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dimanche, 26 juillet 2009

Autres formes de harcèlement...

Le Roman de Dummie... mettant en scène Dummie, Klugie, etc...

Il existe d'autres formes de harcèlement que le harcèlement  moral dans les études ou professionnel, ou musical, ou sur le web, ou familial...

Par exemple...  :

a) Prendre quelqu'un "au mot" :

J'en ai déjà parlé à propos de cette étudiante qui avait dit à une camarade d'université, qu'elle en avait assez, qu'elle voulait abandonner. Le fait que la semaine suivante, elle a reçu une lettre de renvoi montre  qu'on l'avait prise au mot et cela lui a fait très, ltrès, très mal, encore plus que le mini-harcèlement dont elle avait été victime auparavant de la part des autres étudiants (qui la mettait à l'écart) et des professeurs (qui la faisait se taire quand elle trouvait la bonne réponse après 5 minutes de palabres des autres étudiants.  Les autres étudiants étaient sympas avec elle dès qu'ils étaient seuls avec elle, mais la laissaient sur le côté et ne lui parlaient plus dès qu'ils étaient en groupe., comme s'ils avaient peur de l'opinion des autres s'ils lui parlaient dèsqu' ils étaient en groupe. Pourtant c'était une prof qui quelques années avant, allait à des stages sympas où tout le monde se parlait en dehors des heures de stage à tort et à travers et où elle participait à l'ambiance générale qui ne laissait personne de côté. Et a refait des stages de ce genre cette année, dans le cadre du PAF, du moins un de ces stages avait la bonne ambiance des années 90.

Au lieu de prendre l'étudiante au mot et de la renvoyer

(elle a réussi à revenir après avoir obtenu par l'intermédiaire d'un de ses professeurs une audience auprès du vice-président d'université de l'époque, qui lui a dit que c'était une erreur d'un secrétariat et l'a autorisé à reprendre ses cours, juste après les vacances de Noël et le tsunami, sans doute provoqué par son grand désarroi au  moment de Noël, c'est du moins ce qu'elle a pensé.)

 Ah: oui, j'allais oublier.... Au lieu de cela, on aurait dû demander à l'étudiante, si elle avait vraiment envie d'abandonner, s'il y avait un problème, parfois, ce n'est pas un problème de niveau, mais un problème d'ambiance. Et dans le cas de cette collègue de Dummie déjà admissible à l'agrégation, ce n'était pas du tout un problème de niveau, elle a d'ailleurs été la seule admissible de sa formation cette année-là! Mais elle n'a peut-être pas été admise à cause de la lettre qu'on a trouvée dans son dossier universitaire et/ou dans son dossier professionnel. Lettre écrite en des termes (j'en ai parlé dans une autre note) qui pouvait laisser envisager de graves délits, alors qu'il n'y en avait pas. Concernant une personne qui, comme moi,  n'a jamais fumé une seule cigarette de sa vie, et n'a pas bu une seule goutte de boisson alcoolisée depuis 40 ans, c'est assez étonnant, ce qu'on peut comprendre dans cette lettre...

Bon, j'ai reparlé de l'université. Mais ailleurs....

Dans un cas extrême ce serait  ceci :

Vous entendez quelqu'un dire d'un ton d'agacement : "Oh! J'en ai marre de la vie!" Vous prenez votre pistolet et vous le tuez et vous lui dites en même temps : "Puisque t'en a marre de la vie, je vais t'aider à la quitter!" Alors, surtout, chers élèves, ne dites plus jamais "J'en ai marre de la vie!" qui est une expression très galvaudée aujourd'hui.

