jeudi, 08 août 2013
Professeurs : Corvéables à merci pendant toutes les vacances scolaires.
Du journal de Dummie :
Voici des extraits d'une lettre qu'un recteur d'académie a écrit à une collègue convoquée penda)nt les vacances scolaires, soit le 8 juillet alors que l'année en collège se terminait le 5 juillet (elle a travailé toute l'année en collège, et non en lycée) :
"S'agissant des congés annuels, la réglementation fixe à 35 heures hebdomadaires et à 5 semaines de congés payé la durée légale du travail. Par déraogation afférente à leur statut, les personnels enseignants seront libérés de cours pendant les vacances scolaires, mais doivent parfaire leur s cnnaissances et s'informer sur les programmes officiels.
Aussi, contrairement à vos allégations, les congés dont vous bénéficiez ne sont pas le résultat d'une épargne constituée sur les dix mois précédents. *
Il est évident que cette collègue qui a participé durant tout le mois de juillet (à partir du 7 juillet) à un stage linguistique prévu de longue date, dont le test de niveau d'entrée se déroulait précisément à l'heure de la convocation à 900 km de l'endroit où elle était convoquée par le rectorat, s'est formée linguistiquement pendant les vacances, même si c'est à une autre langue que celle qu'elle enseigne, l'observation de la pédagoie des professeurs de l'autre pays a pu lui donner des idées sur la plan pédagogique. Même si ele l'a fait pour elle-même et pour son plaisir.
Par ailleurs, elle a traversé deux fois l'Allemagne pour aller à cet endroit par de nombreux petits trains la plupart régionaux, ce qui lui a permis de parfaire la connaissance du pays dont elle enseingne la llangue et a fait une excursion d'une journée (avec visite d'un monument construit par Louis Ier de Bavière, ce qui fait référence à a nouvelle période de civilisation de l'agrégation.
En plus, même dans le cours d'été d'une autre langue, elle a eu l'occasion de parler la langue de Goethe avec des autochtones, car il y avait trois allemands et une autrichienne dans son groupe (plus une lithuanienne et deux français). L'année précédente dans son groupe, il y avait trois allemands, une anglaise, une russe, une lithuanienne, et un français qui vivait en Australie. La langue d'enseignement est l'anglais. Si bien que l'on a des cours en bilingue, les professeurs expliquant ce qu'on ne comprend pas dans sa langue à 14 déclinaisons du nom et 7 cas en anglais, les guides des excursions qui compten dans notre cursus de formation de 190 heures parlent anglais pour les petits cours et la langue du pays pour les plus avancés (92 heures de cours et le reste en contact avec le pays, la civilisation, le cinéma (5 films du pays primé). Certais guides sont des ouvriers ou des directeurs travaillant dans les endroits visités, nos interprètes traduisent en anglais, mais on entend l'autochtone parler sa langue et parfois, on comprend avant que ce soit traduit. Parfois, les interprètes avaient du mal avec les termes scientifiques et c'était assez drôle parce que ces termes ressemblaient au français et on avait compris avant.
La professeure qui a participé à de nombreux stages d'allemand de PAF jusqu'il y a deux ans, mais voyant que ceux-ci ne lui apportaient rien au niveau de la note d'inspection, s'est rabattue sur les stages d'informatique pluridisciplinaires, qu'elle a suivi durant ces dix dernières années sur son temps libre des formatons univesitaires d'agrégation d'allemand, terminé sa maitrise, suivi un cours de DEA et a été inscrite en master 2 (mais par les horaires qu'on lui a donné cette année là en remplacement, on l'a empêchée de suivre les cours de Master 2). Pour tester son apprentissage des autres langues étrangères, elle a passé 5 CLES dans 3 langues autres que l'allemand et en a réussi quatre. Ele a réussi deux DUFL (diplômes de formation en langue) dans des langues plus difficiles que l'allemand. Et a eu en 10 ans cinq admissibilités à l'agrégation, deux à l'externe et trois à l'interne.
