vendredi, 18 avril 2008
Médecin médiatique...
Tiens je parle dans cet i-grimoire de médecin et de lycée, d'enseignement et en même temps à la radio, on parle de médecins médiatiques et on se demande si les enfants de médecins réussissent mieux que les autres. C'est peut-être un hasard. A moins qu'ils ne lisent mon i-grimoire à RTL? Et qu'ils s'en inspirent... on ne sait jamais...
Et quand parlerez-vous de profs d'allemand médiatiques, car il y en a plusieurs sur Haut et Fort des profs d'allemand médiatiques.
Tiens, justement, mon inspecteur qui était en train de lire mon i-grimoire, il parait que dés que le mot inspecteur et inspection s'inscrit sur le Web, l'inspecteur concerné reçoit un mail avec un lien
(canular, un canular qui annonce..... n'est pas un canular, pour le reste de la citation, allez voir dans les archives de la journaliste d'il y a un ou deux ans),
poursuivons le canular,
il y a même une lampe qui s'allume sur leur bureau avec un signal sonore, et la page qui s'affiche automatiquement dès l'ouverture de leur ordinateur,
l'inspecteur lisant mon i-grimoire aurait dit qu'il trouve que les i-grimoires des profs d'allemand ne sont pas assez médiatisés, et qu'il faut que la page des i-grimoires de profs d'alleamand s'affiche dans tous les ordinateurs des journeaux, des télévisions et des radios, à chaque nouvelle parution d'une note d'un prof d'allemand.
(Mais yen a qui comencent à s'affoler en voyant les petits drapeaux représentant mes lecteurs actuels qui s'affichent en dessous des petites pixies, ma principale dit : il y a quelqu'un en Belgique et quelqu'un au Maroc, qui a vu qu'on parle de moi!).
Attention, à chaque fois que quelqu'un écrira sur son blog l'un des quatre mots clefs suivant : Sarkozy, Bruni, Nicolas et Carla et aussi président et république, une lampe va s'allumer dans le bureau du président à l'Elysée ou dans le portable du président quand il est en voyage et en même temps une lampe clignotera sur la guitare de Carla B.-S. et les cordes se mettront à vibrer.
domino
16:43 Publié dans Humour i-grimoirien. | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, médecine, radiophonie, radio, médias...
La TZR pleure toujours....
(Je viens de faire ajouts et améliorations à cette note. Relisez-la)
Comme vous le savez peut-être, ma principale m'a dit au début de l'année sscolaire, que je n'avais pas à venir faire le plancton 18 heures par semaine dans la salle des profs. C'est vrai qu'en principe, il n'y a que les auxiliaires qui doivent faire le plancton dans la salle des profs quand on ne leur donne pas de travail. Et les TZR, n'en déplaise à beaucoup, sont titulaires. Ils peuvent même être agrégés.
Mon collègue, TZR , qui remplace la PEGC n'ayant pas voulu partager ses élèves aves moi, tout comme l'année dernière, il n'avait pas voulu non plus.
La PEGC est en congé longue maladie pour soigner son époux et doit être maintenant en Congé de longue durée puisque son poste est au mouvement des certifiés et agrégés
(mais je n' pas demandé ce poste, car je ne tiens pas à avoir cette principale ad aeternum , je n'ai demandé que des lycées pour redevenir ce que j'étais avant : une prof de lycée, il n'y a des collèges que dans la deuxième demande, celle pour la "phase d'ajustement des TZR", au cas où je n'obtiendrais pas ma mutation intra-académique) sur un poste lycée intéressant, pour redevenir ce que j'étais avant d'être TZR).
Mon collègue n'était donc pas enclein à me donner des élèves à lui et il n'y avait pas de documentaliste que je pouvais aider.
Elle m'a dit qu'elle me rappelerait quand elle aurait besoin de moi, alors que le travail d'un TZR entre ses suppléances, c'est de préparer des cours au cas où il serait appelé pour un remplacement, dans tous les manuels possibles et imaginables, en attendant qu'on l'appelle pour un remplacement dans sa matière, pas forcément dans son collège de rattachement, puisque j'ai opté pour les remplacements qui durent de 3 semaines à 6 mois, quand j'ai eu ma mutation de prof de poste-lycée à TZR. j'avais demandé ce poste dépitée après une inspection où j'avais été piètrement remerciée pour toutes les activités que j'avais faites : sujets d'oraux de BTS en assez grand nombre (pendant huit années consécutives), projets scolaires incluant l'allemand, voyages en Allemagne, etc.... ce qui veut dire pas remerciée du tout. Apparemment j'ai été victime d'une erreur de personne de la part de l'inspecteur et il n'a pas voulu reconnaître son erreur.