 Dans la vie familiale, prendre quelqu'un au mot :

Une copine de Dummie est en train de lire le programme du prochain festival de guitare qui se trouve à 120 km de chez elle. C'est elle qui conduit la voiture, et son mari ne conduit pas.  "Tiens..." " réfléchit-elle tout haut.. "On irait bien à ce concert, regarde, c'est tel guitariste, ça doit être bien..."  "Oui" s'exclame le mari de Dummie, il prend le téléphone et hop hop hop, regarde rapidement sur le programme le n° de téléphone (il retient extrêmement vite les numéros de téléphone, là où la copine de Dummie retient plus rapidement que lui les mots et les lettres), et demande "Pouvez-vous m'envoyer des billets pour le concert de tel date..." etc...  Vos désirs sont des ordres, Madame... Le jour venu, la copine de Dummie (qui est une copine à moi et pas le mari de Dummie), dit "Tu sais, il ne fait pas beau, tu crois vraiment que je vais prendre la route par ce vent et cette pluie.... " Ben, non..." "fais le mari de Dummie, t'es pas obligée..." "La copine de Dummie qui n'avait formulé qu'un vague désir oralement, se trouve maintenant devant le fait accompli : elle a des billets, se sent obligée d'aller au concert (d'autant plus qu'elle connaît les organisateurs), mais n'en n'a plus trop envie, a peu d'avoir un accident.... finalement, elle ne va pas au concert et le mari de la copine de Dummie non plus.

Là, le mari de la copine de Dummie a pris deux fois Dummie au mot, en pensant "Ses désirs sont des ordres pour moi", sans lui laisser le temps de réfléchir, du moins pour les réservations.

Après plusieurs fois comme cela, ou son mari a agi trop vite après qu'elle ait formulé un souhait vague presque en réfléchissant tout haut, Dummie n'ose plus parler des concerts où elle aimerait aller, n'ose plus exprimer ses vagues désitératas, de peur qu'ils soient exaucés et qu'elle ne puisse donner suite...

Autre "prise au mot" :

Sous l'une de ses vidéos, la copine de Dummie qui chante bien,  a répondu à un commentaire élogieux en disant qu'elle avait un rhume ce jour là.. Aujourd'hui, la copine de Dummie, met cette vidéo en vidéo-réponse sous une autre vidéo où le même air est joué à la vielle à roue. En contrôlant sa vidéo, la copine de Dummie se rend compte, que ça ne sonne plus aussi bien qu'avant, que sur cette vidéo sa voix qui sonnait juste avant sonne faux, et est devenue rugueuse. Il s'agit vraisemblablement  du harcèlememt d'un informaticien qui travaille chez l'hébergeur de vidéo (chez les hébergeurs, on surveille généralement tous les commentaires que vous écrivez, les bloquant s'ils sont trop virulents), un informaticien qui joue le petit jeu de prendre les internautes au mot, surtout quand ce sont des dames d'un certain âge. et change des éléments des vidéos selon ce qu'elles en disent elle-mêmeS. Elle écrit sous la vidéo : "tien, ça ne sonne plus si bien qu'avant!" et juste après la vidéo revient à son ancien son et la voix est plus belle.

Autre prise au mot :

Jadis, les candidats de concours, surtout d'enseignement, aimaient discuter ensemble de ce qu'ils avaient fait dans leurs épreuves de CAPES ou d'agrégation. Maintenant, ils ne le font plus et pour cause, les commentaires de sortie d'épreuve, ont l'air d'être auditionnés par les surveillants, car quand vous dites en sortant "J'ai réussi", vous avez une bonne note à l'épreuve, c'est ainsi que j'ai eu un 12/20 en traduction, une année où j'avais déclaré en sortant avoir bien réussi ma version. Par contre si vous dites avoir faux à tel ou tel endroit, ou ne pas avoir su traduire tel mot, vous risquez d'avoir une mauvaise note... C'est parce qu'actuellement on tiendrait compte aussi de l'auto-évaluation du candidat et de sa confiance en lui, déjà lors des épreuves écrites.

b) Renvoyer la balle au bond.

Une autre copine de Dummie, nommons-là Doofie pour plus de clarté, prenait des cours de chant avec son prof Klugy, dans une association pour le développement de la voix.

