconterais l'histoire des images qui se sont mises à l'envers sur mon écran de haut en bas et de gauche à droite à la fois), et on en a racheté un autre à grande métropole régionale. Plus un mini téléphone.

- C'est normal d'avoir des appareils de photo quand on est en vacances!

- J'ai tout de suite pensé que c'était ces choses là qui faisaient sonner leur portique, et je les ai passé un à un devant le portique, plus un bruit! Plus de sonnerie! J'ai repassé le sac, plus rien! Je suis repassée devant le portique, plus un bruit, plus de sonnerie!

- Donc, il avait bien appuyé sur une télécommande! Puisque ni ton sac, ni toi ne faisait plus sonner le portique!

- Oui, j'ai déjà bien observé qu'ils font cela à Grande Métropole Régionale aussi!

- Le monsieur a dit : "Oui, mais ça risque de sonner de nouveau à la sortie! Il faut voir d'où ça vient, on va appeler un collègue, il va regarder de quel élement de votre sac cela vient.

- (Ouf, il avait déjà éliminé l'idée que ça viendrait de mes habits! J'avais peur qu'il ne me fasse mettre toute nue! Un homme en plus, j'inventerais un truc, que ma religion m'interdit de me deshabiller devant autrui, etc...)

- Oui, ce serait une bonne réplique cela, surtout vis à vis de musulmans! Il voulait peut-être te mettre dans son harem?

- Une vieille comme moi? Tu rigoles! Son collègue m'a dit venez par ic et il m'a fait entrer dans un long couloir,sur la porte était écrit "sécurité" ou quelque chose de ce genre, comme si mon pauvre sac à main troublait l'ordre public! Mon mari m'a suivie. Ah! Bon! Vous venez aussi, 'lui a-t-il dit?  Tu vois? Il voulait peut-être me violer, s'il ne voulait pas que mon mari nous suive! Il voulait peut-être même me tuer! dans un long couloir comme celui-là, il y a peut être un stand de tir au bout... Finalement, il a accepté qu'il vienne. Il a fait passer mon sac devant un  portique au bout du long couloir, le portique ne sonnait pas (d'ailleurs ça n'a pas donné à la sortie du magasin non plus)! Puis il m'a fait passer dans le portique, ça ne sonnait toujours pas!

- C'est la preuve que son collègue a actionné la sonnerie du portique lui-même!

- Oui, mais le collègue dans le couloir, il voulait donner absoulument raison à son collègue. Alors, il a passé mon sac avec son détecteur, l'a appuyé bien dessus, pour absulument farie sonner quelque chose, au risque de détraquer le nouvel APN que j'avais acheté une semaine avant. Puis finalement, a réussi à faire sonner son détecteur sur un petit coin de mon sac, il avait une petite barre du style des anti-vols que l'on trouve dans les disques à boitier plastique, il l'a rentré et sorti d'une poche de mon sac (auparavant, il m'avait fait vider tous les objets de mon sac et les avait passé avec son détecteur un à un, heureusement que j'avais fait le ménage dans mon sac il y a deux semaines, sinon il y aurait eu en plus un tas de papiers épars, et tous les tickets de métro, de bus et de train de l'année scolaire , à passer au détecteur.

- ça ne doit pas être agréable comme situation?

- Et non, j'en pleure encore. Mais bon, cela passera, mais je m'en souviendrai comme d'un cauchemar jusqu'à la fin de ma vie! Mais si'l m'en arrive encore une ou deux comme cela, je crois que ma vie ne sera plus bien longue et que j'irais rejoindre ma maman au firmament!

- Et c'était quoi ce bâton qu'il a rentré et sorti de ton sac? Tu es sûre qu'il n'était pas dans ton sac?

- C'est le genre d'antivol qu'on trouve dans les pochettes de disques. Et qui tombent par terre quand tu ouvres le disque, après avoir enlevé le papier en cellophane?

- Tu achètes encore des disques, pourquoi tu n'achètes pas des MP3.

- C'est pour faire vivre les firmes de disques, après tout je suis aussi musicienne, et j'aurai peut-étre besoin d'eux un jour. 

- Tu es surtout un rossignol!

- Oui, mais à mon âge, il suffit d'avoir la gorge nouée en pleurant à cause des sbires de magasins, qui te traite injustement de voleuse, alors que tu n'es même pas encore entrée dans leur magasin... d'avoir la gorge nouée  pour perdre ta voix momentanément, et si on te fait des coups comme cela souvent, tu perds ta voix de rossignol définitivement.