Un TZR peut utiliser son temps entre remplacements aussi pour faire des recherches ou aller à l'université suivre des cours dans sa matière (ce que j'ai fait toute l'année trois jours par semaine avec 200km AR par jour), et suivre des stages de PAF (j'en ai suivi trois, dont celui de préparation à l'agrégation interne et ma formatrice avait l'air très contente, même si je n'ai pas été admissible à cette agrégation-ci. Ma formatrice avait l'air persuadée que j'allais passer l'oral et m'avait donné mille conseils pour ne pas trop m'attarder sur la première partie de l'exposé et avoir le temps de développer suffisamment la troisième partie pour pouvoir tout dire dans les 40 minutes imparties, car c'est mon défaut, mon esprit très analytique me pousse à développer de trop). A l'université, je monte jusqu'à 13-13,5/20 en thème et version notés comme à l'agrégation externe.
Imaginez un peu qu'elle me convoque encore à cause de cette histoire de paperboard de l'an dernier et des convocations à la médecine du rectorat auxquelles je ne veux pas aller parce que je ne veux pas être mise en congé maladie, pour être en poste au premier septembre pour faire un stage éventuel, concours et B.O. obligent.
La médecine du rectorat m'avait posé en septembre 2002 des questions sur ma famille.... Elle m'avait demandé l'endroit exact où travaillait mon frère. C'est juste après que mon frère a été mis au chomâge : l'entreprise d'électronique dans laquelle il travaillait a fermé. Cette entreprise employait dix personnes. 10 personnes au chomâge. Et les difficultés de l'entreprise ont commencé un mois après mon passage à la médecine du rectorat. Hasard? Il a retrouvé du travail un an plus tard. Il a aussi besoin de toutes ses années pour sa retraite et n'est pas fonctionnaire.
La médecine du rectorat m'avait obligé a voir un psy, si possible de son choix, elle m'avait donné une adresse à 85 km de chez moi. Je suis allée en voir un que m'a conseillé une amie à 8 km de chez moi. Il m'a montré les textes de la déontologie médicale.
Un médecin n'a pas à poser de questions sur la famille d'un patient. C'est formellement interdit par leur déontologie. Evidemment, si le patient est un enfant, ce n'est pas pareil, le médecin connait sa mère qui l'amène. Mais si le patient est un adulte, le médecin doit s'en tenir aux informations que lui donne la personne d'elle-même et n'a pas à poser de questions sur les professions des frères et soeurs, parents, etc... C'était un psy très bien, mais je ne vais plus le voir depuis qu'il m'a téléphoné pour que j'aille quand même à la médecine du rectorat.
Elle voulait que je me teigne les cheveux en roux, une couleur que je n'ai jamais eue, mais qu'elle prétendait que j'avais avant que mes cheveux ne commencent à grisonner (mais j'ai toujours les cheveux châtains et j'ai toujours eu les cheveux châtains, ils étaient blonds jusqu'à l'âge de huit-neuf ans et sont devenus plus foncés quand on les a coupés). Elle a dû me confondre avec quelqu'un d'autre, une collègue agrégée qui avait les cheveux auburn, et qui avait été inspectée en même temps que moi (en 2002).
Si elle me demande encore de me teindre les cheveux, je les teindrai en noir et je ferais une coiffure d'iroquois comme Yaëlle de la Star Académie, la rockeuse qui a claqué la porte, la seule qui était vraiment bonne là-dedans.
L'inspecteur avait écrit dans son rapport des choses qui ne correspondaient pas du tout à mon cours, par exemple que j'étais toujours restée postée devant le coin gauche du tableau (allusion politique?). J'en ai déjà parlé ici, mais à l'époque ces faits n'ont été lus et appréciés que par un lycéen qui a lu mon i-grimoire. Enfin, cette histoire d'être restée si longtemps au même endroit est bizarre, parce que je m'étais démenée comme une bonne pour faire des dessins sur tout le tableau (sur la première page du Taugenichts), j'avais dessiné un moulin à vent, un moulin à eau, fait des rapprochements et fait faire des rapprochhement avec notre contrée où il y a des moulins à eau, fait parler les élèves sur ce qu'ils feraient au printemps puisque nous habitons une région bucolique, comme celle dont parle le Taugenichts, le Sonnendiagramm dont l'inspecteur parle au début du rapport a été fait au milieu du tableau et pas sur la gauche du tableau; je m'étais démenée comme une bonne pour mimer le Taugenichts qui dormait sur le pas de la porte, le père qui le grondait, etc....