Elle a un peu mis un frein à la musique, mais elle possède une voix extraordinaire, reconnue par beaucoup de monde, ce qui lui sert dans ses cours, d'allemand, car une fois qu'ils l'ont entendu chanter, les élèves ne peuvent plus se passer d'elle. et ce qui amène des élèves en allemand. Elle a suivi dans la décennie précédente (dans les années 90) de nombreux stages de musique durant les vacances, deux de chant classique, une bonne dizaine de stages nationaux et internatonaux de guitare classique. Tous les stages de musqiue qu'elle a suvi en été étaient à ses propres frais.
(Evidemment, lors de ses deniers remplacements, elle n'a pas beaucoup utilisé ses talents musicaux, parce que elle a pensé que leur professeur aurait ensuite du mal à reprendre ses élèves, s'ils a trouvaient mieux que lui ou elle. La collègue dont je parle est un TZR déjà âgée), mais si elle n'a pas utilisé ses talents musicaux, c'est qu'elle ne veut pas nure au collègue qu'elle remplace en prenant sa place dans le coeur des élèves, et en ne voulant pas prendre sa place dans le coeur des élèves,elle commence à en être détestée. Elle fait exprès d'être détestée, pour que l'autre n'est pas de mal à reprendre ses classes).
Maintenant on ne nuit pas aux élèves d'allemand en leur apprenant à chanter la Lorelei. Elle-même a aimé l'allemand en aprenant "Allle Vögel sind schon da" en quatrième.
En plus, quand on sait que la professeure, sur les quatre remplacements qu'elle a fait dans l'année en a fait deux à 25 km de chez elle (50 km AR, 5 fois par semaine), un d'un mois en pleins frimas hivernaux à 75 km de chez elle (150 km AR 4 fois par semaine et le mercredi 200 km AR pour d'unversité). 5 mois de remplacement sur 2 établissements dont le plus élogné était à 27 km de chez elle, donc 52 km AR, et des déplacements deux fois par semaine à l'heure du repas de midi, ce qui l'empêchait de manger entre midi.
De plus, la collègue à lauelle on a envoyé cette lettre,i a passé de nombreuses fois les agrégations,parfois avec un demi-succès, et a eu des bonnes notes à la nouvelle épreuve "Agir en fonctionnaire de l'état, de façon éthique et responsabe" aux oraux des sessions 2011 et 2012".
Elle ontinue à se former dans l'espoir de la réussir un jour, donc à lire de la littérature allemande et des livres de civilisation allemande, aussi pendant toutes les périodes de vacances scolaires, elle a fait de la linguistique allemande à très haut niveau, continue à faire de la traduction de niveau universitaire (de niveau agrégation),
Elle a suivi les formation "Agir de façon éthique et responsable" et " Connaisance du système éducatif" avec l'histoire de l'enseignement en Fance, les différentes institutions scolaires et les 14 grands débats actuels.
Elle a suivi à plusieurs reprises les cours d'agrégation interne pour l'oral de didactique et par conséquent connait parfaitement tous les nouveaux programmes, d'ailleurs ses cahiers de texte électroniques (il n'y a plus de cahiers de texte papier dans les collège où elle fait des remplacements qui compennent pour chaque cours 10 lingnes d'objectifs, 3 lignes expliquant l'évaluation du jour, et dix lignes de réalisation en cours, en sont le témoin. Et l'inspecteur lui avait dit qu'elle n'écrivait presque rien sur ses cahiers de textes, on se demande pourquoi. Depuis elle fait des cahiers e texte zélés et passe plusieurs heures par jour à les remplir, mais personne ne les lit.
On sait que d'autres collègues d'allemand ne vont jamais en Allemagne ou en Autriche, je connais deux collègues femmes de lycée, une agrégée et une certifiée par liste (ancienne AE devenue certifiée sans concours et sans inspection et actuelelment jury de BTS et de licence pro, à la place et sur l'ancien poste de la professure dont je parle ) qui ne cont jamais en Allemagne pendant les vacances.
Bon, il est certain que la professeur semoncée par la lettre du recteur tout en travaillant beaucoup pour l'agrégation interne et externe pendant les vacances, et suivant des stages linguistiques (dans d'autres langues, car pour allemand ben qu'elle sot francophone, en Allemagne, non la prend pour une allemande du Sud-Ouest: on lui donne même un accent régional, donc un stage linguistique d'allemand serait inutile), ne se forme jamais pendant les vacances.