- C'est sûrement fait exprès, ils te poussent à bout, pour que tu pousses des hurlements, et que tu détruises ta voix, car tu es trop dérangeante avec ta voix de rossignol, dans l'éducation nationale.

- Oui, c'est un discours que l'on m'a tenu souvent, surtout quand la droite est au pouvoir, on me le disait déjà à la fin des années 70, avant l'avènement de Mitterand. Mais cette fois-ci, je me suis maîtrisée, je n'ai pas poussé de hurlements! Je n'ai même pas pleuré devant eux, j'ai pleuré après.

- Ils t'ont laissé ressortir?

- Oui, cette barre ne devait pas être dans mon sac, car j'ai vidé complètement mon sac et je l'ai nettoyé il y a quinze jours, et je ne men étais pas resservié depuis. Je n'y avais remis que les objets utiles pour sortir.

- Donc, c'est bien eux qui ont inventé cette histoire de petite barre de plastique qui sonnait?

- Sûrement!

- Ils profitent des gens qui ont des sacs désordonnés pour faire croire que tu as n'importe quoi dans ton sac!

- Mais mon sac était ordonné, je venais d'y faire le ménage, quinze jours auparavant, mais c'est de la mauvaise qualité, toutes les doublures sont déchirées au bout de six mois d'utilisation.

- Et tu as pu ressortir?

- Oui, ils ont même dit qu'on pouvait entrer dans le magasin et faire nos courses, comme on n'avait déjà perdu pas mal de temps, on  n 'a pas eu fini vos courses, mais c'est bien pour vous qu'on a fait les courses, s'il n'avait pas fallu absolument acheter les provisions, on ne serait pas entrés dans ce magasin de malheur. D'ailleurs je crois qu'après ce que je vous ai raconté, plus aucun ou aucune d'entre nous n'y fera ses courses.

- Non, ils ont perdu des clients potentiels. Ils ne savent pas retenir leur clientèle ou en trouver.

- S'ils font cela, c'est pour dissader les gens de voler.

- Oui, mais est-ce que mon mari et moi serions des voleurs? Nous n'avons jamais volé de notre vie, mais après un coup comme cela, on aurait presque envie de se venger en faisant un hold-up dans leur magasin..

- Tu le ferais vraiment?

- Non, je suis trop honnête! Tiens, sans le vouloir, le sbire a fait un péché!

- Ah bon? Il a vraiment...

- Non, pas cela... il a sorti mes clefs de mon sac, sur mes porte-clefs il y a un St Christophe, Ste Gudule et St Gédéon! Lui, dans sa religion, n'a pas droit à la représentation physique des saints. En étant trop curieux, il a blasphémé son Dieu. Dans sa religion, il est damné!

- Mais tu sais autre chose, il n'avait pas le droit de regarder ce que tu as dans ton sac, alors s'il est damné, c'est bien fait pour lui! Enfin, je vais te dire autre chose, mon oncle avait un magasin de vêtemenst, enfin, c'était un magasin de chaîne dont il était le gérant, et bien, il m'avait dit que le client étant à l'extérieur du magasin, il navait pas le droit de le fouiller, ni de reprendre une machandise volée. Il avait dit aussi qu'une marchandise non étiquettée, même encore dans le magasin ne pouvait être considérée comme volée.

- Mais moi, je n'étais pas encore dans le magasin! J'étais seulement arrivée à la porte, et je proposais d'en ressortir tout de suite.

- Oui, mais tu étais dans le centre commercial.

- Reste à déterminer où était la porte du magasin, par rapport à l'ensemble du centre commercial. De toute façon, puisque tu n'étais pas entrée, il n'avait pas le droit de t'emmener dans le couloir de sécurité comme une voleuse. Imagine un peu que ce se soit passé dans la ville ou tu enveignes et qu'une personne de ta connaissance, élève, ancien élève, collègue, parent d'élève ou ancien collègue t'aie vue dans cette situation et que de loin, il l'ai mal interprétée, ta réputation en aurait été salie. Et dans un cas pareil, tu peux déposer plainte!