Un jour Doofie était en retard, son train avait pris une demi-heure de retard, mais enfin, comme le cours commençait 25 minutes après l'arrivée habituelle du train elle ne fut en retard que de 5 minutes. Cependant son prof n'était pas encore là, il arriva 10 minutes après Doofie en disant que son train était en retard, alors que d'habitude, il avait deux élèves avant....

La semaine suivante, il téléphona directement au local du cours, en disant qu'il arriverait une heure en retard et ne fit pas cours du tout, car c'était l'heure des cours suivants...

Un jour, elle ne sait pas pourquoi, Doofie a trouvé un ticket de métro parisien dans ses partitions. Son prof habitait à Paris. Elle a dit : "Ce n'est pas à vous, le ticket de métro?" Il a répondu que non, pourtant Doofie n'allait jamais à Paris. Elle resta perplexe... "Garde-le" a dit le prof, "tu auras bien l'occasion  de venir à Paris un jour.."

Je ne sais plus exactement ce que Dummie m'a raconté à ce propos, mais une ou deux semaines après, le prof lui a renvoyé la balle à propos de ce ticlket de métro.

Un autre jour, Doofie a raconté à Klugy, en lequel elle avait confiance, ce qu'une chorale dont elle faisait toujours partie, lui avait envoyé. La chorale réclamait ses partitions qui à 99% étaient des photocopies, car Doofie ne venait plus en ce moment (il est probable qe la chorale en question s'attendait à un contrôle de photocopies et qu'elle voulait les détruire et que les choristes devaient les rendre). Mais Doofie faisait à ce mpment là partie de l'autre chorale, celle de l'autre côté de la rivière, où on ne médisait jamais de la première chorale, bien que la première chorale médisait beaucoup sur eux et ne tolérait pas que ses membres fassent parite de l'autre chorale.

Donc, à chaque fois que des membres chantaient dans les deux chorales, et que c'était découvert (Immanquablement, quelqu'un avait vu les choristes renégats dans un concert), la première chorale demandait le renvoi immédiat des partitions en faisant comprendre au choriste renégat, que s'il voulait revenir il fallait qu'il quitte la deuxième chorale!

Le prof de chant de Doofie a dit : "Aha! Montre un peu cette lettre! Et prenant la lettre a dit : Je vais en faire une photocopie, ce sera une pièce à conviction au dossier de cette chorale et nous allons la rayer de nos listes", car cette association répertoriait toutes les chorales de la région. "Oui, oui, pièce à conviction au dossier". Doofie qui avait aussi à ce moment un désir de vengeance, sur la façon dont était rédigée la lettre (en fait elle a été porter les partitions, si on peut parler de partitions en sa possession, et les a rendues à la chorale, demandant un reçu, Doofie qui avait un désir de vengeance, s'est dit sur le moment : "Oui, Klugie (le prof) va les rayer des listes, pourquoi pas?"

En fait, Doofie ne s'est pas rendue compte que le prof était aussi un prof agrégé d'une autre matière que la musique dans l'éducation nationale, donc un de ses collègues, et avait le bras long dans ce domaine, faisait ajouter ces photocopies, non pas dans le dossier de l'association concernant les chorales, mais dans son dossier rectoral à elle.... 

ou à un chargé d'inspection qu'il connaisait (quelques semaines plus tard une collègue MA qui faisait le LEP dans ce lycée polyvalent a été inspectée par lui, et apparemment Klugy a cru que c'était Doofie, parce que à partir de ce moment Doofie a été critiquée par le prof de chant pour sa prononciation de l'allemand, alors que c'était la collègue MA qui n'avait pas une bonne prononciation...

Il a mis la lettre de la chorale dans son dossier, pour montrer qu'elle tardait à "rendre" ses partitions.

Une syndicaliste a signalé un jour à Doofie que l'on trouvait tout et n'importe quoi dans son dossier... Un article de journal montrant qu'elle avait fait un concert de chanson poésie, de leurs compositions, avec une collègue, quand elle était plus jeune, ce qui a fait dire au prof de chant qui connaissait le dossier, que lors d'une inspection où il était enroué, l'inspecteur l'avait pris pour un Auteur Compositeur Interprète et pas comme un chanteur classique....  et Klugie qui n'aimait pas les chanteurs de variété et la chanson, voulait par là faire dire à Doofie qu'elle aimait la chanson, ce que Doofie n'a pas fait.

