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mercredi, 12 juillet 2006

Quelque Chose de Drôle...

J'ai pensé à une chose drôle. J'ai pensé que l'année prochaine (comme je suis acceptée pour la troidième fois à la  formation pour l'agrégation interne), j'ai imaginé que l'un de nos profs nous donnait à traduire un texte de mon blog qu'il trouve par hasard sans savoir que c'est moi qui l'ai écrit.

Je traduis bien l'affaire, puisque je sais ce que j'ai écrit, et je ne peux pas mal l'interpréter.

Mais voilà, en faisant le corrigé le prof dit, Mme domino, là vous avez mal interprété ; l'auteur n'a pas voulu dire cela,  mais cela.

Que vais-je alors faire ?

- Discuter gentiment en lui disant que moi, domino, (sans dire que je suis domino), j'ai plutôt pensé que l'auteur domino voulait dire ceci.

- Ou bien ne rien dire et accepter sa traduction erronée (encore, j'ai déjà vu l'expression "traduction erronée" quelque part  dans ce blog...)

- Ou alors, me fâcher et dire tout de go :"Mais enfin, Monsieur (ou Madame), c'est moi qui suis l'auteur de ce texte et je sais quand même bien interpréter ce que j'ai écrit parce que je sais ce que j'ai voulu dire....."

Que feriez-vous dans ce cas, pour défendre votre texte et votre traduction juste, sans blesser la susceptibilité du prof ?

domino

Commentaires

Tu lui dis : ma vérité c'est celle que j'ai écrite.
Car chacun sa vérité (on en a déjà parlé il y a quelque temps).

Écrit par : elisabeth | jeudi, 13 juillet 2006

Les mots appartiennent aussi au lecteur, dès qu'il les lit... Mais il devrait s'interdire de dire "l'auteur a voulu dire que...", puisqu'il ne le sait pas!

Écrit par : evariste | vendredi, 14 juillet 2006

C'est vrai que les mots appartiennent au lecteur, mais ils ne lui appartiennet complètement que pour les auteurs morts, pour les auteurs vivants, le lecteur peut toujours demander à l'auteur ce qu'il a voulu dire, et les mots appartiennent aux deux. Maintenant, si le lecteur ne veut garder que sa propre lecture, il faut qu'il ne liste pas de littérature secondaire (littérature à propos de l'oeuvre et de l'auteur), et qu'il ne rencontre pas l'auteur, ne le regarde pas s'il passe à la télé, etc...

Écrit par : domino | vendredi, 14 juillet 2006

Je suis d'accord avec ta phrase : "ils ne lui appartiennent complètement que pour les auteurs morts". Mais comme toi tu es vivante, on peut te demander ce que tu as voulu dire. C'est la moindre des choses. Il ne faut pas laisser les autres parler à ta place. Car ce serait la porte ouverte à tout.

Écrit par : elisabeth | samedi, 15 juillet 2006

C'est vrai. Je suis d'accord avec toi, Elisabeth. Je suis vivante, donc, j'ai le droit d'interpréter mes écrits moi-mêmes.
domino

Écrit par : domino | dimanche, 16 juillet 2006

C'est vrai. Je suis d'accord avec toi, Elisabeth. Je suis vivante, donc, j'ai le droit d'interpréter mes écrits moi-mêmes.
domino

Écrit par : domino | dimanche, 16 juillet 2006

C'est bizarre, je suis sûre d'avoir vu deux nouveaux commentaires à toi, Elisabeth, avant d'écrire et pendant que j'écrivais l'un d'entre eux a disparu et le mien s'est imprimé deux fois.
domino

Écrit par : domino | dimanche, 16 juillet 2006

Non, mon dernier commentaire c'est celui de samedi où j'étais d'accord avec ta phrase. Je n'ai pas mis d'autre commentaire. Tout va bien.

Écrit par : elisabeth | dimanche, 16 juillet 2006

Les commentaires sont fermés.