Certes, cette façon d'enseigner que l'on m'avait apprise dans les années 70 n'était pluis de mise aujourd'hui.
Cependant j'étais très courant de ce que les inspecteurs réclamaient : faire faire des repérages sur les textes, mots transparents, etc... Mais lors du texte précédent "Le Clochard" de Süßkind, les élèves m'avaient dit que c'était perdre du temps de faire tous ces exercices de compréhension, qu'ils préféraient qu'on explique directement le texte pour faire ensuite le compte-rendu et le commentaire pour le bac. Et ils préféraient que je les mime, car ils comprenaient bien mes gestes (bizarre, l'inspecteur m'a dit d'améliorer le non verbal). Au bac mes élèves ont d'ailleurs eu des résultats honorables pour cette classe de TSTT dont un 20/20 en passant l'allemand en LV1 alors qu'il avait commencé en quatrième (un élève qui a eu l'an dernier son Master 1 d'allemand (équivalent de l'ancienne maîtrise) sans jamais avoir redoublé puisqu'il a fait un BTS avant d'entamer ses études d'allemand en 2ème année. J'avais cet élève depuis la première. Seuls quelques élèves de la TSTT3 (j'avais la TSS1, la TSS2 et la TSS3 ensemble, ils étaient en majorité presque tous LV2, certains issu de ma 1STTadaptation et n'ayant commencé l'allemand que l'année précédente ont eu 11 ou 12/20 en LV2), il y avait quelques rares LV1 dont un cancre qui était allé au bureau pendant la récréation se faire enlever une retenue que je lui avais donnée et s'était fait remarquer en arrivant en retard (avec un billet du bureau), et s'était installé à coé de l'inspecteur sans son cahier.
Pour en revenir au "rester plantée à gauche du tableau noir" (le tableau était d'ailleurs vert, l'inspecteur -ouh! Il a eu grâce à moi une promotion, il est devenu nspecteur général, je vais me faire encore plus démolir...), je dois dire que après avoir dessiné, mimé, arpenté la classe de long en large, le tableau vert dans ses deux largeurs, l'allée centrale dans toute sa longueur pour regarder si les élèves copiaient bien mon tableau
L'inspecteur avait demandé les cahiers aux élèves (En Terminale, la plupart font des économies de transport en amenant des feuilles de classeur qu'ils classent chez eux). Une élève s'est insurgée ensuite parce que je lui ai dit que l'inspecteur avait trouvé qu'il n'y avait "rien dans son cahier", car c'était en allemand qu'elle avait le plus gros cahier. Je lui ai reproché de ne pas avoir amené ses devoirs parce que les élèves faisaient leurs devoirs sur des feuilles de classeur. Qu'ils laissaient chez eux. C'étaient quand même des élèves de 18/19 ans qui pourraient être des étudiants, et avez-vous déjà vu des inspecteurs qui à l'université demanderaient les cahiers de cours des étudiants??? Même moi, je n'ai pas de cahier de cours et j'écris sur des feuilles que je classe ensuite (parfois trop tôt, et je n'ai plus le texte qu'il faut le jour du cours, je parle des cours que je suis, pour les cours que je fais, je fais plus attention). Même leurs étudiants, qui sont en même temps professeurs, ont des feuilles de classeur et pas des cahiers d'écolier.
J'avais donné des consignes écrites aux élèves de terminale au début de l'année, en leur spécifiant oralement que le cahier de cours c'"était pour les secondes et les premières, mais qu'en terminale, ils pouvaient prendre des classeurs.
Mes élèves préparaient tous un oral, les quelques LV1 étaient dans des sections de STT qui n'avaient pas d'écrit en LV1. Mais cependant, je faisais faire de nombreux devoirs écrit : chaque élève faisait la Nacherzählung (compte-rendu) de chaque texte, qui devait durer 5 minutes à la lecture à haute voix et différent pour chaque élève, chaque élève faisait le commentaire écrit, différent pour chaque élève, et qui devait durer 5 minutes à la lecture, on le faisait en classe avant, mais ils n'avaient pas le droit de réécrire la même chose que ce qu'on avait copié sur les cahiers et tous les commentaires devaient être différents d'un élève à l'autre, ensuite il y avait un DS, sans manuel, sans texte, avec des questions suffisamment différentes de ce qui avait été fait avant pouir que les élèves n'apprennent pas par coeur leurs devoirs précédents. Seuls sur la classe de 17 élèves, un ou deux élèves me rendaient des devoirs incomplets, deux élèves qui paeradocalement faisaient de l'allemand depuis la 6ème, masi contrairement aux LV2 "navaient jamais accroché à cette langue".