Cependant certains élèves qu ont des professeurs franophones qui prononcent très fort les -r en finale, la critique, parce qu'elle ne parlerait pas allemand comme leur prof en prononçant les -er entre e et a et sans r et en prononçant les der en diphtonguant le r vocalisé au lieu de le dire bien à la française comme un -r parisien grasouillé. Ils écrivent même au rectorat qu'elle ne parle pas allemand comme leur prof (qui a un accent bien français en allemand) Ce sont généralement les PEGC qui ont un bel accent français en allemand, mais comme ils sont souvent en classe exceptionnelle, ils ne sont plus inspectables.
Et pourtant, ces collègues n'ont pas assez de formation lingusitque . Et on ne les convoque pas au rectorat, même s'ils sont souvent en congé maladie, .... par rapport à cette collègue que l'on attaque constamment, surtout depuisc qu'elle a l'âge de toucher une retraite très incomplète.
Faire un stage linguisitque dans une autre langue qu'on ne connait pas trop bien, pendant les vacances et dans le pays, c'est aussi se mettre dans la peau de l'élève qui étudie l'allemand et que l'on largue dans le pays avec un petit niveau, tant au niveau de la compréhension de ce qui l'entoure (trouver son quai dans une gare par exemple, acheter le billet de retour avec une réduction, savoir lire les affiches publicitaires, les noms communs des magasins) : fruits et légumes, alimentation, coiffeur, pharmacie..., trouver le rayon adéquat dans un supermarché, choisir un produit, ...), que de la compréhension des gens auxquels on se renseigne, l'expression pour pouvoir se renseigner, un peu quelque chose, (parfois génée parfois seulement par le conjoint qui la devance en posant sa question en anglais, il a d'ailleurs fait des progrès an anglais..).
Bref, tout ceci c'est une formation à la fois linguistque, mais aussi pédagogique et humaine, car c'est très difficile quand on n'a pas tous les mots pour s'exprimer, de se faire comprendre par des personnes souvent sympathiques, souriantes et coopératives, mais qui parfois n'ont pas le temps de vous écouter longtemps car une file se forme derrière vous, le temps d'expliquer ce que vous voulez. En fait, cela nous fait penser que ce qui est imprtant dans une langue, c'est surtout d'abord le vocabulaire concret et les phrases qu'il faut pour demander les choses dont on a besoin. Et comprendre les réponses.
Pour vous dire, la pédagogie utilisée dans ce pays, est tout à fait la pédagoie préconisée par les proogrammes français actuels, mis à part que pour que cette pédaogie soit efficace, il faut que l'élève fournisse par lui-même et chez lui ou dans sa chambre un travail d'étude intense, ce que beaucoup de nos élèves, assez paresseux, n'ont pas encore compris. Refaire les exercices et en faire d'autres, lire à font les documents d'études, traduire pour so-même les consignes écrites dans la langue, apprendre lou réapprendre a vocabulaire, les tableaux de grammare... Il vaut aussi souvent revenire en arrière car on oublie quand même beaucoup et à toute âge. Il faut vraiment que les mots soient répétés souvent pour qu'on les retienne. Et surtout qu'on les répète souvent soi-même dans la converssation.
La pédagogie utilisée alternait les phases purement grammaticales, apprentissage des temps et modes, des déclinaisons, des prépositions utilisées dans les compléments de lieu et de leur cas (assez compliqué dans cette langue où il y a bien quatre cas différents pour les compléments de lieu et de plus, les gens ne comprennent pas si on n'emploie pas le bon cas, ou ils compennent autre chose), et des phases d'expression orale ou écrite individuelle ou collective, pédagogie de groupe avec réalisations de dialogues par groupes de deux ou de trois, que l'on rejoue devant la classe.
Bref, cette formation de trois semaines était je crois, tout à fait profitable pour la professeure critiquée pa le recteur, parce qu'elle n'a pas honorée une convocation, lorsqu'elel était à 900 km en train d'écrire un test de niveau pour suivre une formation linguitique, cette prof qui soi-disant ne se forme jamais, trop âgée pour enseigner.
