samedi, 30 août 2008
Les stats sont arrivées...
Ah! Les stats sont arrivées.... 131 personnes ont lu dans les 500 pages, bon, pas forcément entièrement, mais.... certains ont fait clic, qu'est ce que c'est que ce blog -là et sont repartis et d'autres se sont attardés et ont lu 10 ou 20 pages, faisant augmenter ma moyenne...
Bon, je ne suis plus une laissée pour compte sans statistiques : que j'en suis heureuse!
Et puis, le tourbillon vient de partir faire les courses, des courses qu'il trouve toujours à faire pour sortir.
Hier, je lui ai dit, si tu te sens enfermé.... "Sors, sans faire de courses, fais le tour de la ville à pied... (elle n'est pas bien grande)..."
Non, il ne sort pas pour rien, sans courses à faire, il ne sort pas... Alors il demande sans cesse... :"Il te faut quelque chose?"
En plein milieu de la rédaction d'une note (et vous vous étonnerez que je fasse des fautes de frappe) : "Il te faut quelque chose?"
- Non...
- Mais, si, regarde...
Bon, la radio fait de la musique, la radio crie, la radio hurle, le speaker est préssé et débite à toute vitesse les informations...
Avant, il ne fermait même pas la radio avant de partir, je devais me lever et clic sur le bouton!
Depuis qu'il est allé trois jours tout seul en Allemagne, il ne crie plus sur moi, il est gentil, ne se justifie plus quand je lui fais un reproche, ou rarement, comme un gosse : "C'est parce que..."
Les trois jours pendant lesquels il est allé en Allemagne, même si je téléphonais toutes les deux heures pour savoir si la route se passait bien, c'était d'un calme ici, je n'ai même pas eu peur toute seule la nuit, et le temps avait été relativement beau ces trois jours-là, si bien que je n'ai plus eu peur de l'orage.
Il n'y a pas eu d'orage depuis qu'il est revenu.. Il est plus gentil, moins tourbillon, il a raconté son voyage par le menu, j'ai écouté d'une oreille.
Alors, je lui ai dit : "C'est le vrai mari qui est revenu d'Allemagne, celui que j'ai épousé..." On dirait que ces trois jours l'on fait réfléchir, à moins que l'une des deux personnes avec qui il est lui ai fait des remontrances.
J'ai eu vraiment l'impression que pendant deux ans ou un peu plus, il y avait une autre personne ici : quelqu'un qui tout d'abord avait un sourire mystérieux qu'il gardait toujous, même quand mes affaires qu'il retrouvait vite changeaient de place inopinément.
Puis quelqu'un qui s'est mis à crier à chaque fois que je cherchais quelque chose sans dire que c'est lui qui l'avait pris ou changé de place : "Ce n'est pas moi.... " Puis cinq minutes plus tard : "C'est là!" (un endroit où j'avais déjà regardé trois fois".
Avant, mes affaires ne disparaissaient jamais, depuis qu'il est revenu d'Allemagne, plus rien ne disparaît et pendant les trois jours où il n'était pas là, rien n'a disparu non plus.
Rien n'a disparu chez moi, jusqu'en l'an 2000; puis me chaussettes ont disparu (une sur deux), mes T-shirts fantaisie, puis pire, des papiers...
J'ai même vu des appréciations changer sur des devoirs de préparation d'agrégation :
Une prof m'avait écrit : "Votre penseé est très riche, mais faites attention à la longueur de vos phrases, parce que on a parfois du mal à vous suivre"
L'appréciation s'est transformée en "Attention à la longueur de vos phrases, qui reflètent une pensée méandreuse.." ou quelque chose de ce genre.
Je me suis dit que certaines pesonnes forçaient mon mari à lui remettre des copies ou papiers à moi pour les changer, ou que quelqu'un qui avait un double des clefs (ce qui est plus plausible) rentraient en notre absence dans la maison, pour changer des papiers et prendre mes habits pour provoquer des disputes entre nous.
Si mon mari ne veut pas se mettre à l'ordinateur, c'est aussi pour que je ne dise pas que c'est lui qui fait des transformations, sinon, on pourrait se disputer, car des espions pouurait faire intentionellement des modifications, pour que je l'accuse lui...
Quelle n'a pas été ma stupéfaction, lorsqu'un jour un homme a soulevé la persienne brutalement alors que je travaillas dans un coin de l'entrée avec mon ordinateur, et a poussé sur la porte comme s'il était chez lui. En me voyant, il a dit : "Pardon, je me suis trompé". Et ce n'était pas un voisin, je l'ai vu repartir en voiture. Depuis je ferme toujours la porte à double tour, même quand je suis chez moi, il n'y a que less tornades qui arrivent à pousser les loquets supplémentaires.