Mes élèves de seconde et de première faisaient en plus de tout ce travail et d'un travail plus varié puisqu'il n'y avait pas le bac, et des DS toutes les trois semaines, des interrogations contenant verbes forts, régime des verbes, des adjectifs, et des noms, interrogation de vocabulaire et fonctions langagières, le tout sous forme de phrases à transformer ou de reformulations (un peu l'ancienne compétence linguistique du bac).
En BTS j'allais toutes les semaines au laboratoire de langue où je faisais écouter une cassette des annales des années précédentes dont beaucoup de mes propres anciens sujets, précédés d'exercice de prononciation basés sur la coorection que j'avais faite de leurs cassettes précédentes. Les étudiants enregistraient leur production orale sur une cassette que je relevais (je m'étais achetée deux jeux de cassettes ppur faire cela, car la première fois que j'ai demandé aux étudiants d'amener une cassette, un seul en a amené une, donc deux jeux de cassettes, pour que je puisse éventuellement passer deux semaines à la correction (pas exclusivement bien sûr, les cours et les corrections des autres classes continuaient), achetés sur mes deniers, les crédits d'allemand n'étant pas assez élevés), je corrigeais la cassette comme les autres devoirs avec des codes de corrections en lettres selon les types de fautes et les étudiants étaient sensés ensuite (beauoucp le faisaient), me corriger les scrips des cassettes qu'ils avaient enregistrées en corrigeant leur fautes en toutes lettres, ce qui me faisait deux corrections pour chaque cassette, celle de la cassette transformée en scripte que je faisais moi-même en reproduisant les fautes des étudiants pour qu'ils les corrigent à l'écrit, quand ils n'avaient pas eux-mêmes le temps de faire le script de leurs cassettes en fin d'heure. J'utilisais deux couleurs : turquoise pour les fautes de prononciation, et je réenregistrais les mots prononcés de façon erronée pour la séance de la semaine suivante, ou plutôt je les faisais enregistrer par mon époux germanophone (ou plutôt bilingue de naissance). Rouge pour les fautes de langue, que les étudiants corrigeaient d'une autre couleur.
Je faisais de même pour les travaux écrits de toutes mes classes : deux corrections pour chaque copie, 1) Ma correction par codes, 2) La correction de l'élève, 3) La relecture de la correction de l'élève, avec éventuellement une deuième correction de l'élève et un deuxième passage de la copie sous mon contrôle si les fautes mal corrigées étaient trop nombreuses avec explication en classe pour les fautes récurrentes chez tous les élèves. Je donnais des bonus de 0,25 à 2 points par devoir pour les corrections. Bien sûr, si l'élève avait 19 et n'avait qu'une faute à corriger, je ne lui donnait que O,25 ou 0,50 selon la longueur du devoir, le bonus dépendant plus du nombre de fautes corrigées justement, que du fait que l'élève avait tout corrigé ou non, car celui qui avait fait un mauvais devoir et corrigeait bien vingt fautes avait eu plus de travail à faire que celui qui corrigeait bien une faute avec un devoir presque impeccable.
Tout cela me représentati 70 à 105 heures (une pointe que j'ai enregistré en janvier) de travail par semaine en comptant les 18 heures de cours. Je travaillais souvent la nuit, généralement 4 nuits par semaine en plus des journées de classe et des samedis et dimanches passés à travailler. Et 40 heures pendant les pettites vacances scolaires pour rattrapper les copies en retard.
Mais tout cela, je n'ai jamais pu m'en justifier devant l'inspecteur, car il ne m'en a pas laissé le temps. Il a a dit que je travaillais beaucoup, mais mal et que je ne faisais pas assez travailler les élèves, pourtant beaucoup se plaignaient, que même en section scientifique, ils avaient plus de travail en allemand que dans toutes les autres matières réunies. Et le proviseur m'en demandait toujours plus, jusqu'à la limite de l'épuisement.