Je dois signaler ici pour que vous n'embétiez pas Doofie qu'actuellement, ne fréquentant plus d'association musicale, elle n'a plus de photocopies de musique chez elle, et qu'elle n'a aucune partition prêtée chez elle, toutes ses partitions - des originaux - sont à elle.

3) Faire parler sur quelque chose en racontant une chose analogue

Vous connaissez tous ces personnes qui vous interromptent quand vous racontez quelque chose, ne vous laissant pas aller jusqu'au bout et disant "Tiens, moi aussi..." Bien que je déteste que l'on m'interrompte de cette façon et qu'on ne me laisse pas raconter mon histoire jusqu'au bout, car quand une histoire n'est pas racontée jusqu'au bout, elle peut faire l'objet de mauvaises interprétations... c'est une tendance naturelle chez beaucoup de personnes, qui ne pensent qu'à se mettre en avant elles-mêmes ou à minimiser ce que dit le vis-à-vis en disant : "Mais à moi, il m'est arrivé beaucoup mieux!" ou "Il m'est arrivé pire!" La personne qui vous interrompt pourrait au moins attendre que vous ayez fini de parler.

Mais voilà....

Il y a des personne qui utilisent cette tendance naturelle pour essayer de vous faire parler en particulier de votre passé. Pär exemple dire qu'ils ont eu telle maladie, pour que vous répondiez "Moi aussi, j'ai eu cette maladie..." et ensuite envoyer un rapport sur vous au rectorat, selon lequel, vous avez bien eu cette maladie.

Ou dire qu'il est adepte de telle religion, par exemple catholique, pour vous faire dire que vous êtes aussi catholique, et ensuite faire une rapport sur vous aulrectorat, selon lequel vous avez violé la loi de la laïcité parce que vous avez déclaré votre religion en salle des profs...

Généralement - vous ne vous méfiez sans doute pas assez d'eux! - mais les psys utilisent ce genre de stratagème pour vous faire "parler"! Plutôt que le questionnement frontal.

C'est ce que j'appelle aussi du harcèlement.

Dans un travail en équipe sur Internet, un professeur utilise les idées de son étudiante en en supprimant les interventions et remets ensuite ses idées dans les consignes, etc...  puis le professeur rabaisse l'étudiante en lui mettant une plus mauvaise note qu'aux autres, parce qu'elle en fait de trop, elle rédige plus que les autres, fait plus d'articles dans le glossaire, indique aux autres les passages hors sujet et les fautes de français ou de rédaction, etc...  corrige même les fautes de la prof qui rédige ses interventions en langage télégraphique...

... et voit sa note abaissée parce qu'elle en fait plus que les autres... C'est aussi du harcèlement moral. Ensuite, comme elle a écrit dans le forum ses quatre vérités à la prof, celle-ci vient lui parler la rabaissant encore, prétendant 'qu'elle n'est pas bien en ce moment pour la critiquer comme cela, etc..." (La prof est très jeune, entre 25 et 30 ans et l'étudiante est une adulte agée de plus de 50 ans).

Un jour une collègue a dit à cette même personne (celle de 50 ans, qu'elle a des ennuis parce qu'elle dit exactement la vérité et ce qu'elle pense".

Vous vous souvenez de cette chanson de Guy Béart, je crois : "La Vérité". Ecoutez-là et vous comprendrez ce que je dis.