Personnallement, je trouve que c'est très méchant d'avoir écrit cela à cette professeure-là... Sans la connaître, et alors que toutes les formations suivies sont écrites sur son dossier élecronique de pofesseure, mais si elle dit à l'avance quelle formation elle va suivre, on essaie soit de l'empêcher de a suvre, soit d'y inscrire des personnes soit qui ont déjà un très haut niveau dans la matière en question, soit des personnes qui ne fernt que cette matière à à longueur de journée et suffisamment douées pour lui tenr la dragée haute. l'année dernière,on a même vu des personnes natives de la langue voulant s'inscrire en niveau A2, c'est à dire utilisateur non indépendant! Pour lui tenir la dragée haute! Ou bien pour avoir facilement des UV externe.
Tiens, Schnelly, à la fn de sa carrière, ne disait même plus que sa mère était allemande et qu'il avait passé dix-huit années de sa jeunesse en Allemagne, simplement pour qu'on le félicite pour son excellent allemand. Et tenir la dragée haute à Doofie, qui pourtant parle aussi un excellent allemand. Et Schnelly a joué sur le fait qu'il est né en France et qu'l a un nom français, et une excelent français acquis dans un lycée français en Allemagne, pour ne pas passer ppur germanophone, mais pour un français qui parle un excellent alemand ce qui lui a certes valu des points d'inspection en plus. A sa dernière inspection avant la retraite, il n'a jamais dit qu'il était germanophone (qu'il est de langue maternellel allemande), et ainsi il a toujours été bien vu par les inspecteurs. Il a travaillé jusqu'à 65 ans et demi et est retraité depuis quelques jours.
La professeure était inscrite à son cours de langue à l'étranger depuis le mois de mars et avait été sélectionnée pour une bourse d'études.
Et on voulait encore l'empêcher de suivre son stage qui pourra servir à d'autres personnes si elle sert d'interprète, dans cette langue, pour un jumelage, ce que les autes adultes du jumelage, vu la vitesse à laquelle ils apprennent l'allemand avec elle, ne pourraient faire. Car elle leur donne en plus des cours d'allemand, bénévolement, tous les samedis après-midi ce qui l'empêche de partir en week-end durant l'année scolaire...
Dummie
PS Ne mélangez pas les torchons avec les serviettes, si je parle ici du stage suivi par cette professeure, j'en parle pour prouver qu'elle s'est formée pendant les vacances, mais n'allez pas vous demander si elle est arrivée tous les jours à l'heure, si elle a suivi tous les cous (elle a effectivement suivi tous les cours pendant trois semaines, vu les 5 films, fait les 5 excursions obligatoires pour les boursiers, qui comprenait chacune environ 3 viistes de lieux historiques, plus l'excursion facultative et payante, et participé à la plupart des activités facultatives, dont en partie le sport : comme elle est âgée, elle n'a fait que le mini-golf et la pétanque, mais pas le volley, ni le soft ball, et elle a joué au monopoly dans la langue du pays avec les étudiants autochtones du cours d'anglais, lors de l'arpès-midi consacré au "board-games", et acquis ainsi la rue la plus chère de la capitale... (mais pas "pour de vrai""), a été à la visite officielle à la mairie (pourles boursiers) et s'est régalée lors du buffet offert. Et elle s'est régalée de la cuisine locale qui vaut bien la cuisine française.