Maintenant que je suis TZR, j'ai le temps d'aller dormir, du moins quand je n'ai pas de remplacement, et même avec les trois fois 200km de train par semaine pour aller à l'université.
Attention pour les médecins : Il ne faut pas confondre "insomnie" et "ne pas avoir le temps de dormir parce que l'ont a un travail à effectuer la nuit". Dans le premier cas, vous êtes couché et vous vous retournez dans tous les sens à la recherche du sommeil. Dans le deuxième cas, vous êtes assis devant une chaise, courbé sur les copies, vos yeux se ferment, vous baillez, vous voyez les lignes se brouiller, et vous finissez à 4, voire 5 heures du matin par aller au lit en vous disant que vous ne pourrez malheureusement pas rendre ce paquet de copie demain, car il faudrait quand même dormir une heure ou deux avant le lever à six heures tapantes. Moi, personnellement, je n'ai jamais été insomniaque, mais j'ai souvent travailler la nuit à préparer des cours ou corriger des copies ou à taper des polycopiés. Si on me donne un lit, je m'endors comme une souche. Alors que le médecin que je soupçonne d'être dans le bureau de la principale mardi à 14 heures ne me dise surtout pas "Dormez-vous bien?" Sinon, je l'étr....., non, j'ai pas le droit, mais je me mettrai en colère, c'est sûr, parce que s'il me demande cela, c'est qu'il n'a pas lu la "journaliste alternative".
J'imagine que mardi dans le bureau de ma principale (on reprend lundi, nous solles en zone B), il y aura un inspecteur qui me dira : "Si vous voulez encore avoir de l'allemand, lisez le blog (i-grimoire, je précise) de la "journaliste alternative" et prenez exemple sur elle, elle au moins, elle était courageuse. Et ne passait pas son temps à faire de la musique comme vous!"
De la musique, je n'en fais plus qu'une fois par semaine, quand je vais à mon cours du samedi après-midi où je n'ai pour le moment que des adultes, j'accompagne les élèves auwquels j'apprends le folklore allemand, et ensuite, si on a le temps, j'enregistre un peu pour le web. C'est le seul moment de la semaine où j'ouvre un étui d'instrument. Je chante parfois dans mes toilettes (ça résonne bien, excellente acoustique), et c'est tout!
Revenons à nos moutons :
La médecine du rectoirat voulait que j'aille acheter des disques chez Harmonia Mundi, ils étaient selon elles, meilleurs qu'à la Fnac. Je ne suis plus allée ches Harmonia Mundi depuis.
Elle voulait que j'écoute du chant baroque parce que c'était reposant, alors que je n'écoutais déjà que çà, et que je chantais moi-même du baroque (tout le début du Nisi Dominus de Vivaldi, j'avais appris tout le Salve Regina de Pergolèse, j'ai abandonné le chant baroque et classique juste cette année-là, je ne voulais pas obéir à cet horrible médecin qui voulait m'imposer une façon de vivre. Il m'a fallu quatre ou cinq ans avant d'écouter de nouveau de la musique baroque).
Maintenant je sais que si la médecine du rectorat me convoque encore, et si elle a lu mon blog, elle va me dire le contraire de ce que je dois faire, pour obtenir ce qu'elle veut. Si elle veut que je me teigne les cheveux, elle va me dire :"Vos cheveux châtains grisonnant sont très beaux, laissez les comme çà." Et bien non, je ne ferais pas quelque chose de contraire, parce qu'elle aurait dit quelque chose de sensé cette fois.
Voilà ou mène la médecine du rectorat. On pourra m'y convoquer 100 000 fois, je perdrais 100 Euro à chaque convocation non homologuée, mais je n'irai pas là-bas!
D'après mon psy, si j'avais été là-bas, j'aurais eu gain de cause dans l'affaire du paperboard, masi je ne veux pas aller là-bas, je n'irai pas. Il faut que je sois en activité au 1er septembre à cause du concours que je passe.
Et je me demande ce que peut bien être cette "affaire me concernant" dont elle parle dans sa lettre, lettre qui NOUS a fait passer des vacances de printemps atroces. Elle aurait pu me dire avant de quoi il s'agissait, pour que je prépare ma défense, si j'ai une défense à faire.
Est-ce qu'elle sait seulement ce que souffre quelqu'un qui est convoqué pour "affaire le concernant", surtout lorsqu'il ne sait pas de quoi il s'agit. De la torture psychologique? Emanant d'extrême-droite?
dominique
08:42 Publié dans Colère i-grimoirienne | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : enseignement, médecine