- Oui, mais si je dépose plainte, cela va me donner du travail en plus, et en plus cela va me gâcher les vacances, alors je préfère oublier et inciter mes amis et connaissances à ne plus aller acheter dans ce magasin, en leur racontant mon histoire. Et à ne plus aller acheter dans les magasins à portique du tout! Vive les petits commerces et les petits commerçants sympathiques avec lesquels on fait un brin de causette! Ceux-là ont davantage de psychologie et connaissant leurs clients et savent reconnaître un client honnête d'un client malhonnête, mais généralement, les voleurs ne vont pas chez les petits commerçants, sinon, ils les braquent carrément pour avoir la caisse entière.

- En tout cas, faire cela à des gens de 50/60 ans, à des parents et grand-parents, et de surcroît des professeurs, c'est odieux!

- C'est bien le travail d'un gouvernement vychissois, pétainiste, populiste. Des ordres donnés au ministère de l'intérieur et par le ministre de l'intrérieur, des ordres donnés contre des vieux honnêtes, des ordres donnés pour faire partir et disparaître de la société française, leurs meilleurs éléments, les éléments les plus honnêtes, les professeurs qui dans leur carrière à part quelques heurts avec des chefs d'établsisement de droite, n'ont jamais démérité.

(Dummie et Doofie plonge dans l'eau tiède de la piscne : "Allez, oublie tes soucis Doofie!" dit Dummie avec sa voix mélodieuse).

- Et Doofie se met à chanter une chanson qu'elle improvise au fur et à mesure qu'elle chante !

 

Je veux quiter le pays de mes ancêtres!

Je veux quitter le pays de ma naissance!

Je veux quitter le pays de mon enfance!

Car j'y ai éprouvé un mal être!

 

Ces berges si riantes de bords de France

Où la majorité des gens sont honnêtes,

Je vais le quitter avec souffrance

Mais je le quiterai pour mieux être

 

Je vais chercher sur la mapperonde

Si quelque part sur cette terre ronde

Il y aurait un pays de liberté

Où l'on peut vivre sans pleurer

 

Sans pleurer sur des années passées

Où le mot liberté était honoré

Sans penser à ces années présentes

Où depuis sept ans l'on chante :

 

"Partez tous, Ô vous ,gens honnêtes

Vers des pays étrangers

la France ne veut plus  être

le pays de la liberté de penser"

 

La France hait ses écologistes

Ses communistes et socialistes

Elle les met tous à la porte

Suivez moi, fermez la, la porte,

 

Du pays désanchanté

Qui a perdu ses lettres

sa philosophie

Et moi j'ai perdu ma patrie

 

Au sens où c'est la pays natal

Je m'en irai de part le monde

Jouer des croches et des rondes

Et je quitterai ces chacals

 

Je laisserai mon pays en patûre

a tous ceux qui le détruiront

Qui démolissent ses monuments

Pour faire le modernisme populiste

 

J'irai de part le monde

Chercher sur la mappemonde

Un  pays qui m'adoptera

ou apatride je resterai

 

Comme aux temps sombres

Et ténébreux

Du milieu du siècle dernier

Nous serons des exilés

 

Sur d'autres continents

Des réfugiés politiques

Fuyant les sbires du gouvernement

Dont c'est l'intention

De tuer les gens honnêtes

Qui ne sont pas des populistes

des dictateurs et des sportifs.

 

J'irai de part le monde

Apatride je resterai

A cause des sbires des magasins

Qui traitent de voleurs les gens honnêtes.

 

Adieu la France mon beau pays

Adieu pays de mes ancêtres

Adieu pays de la naissance

où j'ai ressenti un mal-être

France où l'on tue les gens honnêtes.

 

Allons de part le monde

Chercher sur la mappemonde

Un petit coin de liberté

Où je pourrai chanter, rêver en paix...

 

Mais où va-t-u Doofie,

s'exclame Dummie,

voyant sa copine partir au loin,

pas par là, c'est l'Italie,

Berlusconi,

c'est populiste aussi!

 

Elle la rattrape à temps...

Par là, c'est la mer, viens on va à la plage, ne pars pas, nous lutterons ensemble, de l'intérieur, pour poruver ton honnêteté et tu chanteras tes chansons sur le web, pour défendre nos liibertés!

Tu vois Dummie, comment on fait des révoltés? En commettant des injustices....

 

 

domino

 *bon chic, bon goût!

 Excusez moi pour les petits traits du dialogue qui ne sont pas mis jusqu'au bout,