La collègue en question m'a raconté :
Les cours avaient lieu cinq jours par semaine de 8 h 30 du matin (mais il fallait être à la mensa vers 7h 45 ou 8 h pour avoir le temps de prendre le petit déjeuner continental et arriver à l'heure, la résidence où l'on dormait étant éloignée d' un arrêt d'autobus (trajet assez long) de l'université, il fallait marcher 5 à 10 minutes pour aller à l'arrêt, il y avait environ 10 mn de trajet, puis enore marcher quelques minutes sur le campus jusqu'à la mensa, et marcher de nouveau quelques minutes jusqu'au bâtiment de ours et jusqu'à la salle de cours. Les cours duraient jusqu'à 15 heures avec environ 3/4 d'heure de pause pour aller à la mensa à midi 45. Il y avait la grande et la petite récréation durant la matinée (20 minutes et 10 minutes). Avec changement de professeur à la deuxième récréation, mais on restait toujours dans la même salle. Le mercredi on terminait à 12 heures 45, mais on devait être dans l'autocar à 13 heures 30 pour l'excursion du mercredi. Les deux samedis, nous avons eu une excursion obligatoire, dont une vers la capitale, et l'un des dimanches une excursion facultative, si bien que nous n'avions que l'un des dimanches de libre. Les jours où il n'y avait pas d'excursion, nous avions des activités d'après-midi comme des visites en ville, le zoo (pour apprendre les noms des animaux, très utile...), du sport, des jeux de société dans la langue du pays, assis dans le parc qui était près de la résidence, et le soir, cinq séances de ciné-club à 18 heures 30, ou d'autres activités, les fêtes d'accueil et d'adieu,le concert de rock organsé pour nous, en plein air le long de la rivière, par des groupes locaux, il y avait aussi le tour des brasseries et des pubs, mais je ne les pas suivis, je ne bois pas dalccol et les autres marchaient trop vite, si bien qu'ils ont disparu au coin d'une rue et on a perdu leur trace. On rentrait des excustions entre 20 et 21 heures avec un départ entre 7 h 30 et 8 h 30 du matin, selon les excursions, et un départ à 13 h 30 pour les excursios du mercredi. Durant les excursions, nous avons eu quelques quartiers libres, mais on avat en moyenne, sauf dans la capitale oùl'on a été plus libre, 3 visites guidées par excurston : châteaux historiques, hantés ou non, mines, lieux scientifiques... villes, églises baroques, églises perdues dans la montagne et en rénovation. Le car nous déposait souvent à une certaine distance de l'objectif, et nous devions faire une mini randonnée sur un chemin de terre pour atteindre les entrées de châteauxet et le tout était souvent très sportif, on devait aussi parfois rester pendant des heures debout dans des endroits où l'on nous donnait des explications historiques, fort intéressantes du reste, mais gare aux jambes!
Le lendemain, on devait raconter au professeur dans la langue du pays ce qu'on avait fait la veille dans l'après-midi ou durant le week-end.
Mon épox participait aux activités, dans la mesure où elles étaient gratuites, ou moyennant des enrées supplémentaires, mais pas au cours, moyennant le paiment des excusions, de son hébergement et du ticket de transports en commun qui était offert aux boursiers pour trois semaines, on pouvait visiter toute la ville par le tramway et les bus gratuitement. Et ils ne prenait pas les repas à la mensa.Par contre, on a du payer notre voyage.
Les bourses d'étude de la langue n'existent que pour ceux qui ont étudié au minimum un an la langue du pays dans une université. Et pour assister au cours, il faut avoir fait des études universitaires de la langue - au minimum un an- si bien que ce n'est pas la peine d'espérer aller à ce genre de séjour, si vous êtes adulte, et n'avez pas au minimum vottre bac, et n'avez pas étudié la langue un an à l'université. En effet, pour suivre le rythme des cours, il faut déjà avoir une bonne formation grammaticale de base et pour profier au maximum des excursions avoir une bonne connaissance de l'anglais. La profeseure dont je parle a le CLES 3 d'anglais (niveau C1 d'utilisateur expérimenté).
Pour défendre Dummie et sa collègue
domino
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* D'après ce que j'en sais, historiquement, les professeurs sont payés moins que les autres fonctionnaires de même indice et ont un salaire annuel de dix mois leur indice, réparti sur 12 mois, alors que les autres fonctionnaires ont un salaire annuel de 12 mois. Si bien que tout travail fait en juillet-août devrait être payé à sa aleur complète. Par exemple les interrogations d'examen au taux comlet d'une heure de cours et les corrections de copies égalemen et la semaine suplémentaire de juilelt en collège payée en plus comme 1/4 de salaire mensuel.
14:58 Publié dans enseignement (3), Les aventures de Dummie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, séjours linguisiques, langues vivants