Dummie, Doofie et Domino n'aiment pas l'hypocrisie!

domino 

 

 

14:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ambiance, société

Harcèlement moral à l'université (2)

Dummie a retrouvé quelques exemples de harcèlement universitaire qu'elle a pu observer elle même et me l'a raconté :

 

- Une de ses amies, professeur de son état, excellente chanteuse possédant une merveilleuse voix d'alto faisant du chant classique, s'inscrit en agrégation à l'université. Sans doute a-t-elle dit à un ou deux collègues ou étudiant qu'elle avait fait du chant, c'est fort possible :

Cette année-là arrive un mois après la rentrée un candidat d'agrégation externe (donc un étudiant relativement agé, pour un étudiant ne travaillant pas, environ 35 ans). L'une des professeurs de TD commence à le présenter en faisant ses éloges : "Je vous présente M. Machin Chose, qui a une merveilleuse voix, il fait du chant classique, chante Vivaldi (Note de Dummie : comme cette amie),  a une voix comme les femmes et les castrats, une voix de haute-contre, d'alto, je crois, etc..." Et à chaque fois qu'il parle, elle recommence ses éloges sur sa voix, on entend qui'l fait du chant, etc... En fait, ça s'entend aussi dans la voix cette amie de Dummie, qu'elle a fait du chant, mais tout le monde feint de l'ignorer.

L'année suivante une étudiante de CAPES est inscrite dans la formation :

Dummie a une autre amie parmi toutes ses amies.

Parenthése :

 (je parle d'amies d'amitié, comme on l'entendait à l'époque de Dummie et à la mienne, et pas d'une amie d'amour comme ce nom d'amie a été galvaudé maintenant, de même que le nom de copain, copine qui a mon époque était un terme qui désignait un ami ou une amie que vous invitiez à manger, c'est à dire qui avait partagé le pain avec vous... et pas le petit ami ou la petite amie, qui lui était précisé "petit" qui'l soit copain ou ami. 

En Allemagne, dans les pays anglo-saxon et en Amérique du Sud, un friend, Freund/Freundin, amigo est toujours un ami avec lequel vous partagez vos idées, vous discutez, vous refaites le monde, et pas un petit ami ou une petite amie. En Allemagne cependant le mot Freund commence à remplacer le mot Partner et on précise pour un ami d'amitié comme en français "Ein Freund von mir...")

Cette amie parmi toutes ses amies, amie qui joue de la guitare et aime chanter du folk,  et l'avait sans doute dit à quelques collègues qui étudiaent avec elle l'année précédente, a vécu la chose suivante :

L'étudiante de CAPES dont j'ai parlé plus tôt se vante :

"Tiens, mon copain et moi, on a eu une proposition, on va faire un disque."

L'amie de Dummie : "Ah! Bon? Tu es musicienne?"

"Oui, je chante.... Dans un groupe de rock... C'est mon copain qui joue de la guitare.... Tu te rends compte, on va faire un disque..."

Un collègue avait dit à cete amie de Dummie que si elle ne résussissait pas l'agrégation, c'est parce qu'elle faisait de la musique.

La candidate de CAPES qui faisait partie d'une groupe de rock a été 17ème ou 18ème du CAPES, malgré sa musique et ses nombreuses fautes de langue allemande, et a été admissible à l'agrégation, alors que l'amie de Dummie meilleure qu'elle a hérité de ses plus mauvaises notes cette année là, par exemple 0,25 en dissertation allemande, pour une dissertation détaillée rédigée sans fautes de langue, dans le sujet, mais qualifiée de hors-sujet.

Un peu plus tard, cete candidate de CAPES, devenue candidate d'agrégation, chantait dans le couloir, devant la porte de la directrice de l'UFR "La chanson de Lara".Bref, pas du rock pour deux sous!  La copine de Dummie a trouvé qu'elle avait une voix agréable, mais qui faisait très "vairétés". Bref, une voix standard... et pas très originale... avec un timbre commun.

Or, tous les spécialistes de chant s'accorderont à dire, que ce qui fait la qualité d'une voix chantée, c'est qu'on la reconnaisse entre toutes. C'est ce qu'on disait par exemple d'Elisabeth Schwarzkopf.

(Tout de suite... les harceleurs du web... et les journalistes de revues à grand tirage, vont faire des articles sur Elisabeth Schwarzkopf, parce que j'en ai parlé ici...).

 

domino