Celui qui avait poussé la porte était un monsieur d'un certain âge, il est reparti très vite dans une camionnette.
Une autre fois un employé de l'eau a voulu me changer mon compteur, croyant que je venais d'emménager, puis devant ma réticence a dit : "Ah! Excusez moi, je me suis trompé de maison!"
Une autre fois encore, un livreur, toujours d'un certain âge, voulait me livrer des meubles, alors que je navais rien commandé. Puis il a dit :"C'est pas ici, ah! non, je me suis trompé!" Il y en a qui, à ma place, les auraenit pris.
J'ai changé toutes les serrures, des choses ont encore disparu, mais moins souvent, mon mari n'emmène plus les clefs à l'extérieur parce qu'il les perd souvent.
Une autre fois, c'est l'une de mes persiennes derrière qu'on a essayé de soulever (pour venir dans mon jardin derrière par l'extérieur, on est obligé de passer par ceux des voisins), heureusement, il y a un système de blocage. J'ai crié :"Et qui va, là?" et le jour qui s'était fait entre les planches s'est rétréci et je n'ai plus rien entendu.
Bon, enfin, c'est pour vous dire que ce n'est pas mon mari qui fait forcément disparaître mes affaires, mais plutôt des personnes qui lui choperaient ses clefs dans ses poches (c'est pour ça qu'il les perd).
Méfiez-vous aussi quand vous retrouvez vos clefs épinglées au tableau d'affichage de la salle de profs, avec la mention "A qui est-ce" alors que vous ériez persuadées qu'elles étaient dasn votre sac à main laissé négligemment sur la table. Les élèves aussi entre dans les salles de prof, en secret, mais j'ai travaillé dix ans dans un lycée où la salle des profs était un moulin à vent, le seul établissement que je connaisse où on faisait tellement confiance aux élèves qu'ils entraient comme ils voulaient dans la salle des profs. Mais c'était une confiance qui venait d'une autre époque. Je me faisais quasiment attrapée par mes collègues quand je disais que ce n'était pas normal et que je faisais ressortir les élèves, tout étonnés, de la salle des profs...
Bon, je me suis éloignée du sujet des statitiques, tout cela pour vous dire.... que le tourbillon m'a laissé une certaine tranquillité, pour une heure ou deux, dont bien la moirié est déjà passée....
Et contrairement aux autres samedi à la même heure, aucun enfant ne joue dehors, même les deux petits cyclistes qui faisaient des tours sur la placette devant chez moi sont rentrés, ils sont peut-être partis dans un abri anti-atomique, ayant suivi le joueur de flûte de Hameln, venu pour les prendre sous sa protection.
Ecrit à 13 heures 14, publication différée...
domino
19:16 Publié dans Les statistiques i-grimoiriennes. | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Concernant le 1er paragraphe : j'ai un mari qui aime aussi faire les courses, il s'ennuie. Alors il trouve toujours une excuse pour sortir faire des courses, il trouve toujours de quoi acheter, pour le repas du soir ou pour le lendemain, ou bien pour bricoler, il lui manque un outil ou du matériel...
Écrit par : elisabeth | samedi, 30 août 2008
Ensuite : je ferme toujours les portes et les portes fenêtres quand je suis seule....
Écrit par : elisabeth | samedi, 30 août 2008
Les enfants sont sages, ils pensent à la rentrée des classes. Ils se préparent et n'ont peut être pas envie ou le temps de jouer (ils sont partis faire les dernières courses pour la rentrée).
Écrit par : elisabeth | samedi, 30 août 2008
Quelle imagination !!!
Écrit par : elisabeth | samedi, 30 août 2008
Pourquoi tu dis que c'est de l'imagination, parce que j'ai des affaires qui disparaissent. Pourquoi veux-tu que j'ai eu en l'espace de deux ans 30 paires de chaussettes dépareillées, et plus moyen de retrouver la deuxième, alors qu'avant, je les retrouvais tout de suite. quand une était isolée. Après une lessive s'il manquait une chaussette, j'attendais la lessive suivante et hop la chaussette manquante était dedans, mais après, je ne trouvais plus les chaussette manquantes, toutes les chaussettes revenant de la corde à linge étaient dépareillées. c'est à dire seules sans leur soeur, même quand j'avais mis la soeur de la chaussette dans la machins à laver en même temps que l'autre.
Écrit par : domino | dimanche, 31 août 2008
1) Tous les hommes sont pareils, alors?
2) Je ferme aussi tout, mais il y a eu une époque où tout le monde était gentil dans le quartier, je fermais quand m^me si je n'étais pas à proximité. Maintennt je ferme la prote à clef et au verrou, même si je suis juste derrière.
Écrit par : domino | dimanche, 31 août 2008
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